J'apprécie beaucoup Raymond Ibrahim, grand spécialiste de l'islam et de la langue arabe, traducteur, auteur et chroniqueur de l'islam. Il est donc normal que je reprenne un de ses textes mis en ligne par le site Americans Infidels.
Asservissement sexuel des enfants par les musulmans: un phénomène mondial
Par Raymond Ibrahim
Aussi choquant que le réseau musulman de prostitution pédophile de Rotherham, peut l'être (quelques 1400 enfants britanniques dont certains âgés d'à peine 11 ans drogués avec des médicaments avant d'être abusés sexuellement dans des taxis et des restaurants kebab) le fait est que ce phénomène est extrêmement répandu. Dans le seul Royaume-Uni, c'est le cinquième réseau musulman de "pédo-prostitution" qui a été découvert.
Il y a quelques années en Australie, un groupe de jeunes musulmans libanais était responsable d'une série de brutales viols collectifs sur des adolescentes anglo-celtiques. Quelques années plus tard dans le même pays, quatre frères musulmans pakistanais ont violé au moins 18 femmes australiennes , dont certains âgées d'à peine 13 ans. Même aux États-Unis, un groupe de Somaliens (et la Somalie est un pays musulman où les non-musulmans, principalement des chrétiens, sont impitoyablement persécutés) était responsable d'enlèvement, achat, vente, viols et tortures sur des jeunes filles américaines dont la plus jeune avais 12 ans.
La question se pose: Si les minorités musulmanes n'ont aucune crainte d'exploiter les femmes et les enfants "infidèles" des pays non-musulmans où ces musulmans eux-mêmes sont censées être des minorités potentiellement vulnérables, comment se comportent les musulmans partout dans le monde islamique, où ils sont dominants, et quels traitement réservent-ils à leurs minorités vulnérables, les minorités non-musulmanes?
La réponse est longue de plusieurs siècles, un compte de prédation sexuelle non-stop à l'échelle continentale. L'enlèvement et l'esclavage par Boko Haram de près de 300 jeunes écolières à majorité chrétiennes en avril dernier au Nigéria n'est que la partie visible de l'iceberg.
La différence entre ce qui se passe au Nigeria et ce qui se passe dans les pays occidentaux est basée sur ce que j'appelle "la règle des nombres de l'Islam" . Partout où les musulmans se développent en nombre, les phénomènes intrinsèques aux musulmans (dans ce cas l'abus sexuel des "infidèles", enfants et adolescents) grandissent avec eux.
Ainsi au Royaume-Uni, où les musulmans représentent une minorité notable et de taille, le viol systématique des "infidèles sous-humains" se fait naturellement. Mais quand ils sont pris, les minorités musulmanes, étant sous l'autorité "infidèle", crient à l'"islamophobie" et feignent l'innocence.
Au Nigeria, cependant, qui compte à peu près 50% de musulmans, ces "apologétiques" sont inutiles. Après l'enlèvement de près de 300 écolières, le leader de Boko Haram est apparu dans une vidéo vidéo en se vantant: "J'ai enlevé vos filles, je vais les vendre au marché, par allah ... Il ya un marché pour la vente de l'humain. Allah dit que je devrais vendre".
C'est la même chose au Pakistan - la nation d'où proviennent la plupart des musulmans du Royaume-Uni, y compris la majorité de ceux qui sont impliqués dans le réseau de pédo-prostitution de Rotherham. Voir la longue liste d'enfants dans cet article, comment ces jeunes chrétiens dont le plus jeune a 2 ans, ont été ciblés par des musulmans en vue de les enlever, les mettre en esclavage et les violer. Dans chaque cas, la police ne fait rien sauf parfois d'être du côté des violeurs musulmans contre leurs victimes "infidèles".
Par exemple, le dernier dimanche de Pâques, quatre hommes musulmans ont violé en réunion une chrétienne de 7 ans nommée Sara, la laissant dans un "état critique". Selon Asia News, "la police, au lieu d'arrêter les coupables, a aidé le clan à kidnapper le père de la petite fille ... pour "obliger la famille à ne pas rapporter l'histoire et parvenir à un accord avec les criminels et éviter un conflit dans un contexte religieux".
