vendredi 3 avril 2015

Britanistan, capitale Londonabad

1° Une femme britannique découvre que sa mère somalienne est un membre éminent d'al-Shabab

The Muslim Issue du 31 mars 2015

Où on découvre que n'importe quel musulman, aussi "modéré " soit-il, peut passer de l'état de "cellule dormante" à "djihadiste actif": il lui suffit juste de fréquenter une mosquée.
On entend souvent cette phrase revenir dans les commentaires: "Cette personne était au dessus de tous soupçons, c'était quelqu'un de normal, de gentil, d'aimable et de serviable". C'est une idiotie, autant qu'une aberration et un non-sens: les terroristes potentiels ne se promènent pas dans les rues en arborant un écriteau "je suis un djihadiste égorgeur"!
Quelques extraits du récit de la fille de Mama Shabab la terroriste:
" Quand j'étais petite, ma mère aimait la mode. [...] Elle avait ces coiffures fantastiques. Maman était une femme indépendante et instruite. Elle a même divorcé de mon père parce qu'elle voulait voyager. [...] Mais tout espoir d'une éducation à l'occidentale a été abandonné après qu'elle se soit inscrite dans une école coranique. Et soudainement, je n'ai plus été autorisée à jouer avec mes cousins, ni à écouter de la musique. Tout ce qui a été jugé frivole aux yeux d'Allah a été était interdit. Puis, ce fut une révélation pour moi: j'ai rencontré des athées, chrétiens, juifs, hindous - leurs paroles m'ont mise dans le doute". 
Après qu'elle ait abordé le sujet avec sa mère, celle-ci l'enferme pendant trois jours. Voyant la détermination de sa fille, la future djihadiste coupe tout lien avec elle. Elle avait même quitté la Grande-Bretagne pour Dubaï, pétrifiée à l'idée que le reste de la famille ne quitte l'islam. Car pour elle, sa fille était devenue kafira (féminin de kafir: mécréant), la brebis galeuse prises par les loups et elle, la maman, se devait de protéger le reste du troupeau.


2° Royaume-Uni: les femmes musulmanes sont victimes de violence dans les tribunaux de la charia

The Clarion Project du 1er avril 2015

Au lieu d'obliger les musulmans de Grande-Bretagne à renoncer à la polygamie (coran 4:3), à renoncer à battre leurs femmes (coran 4:34) et abandonner le principe d'inégalité entre hommes et femmes (coran 4:11 - 4:34 - 4:176), les naïfs dhimmis britanniques ont au contraire permis que toutes ces choses et pire encore soient introduites dans leur pays et deviennent la loi officielle. C'est ce qui se passe, depuis que la Grande-Bretagne a autorisé 85 tribunaux musulmans à rendre des jugements en se référant uniquement à la charia et donc en piétinant le Droit britannique et le Droit européen. Lire mon post "Britanistan: la charia est officiellement adoptée par le système juridique britannique".

La baronne Caroline Cox, une des principales voix de Grande-Bretagne pour les droits des femmes, appelle à l'ouverture d'une enquête sur le fonctionnement des tribunaux de la charia, après la découverte de nouvelles discriminations envers les femmes musulmanes à travers la Grande-Bretagne.

La Baronne essaie de contrer l'influence toujours croissante des tribunaux de la charia en Angleterre et au Pays de Galles. Son rapport, publié par le groupe de réflexion "The Bow Group",  a pour sujet les abus et la discrimination dont sont victimes les femmes confrontées aux tribunaux de la charia. Il se réfère aux politiques de ces tribunaux, officiellement habilités à statuer sur des affaires concernant la succession, la polygamie, l'accès au divorce pour les femmes, les violences familiales, etc. Une situation incompatible avec les principes juridiques fondateurs de ce pays et de tous les pays de l'Union européenne, dont les conséquences affaiblissent gravement les musulmanes britanniques, favorisent la discrimination systématique entre les sexes, mais aussi, sapent le principe fondamental des démocraties européennes qui est "Une même loi pour tous".
Le rapport comprend des témoignages de femmes victimes de diverses formes de violence. Parmi les propos recueillis dans ce rapport de 19 pages, on note les déclarations d'une victime qui dit: "Je me sens trahie par la Grande-Bretagne. Je suis venue ici pour fuir ce contexte et me voila dans une situation encore pire".

A mon avis, c'est loin d'être suffisant. Car l'erreur fatale aura été d'accepter que des tribunaux rendent la justice au nom des Britanniques en se référant à un texte moyenâgeux et non au Droit britannique. A mon avis, l'unique solution consiste à supprimer purement et simplement ces tribunaux. Mais le rapport va dans une autre direction en préconisant de faire voter un simple projet de loi visant à modifier les dispositions en place.
Ce projet de loi:
a)  rappelle que la loi sur la discrimination sexuelle s'applique aux procédures du tribunal d'arbitrage.
b) fait obligation aux organismes publics de s'assurer que les femmes dans les ménages polygames sont mises au courant de leur situation juridique et de leurs droits juridiques prévues par le droit anglais.
c) renforce les pouvoirs de la cour d'annuler les décisions lorsque la discrimination a eu lieu.
d) renforce les pouvoirs de la cour d'annuler les ordonnances du tribunal musulman quand il est prouvé que le consentement à l'accord a été obtenu sous la contrainte ou par la manipulation.
e) indiqué explicitement dans la loi que la victime de violence conjugale est témoin d'une infraction et doit donc être expressément protégé contre l'intimidation.
f) crée une nouvelle infraction pénale criminalisant toute personne qui prétend se prononcer juridiquement sur des questions qui doivent être décidées par les juridictions pénales ou familiales.

