Islam, secte de pédophilie

La suite de mes posts sur la maltraitance des enfants en islam , sur la militante qui dénonce la pédophilie et sur la pédophilie de Mahomet abordée dans l'article l'islam est une secte.

1° Vidéo

Le témoignage poignant de cette petite fille afghane, plus en âge de jouer à la poupée que d'être une concubine violentée et maltraitée par un "mari" brutal. Sa situation est loin d'être un cas isolé, que ce soit en Grande-Bretagne où des imams procèdent secrètement à des mariages de filles pré-pubères, que ce soit au Maroc, en Mauritanie, dans les pays musulmans d'Afrique noire, en Egypte, dans les pays de la péninsule arabique, en Afghanistan, au Pakistan, etc. Cette vidéo date de 2007 et depuis, il y a eu beaucoup d'autres cas de viols pédophiles. Certains ont été médiatisés, d'autres moins.

Malgré tous ces témoignages accablants, les musulmans persistent à nous prendre pour des billes: pour eux, l'islam est contre la violence faite aux enfants et l'islam est contre la pédophilie. Ben voyons ! 

Afghanistan Province d' Herat, sept. 2007:

Cette fille de 12 ans été donnée en mariage forcée et elle subit des violences quotidiennes par son "mari" brutal.
"Aidez-moi s'il vous plaît,  à obtenir le divorce, la prochaine fois il me tuera, il m'a blessée avec un couteau".

2° Le "mufa’khathat"

Autrement dit, le "placé entre les cuisse" pratiqué par Mahomet, et qui est aussi tant contesté par les musulmans sunnites. 

Cette pratique n'avait jamais posé de problème à l'islam, mais au contact des Européens, ils ont d'abord cherché à cacher cette pratique, immorale pour l'Occident. Comme la cachotterie n'a pas fonctionné, les musulmans ont essayé ensuite de fabriquer des preuves. Toujours sans succès.

C'est ainsi que ce sont les musulmans qui nous fournissent la preuve non seulement de la pédophilie de leur peophète, mais également que cet "apotre de dieu" a pratiqué cette abomination avec Aïcha, alors âgée de 6 ans, et l'a pratiqué jusqu'à l'âge de 9 ans, âge qu'elle avait quand leur mariage fut "consommé". Mahomet que les musulmans désignent comme le "Sceau des Prophètes", Katam ar-Roussoul, celui qui vient sceller la parole de Dieu relayée avant lui par les autres prophètes et pour qui il est la créature de dieu la plus parfaite.  

Voici reproduite la fatwa n° 31409 en date du 05/07/1421 /

Le comité permanent pour recherche scientifique et les sanctions religieuses :

• Abdel Aziz ben Abdallah ben Mohammed Aal Sheikh, président
• Bakr ben Abdullah Abu Zeid, membre
• Saleh ben Fozan Al Fozan, membre

Fatwa n° 31409 datée du 07/05/1421 de l'Hégire

Eloge à Dieu et bénédiction sur le prophète qui est le dernier de tous les prophètes.

Le comité permanent pour la recherche scientifique et les sanctions religieuses s'est penché sur la demande d'Abou Abdallah Mohammed Al Shamry, demande qui a été envoyée au comité par le secrétariat général de la Commission de l'enseignement supérieur sous le numéro 1809 en date du 05/03/1421. Le demandeur a demandé ce qui suit:

Dernièrement, il s'est répandu sur une grande échelle, en particulier dans les mariages, l'habitude du "thighing" sur les petits garçons, quel est le jugement du Coran à ce sujet? Surtout que le Messager de Dieu (paix soit sur lui) l'a pratiqué sur Aïcha (que Dieu soit satisfait d'elle).

Le comité, après étude de la demande, a statué ce qui suit:

Ce n'est pas la vraie guidance de musulmans à travers les siècles que de recourir à l'utilisation de ces pratiques illégales, qui ont été importés dans nos pays à travers les vidéos immorales qui sont envoyées par les infidèles et les ennemis de l'Islam. Quant à la pratique du "thighing" par le messager de Dieu sur sa fiancée Aïcha, elle avait six ans et il ne pouvait pas s'engager dans des relations sexuelles avec elle à cause de son jeune âge, donc il avait l'habitude de mettre son pénis entre les cuisses et le frotter légèrement. En outre, le messager de Dieu avait le plein contrôle de son pénis au contraire des autres croyants. Par conséquent, il n'est pas autorisé à pratiquer le "thighing", que ce soit dans les mariages, ou dans des maisons ou des écoles, en raison de son grave préjudice. Et que Dieu maudisse les infidèles qui ont apporté ces pratiques dans nos pays.

Cette fatwa interdit aujourd'hui la "mufa’khathat", le comité saoudien invoquant comme argument que seul le "katam ar-rassoul" était capable de contrôler ses instincts bestiaux. Pardon à tout le règne animal, qui ignore ces pratiques que seul un pervers et un dépravé sexuel comme Mahomet pouvait imaginer.

Et pour ne pas changer, les musulmans accusent les kuffars d'avoir apporté ces pratiques hautement morales dans leurs pays. Le comble de la crétinerie et de l'immoralité.

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