En ce qui concerne le systématique "toilettage d'enfant" (child grooming), en 2010, Kiran George, une jeune fille chrétienne qui a été réduite en esclavage par une femme (Sama, une "dealeuse" de jeunes) et qui a été vendue en tant que prostituée ou esclave à une riche famille musulmane, a été aspergée d'essence et brûlée à mort par un agent de police impliqué dans le réseau de prostitution.
Et un récent rapport confirme que "environ 700 cas d'enlèvement, d'esclavage, et / ou de viol au Pakistan par an impliquent des femmes chrétiennes et 300 jeunes filles hindoues", ce qui représente un très grand nombre de victimes si on considère que les chrétiens et les hindous ne représentent chacun que 1% de la population du Pakistan, qui est à 97% musulmane.
[Pakistan: lire aussi (en anglais) 90% des enfants des rues pakistanaises sont en proie à des pédophiles ]
On peut continuer indéfiniment. En 2011, un groupe chrétien d'Egypte [à 95% musulmane] a dévoilé un réseau musulman très organisé concentré autour de la mosquée Fatah d'Alexandrie. L'enquête a aussi révélé un plan systématique "d'appel à la religion", où de jeunes "mâles" musulmans d'école secondaire ou d'université sont invités à aborder les filles coptes dans la tranche d'âge 9 ans -15 ans et de les manipuler par l'exploitation sexuelle et le chantage. Le plan vise à compromettre sexuellement les filles chrétiennes, les souillant et les humiliant devant leurs parents, les forçant ainsi à quitter leurs foyers, et utiliser la conversion à l'islam comme une "solution" à leurs problèmes.
Environ 550 jeunes filles coptes ont été enlevées et agressées sexuellement par des musulmans au cours des trois dernières années. Principalement sous le régime des Frères musulmans, quand les crimes sexuels étaient alors particulièrement répandus et encouragés.
Ainsi, qu'est-ce qui anime ce phénomène de viols musulmans sur des non-musulmans? Et nous devons l'appeler viol musulman, puisque l'islam est le dénominateur commun à tous ces cas parmi les nations les plus diverses qui ont peu de choses en commun si ce l'islam.
Quant à l'aspect de la pédophilie, Mahomet (prophète des musulmans, que le coran exhorte à imiter du mieux possible dans tous ses faits et gestes) a été "fiancé" à une fillette de 6 ans, Aïsha, et a consommé leur mariage quand elle a eu 9 ans [et lui 54]. En conséquence, les imams de l'islam défendent systématiquement et par habitude le "mariage d'enfant" sur le base de l'exemple laissé par le prophète.
Quant à traiter de "sous-hommes" les enfants "infidèles", il est considéré comme un droit par les musulmans suprémacistes. Discuter du viol en 2010 d'une enfant de 9 ans, fille de chrétiens, des sources locales pakistanaises l'admettent: "C'est honteux. De tels "incidents" [sic] se produisent fréquemment. Les filles chrétiennes sont considérées comme des marchandises qu'on peut "endommager" [re-sic] à loisir. En abuser est un droit. Selon la mentalité de la communauté [musulmane], ce n'est pas considéré comme un crime. Les musulmans le considèrent comme butin de guerre".
"Butin de guerre" est tout à fait correct. Voici comment Majid Khadduri , "reconnu internationalement comme l'un des experts mondiaux du droit et de la jurisprudence islamiques", a expliqué l'idée de "butin" dans sa "Guerre et Paix dans la Loi islamique":
"Le terme butin (ghanima) est appliqué spécifiquement aux biens acquis par la force sur les non-musulmans. Il comprend, cependant, non seulement les biens (mobiliers et immobiliers), mais aussi les personnes, que ce soit des "asra" (prisonniers de guerre) ou des sabi (femmes et enfants). ... Si l'esclave était une femme, le "maître" a été autorisé à avoir des rapports sexuels avec elle comme avec sa concubine".
[Un héritage là encore de Mahomet: lui et ses compagnons ont pratiqué le viol systématique des captives, vendues ensuite sur les marchés].