Ce qui, selon moi, aura autant d'effet qu'un emplâtre sur une jambe de bois...

3° Londonnistan: la première société islamique de vêtements ouvre son premier magasin à Londres 

American Infidels du 1er avril 2015

La société islamique de vêtements Aab a ouvert son premier magasin à Londres pour compléter son offre en ligne.
Le magasin a accueilli plus de 2.000 clients lors de son inauguration.

4° Royaume-Uni: Le père de l'adolescent djihadiste travaille au Ministère de la Défense 

Jihad Watch du 1er avril 2015

Le père d'un des trois djihadistes détenus en Turquie travaille au Ministère de la Défense, il a accès aux données personnelles de tous les employés. Il pourrait avoir accès aux noms, aux adresses et aux données personnelles de tous les militaires basés tant en Grande-Bretagne qu'à l'étranger.
Le ministère de la Défense a refusé de fournir tout commentaire.

5° Royaume-Uni: une unité de lutte contre le terrorisme découvre un camp d'entraînement au djihad au Pays de Galles

The Muslim Issue le 1er avril 2015

Les djihadistes suivent une formation de radicalisation dans les zones rurales les plus reculées du Pays de Galles.
La région est un des endroits les plus fréquentés de l'armée britannique pour la formation. Son relief accidenté aide à préparer les soldats, y compris les forces d'élite, physiquement et mentalement pour la guerre.

Le représentant des Autorités a fait une découverte primordiale, déclarant que "les problèmes concernant le terrorisme ne se limitent pas aux grandes villes"! Il était temps qu'il s'en rende compte. Il a également déclaré que les personnes impliquées sont "apparemment normales". On s'en doutait bien un peu, car comme tous les autres terroristes, ceux-ci ne se sont pas fait tatouer sur le front "je suis un djihadiste sanglant". Pauvre Albion.

Il semble que cette région soit de longue date un site de djihadistes, puisque deux des auteurs de l'attentat de Londres du 7 juillet 2005 ont été photographiés faisant du rafting dans la région et cinq ans plus tard, trois terroristes présumés de Cardiff ont été arrêtés, soupçonnés de préparer une attaque en Grande-Bretagne, du type "attentat de Bombay".

6° La ministre de l'Intérieur britannique aux extrémistes musulmans: "Fini de jouer!"

Gatestone Institute du 2 avril 2015

La ministre britannique de l'Intérieur Theresa May a dévoilé une série de nouvelles propositions visant à "lutter contre l'extrémisme islamique sous toutes ses formes".
Et les musulmans de crier tous en choeur à l'islamophobie parce que les propositions de la ministre porteraient atteinte à la liberté d'expression. C'est-à-dire au droit des musulmans de tabasser les homosexuels, à défaut de ne pas pouvoir les tuer, mais patience... , de pratiquer la polygamie, de discriminer leurs femmes, de les frapper,  de les répudier sur une simple injonction qui consiste à prononcer trois fois le mot talaq ("je te répudie") et de se marier avec des gamines de 12 ans.

Pourtant, à bien y regarder, la ministre ne fait que brasser du vent. Elle ferait mieux de s'atteler non pas au seul "extrémisme", mais au cancer généralisé qui ronge son pays: des gangs pédophiles qui exploitent sexuellement des centaines de gamines comme cela se passe à Lahore ou à Karachi, des écoles coraniques subventionnées qui appliquent la charia et interdisent la mixité et vont même, pour certaines, jusqu'à faire installer des hauts-parleurs dans les cours de récréation pour appeler les élèves à la prière (1), des "sharia-zones" dans lesquelles les "blancs" ne sont acceptés que s'ils se fondent dans le paysage à dominante de barbes hirsutes et de niqab, des tribunaux de la charia qui ordonnent le droit coranique de manière très officielle, etc. Car ces dérives ne sont pas seulement le fait des seuls "islamistes, mais sont dues à la succession d'abandons de souveraineté concédés à l'ensemble des musulmans, pas seulement à ceux qui se réclament ouvertement du djihad.
L'enjeu est majeur au possible: il en va tout simplement de la survie de la Grande-Bretagne.

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(1) A propos de la dérive "islamiste" du système éducatif britannique et de son islamisation rampante:
- Un rapport publié en 2014 a conclu qu'il y avait eu une "action coordonnée, délibérée et soutenue pour introduire une éthique islamique intolérante et agressive dans certaines écoles."

- Des prédicateurs, infiltrés dans le système éducatif, enseignent aux élèves que la musique et le contact entre les garçons et les filles sont interdits par l'islam. Des cas exemplaires ont été recensés dans des écoles de Birmingham et dans l'école Small Heath de Cardiff.

- Ailleurs, d'autres établissement "appliquent" eux aussi la charia en demandant par exemple aux élèves de ne pas dessiner des formes humaines car la loi islamique l'interdit.

- Dans d'autres établissements, des parents d'élèves se sont opposé à l'utilisation d'instruments de musique et demandent des aires de jeux distinctes et des classes séparées pour garçons et filles.

Lire aussi mes posts sur le sujet:
- Adieu Grande-Bretagne! Bonjour Britanistan!
- Une école publique a fait installer des hauts-parleurs pour l'appel islamique à la prière
- "Culture de la peur" dans les écoles de Birmingham

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