Avant cela, le Qatar, ami de la France, a copieusement subventionné les combattants d'allah en Irak et ailleurs, et les a lourdement armé.
Résultat: les chrétiens sont en passe d'être exterminés dans cette partie du monde dominée par l'islam orthodoxe, cet islam que certains qualifient de "modéré", comme s'il pouvait y avoir un islam "immodéré".
Avant cela, les chrétiens s'étaient fait allègrement massacrer au Bangladesh, au Pakistan, en Indonésie, à Gaza, en Somalie, au Soudan, au Nigéria, en Egypte, puis en Syrie. Aujourd'hui, en Irak.
Dans la très grande majorité des pays musulmans, les chrétiens rasent les murs et tentent de passer inaperçus, comme en Algérie, comme dans cette Tunisie qu'on disait autrefois moderne ou dans cette Turquie qu'on qualifie encore de laïque. Pendant que l'Occident construit sans relâche les mosquées qui causeront sa perte, dans un futur très proche.
Pendant ce temps, vous, Monsieur le pape (pardonnez que je vous appelle ainsi, je ne trouve plus le qualificatif), vous restiez bien cloîtré - j'allais dire dans votre bulle- . Jusqu'à votre récent réveil, qui, j'espère, n'a pas été trop brutal pour vous. Réveil justifié par le message important que vous avez délivré au monde: "oh, la guerre c'est pas beau". Éreinté par cet effort surhumain, vous êtes vite rentré vous reposer de cette énorme détermination.
Monsieur le pape, vous auriez pu aller un peu plus loin dans votre ténacité et dire, par exemple, ce qu'est vraiment l'islam, pas celui des contes à dormir debout, mais l'islam véritable, celui qui massacre les chrétiens et pas seulement les chrétiens, à chaque fois aux cris d'allaho-akbar, "allah est le plus grand". L'islam dont on voit les conséquences partout où il domine. L'islam véritable.
Ne dites surtout pas que vous connaissez l'islam, qu'il est "amour, paix, fraternité et tolérance": ce mensonge est trop connu et on constate tous les jours ce que l'amour des musulmans pour les autres apporte comme bienfaits à l'humanité. Et je crois bien que pour vous, le mensonge est un péché grave.
Vous auriez pu aussi l'ouvrir bien avant, de manière franche et audible, et déclarer l'islam moderne comme instrument de conquête planétaire. Instrument financé par les émirs, ces grands amis de l'Occident et du Vatican.
Vous auriez pu aussi intervenir, par exemple quand un imam est venu vous narguer dans vos Jardins, au Vatican. Vous aviez organisé une grande rencontre inter-religieuse pour "promouvoir la paix", vous l'avez d'ailleurs dénommée "Prière pour la Paix". Et vous avez accepté sans broncher que cet imam vienne vous rappeler de quoi est faite la Pax Musulmana: une paix toute coranique. En témoignent les versets de la sourate 2 (al-Baqara), psalmodiés par votre "prestigieux" invité musulman, dans vos non moins prestigieux Jardins:
- verset 191. Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
- verset 192. S'ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux.
- verset 193. Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes.
Monsieur le pape, une dernière précision: ne croyez pas à l'injonction de paix dans la phrase "S'ils cessent, allah est pardonneur". Les grands exégètes de l'islam, autrement dit ceux qui pensent en lieu et place de tous les autres musulmans, nous ont laissés des livres d'exégèse appelés "tafsir" dans lesquels ils sont unanimes: "S'ils cessent veut dire s'ils paient la zakat et s'ils font la salat". Je traduis pour vous: s'ils paient l'impôt dû par tous les musulmans et s'ils font la prière musulmane. En clair: s'ils se convertissent.
Vous voila prévenu, préparez-vous à la conversion ou préparez votre cou.
Dommage que vous n'ayez pas eu plus de courage ou de lucidité, Monsieur le pape. Il est vrai qu'en cela, vous êtres bien le digne continuateur de l'oeuvre de vos prédécesseurs, rappelez vous cette image:
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