Et ce n'est pas juste limité au langage académique. L'année dernière, le cheikh jordanien Yasser al-Ajlawni dit que les musulmans qui combattent pour renverser "l'infidèle" président Bachar al-Assad en Syrie sont autorisés à capturer et avoir des relations sexuelles avec toutes les femmes non-sunnites, y compris les musulmans chiites, alaouites, chrétienness, druzes, et Yézidies".
Avant lui, l'Egyptien Cheikh Ishaq Huwaini s'est lamenté et regretté "l'âge d'or de l'islam", quand "vous [pouviez] aller au marché et acheter des [esclaves, concubines infidèles] .... En d'autres termes, quand je veux une esclave sexuelle, je vais au marché et je prends au choix, n'importe quelle femelle que je désire et je l'achète".
Afin d'éliminer l'immoralité sexuelle parmi la jeunesse musulmane de sexe masculin, la militante politique koweïtienne Salwa al-Mutairi a carrément suggéré de rétablir formellement l'esclavage sexuel ce qui n'est pas sans rappeler ce qui s'est récemment passé à Rotherham. Elle a dit dans une vidéo que les plus grandes autorités de l'islam de la Mecque, ville de l'islam, ont tous confirmé la légalité de l'esclavage sexuel.
Selon cette Koweïtienne:
"Un État musulman doit [d'abord] attaquer un état chrétien (désolée je voulais dire des non-musulmans) et elles [les femmes, les futures esclaves sexuelles] doivent être les captives des razzias [suggestion inspirée totalement des pratiques "mohamédiennes"]. Est-ce interdit? Pas du tout; selon l'Islam, les esclaves sexuels ne sont pas du tout interdites. Bien au contraire, les règles régissant les esclaves sexuelles diffèrent de celles des femmes libres [c.-à-dire des femmes musulmanes]: le corps de celles-ci doit être entièrement couvert, à l'exception de son visage et de ses mains, tandis que l'esclave sexuelle peut rester dévêtue depuis le dessus du nombril, à la différence de [la musulmane]; [la musulmane] doit être mariée "correctement" [conformément au droit musulman] mais l'esclave sexuelle s'achète, rien de plus...
Par exemple, dans la guerre de Tchétchénie, il y a eu sûrement des captives russes. Alors, allez et achetez-les et revendez-les ici au Koweït; c'est mieux que de faire que nos hommes aient des relations sexuelles interdites. Je ne vois aucun problème à cela, pas de problème du tout".
Par exemple, dans la guerre de Tchétchénie, il y a eu sûrement des captives russes. Alors, allez et achetez-les et revendez-les ici au Koweït; c'est mieux que de faire que nos hommes aient des relations sexuelles interdites. Je ne vois aucun problème à cela, pas de problème du tout".
[Une position inquiétante venant d'une femme, surtout de la part d'une "militante", mais une position conforme au coran et à la loi islamique, la charia. Si les femmes sont conditionnées au point d'accepter ce point de vue ultra-misogyne et franchement rétrograde indigne d'un humain du XXIème siècle, que doivent donc penser les hommes sur la justification des actes de pédophilie et d'esclavage sexuel? C'est vrai qu'en ce domaine, ils ont le "modèle parfait" en matière de moralité!].
Ce qui est arrivé à Rotherham est à peine une aberration. Au contraire, c'est juste l'islam qui débarque en ville, à mesure où le nombre de musulmans augmente. Même un des leurs, le Dr Taj Hargey, un imam britannique, vient de confirmer que la majorité des imams du Royaume-Uni font la promotion du "toilettage d'enfants" et de l'esclavage sexuel. Il a déclaré qu'on enseigne aux musulmans que les femmes sont des "citoyennes de seconde classe qui valent un peu plus que les biens meubles ou les biens sur lesquels les hommes ont autorité absolue" et que les imams prêchent une doctrine "qui dénigre toutes les femmes, mais traite particulièrement les blanches par le mépris".
Il y a juste à modifier le mot "blanches" par "non-musulmanes" car il ne s'agit pas de race mais de religion et les expériences de ces 1.400 enfants de Rotherham sont des expériences vécues par d'innombrables minorités non musulmanes dans le monde islamique.
Nota: j'ai mis [entre crochets] toutes mes annotations personnelles.
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