Le ramadan est le neuvième mois du calendrier islamique, un calendrier basé sur les phases lunaires. En conséquence, le calendrier islamique est plus court que le calendrier grégorien. Ainsi, le ramadan a lieu 10 ou 11 jours plus tôt d'année en année.
Le ramadan est le mois prétendument paisible et sacré des musulmans qui sont, durant cette période "bénie", censés se démontrer et démontrer au monde leur maîtrise de soi, leur force intérieure, leur spiritualité, leur détermination, leur caractère paisible, leur humilité et tout un tas d'autres qualités.
C'est ce qu'ils disent, et c'est ce que les naïfs Occidentaux gobent, malgré tous les constats contraires qui, pourtant, crèvent les yeux.
Avant d'aller plus loin, une question s'impose: si Allah était vraiment dieu, pourquoi a-t-il imposé aux musulmans un faux calendrier? Pourtant, les Arabes de la période pré-islamique, période que Mahomet avait dénommé Jahyliya (période d'ignorance), avaient divisé leur année en 13 mois de 28 jours (364 jours) et pourquoi Mahomet leur a fait adopter le cycle lunaire et ses 12 mois de 28 jours? Où se situe l'ignorance? Chez les Arabes pré-islamiques ou chez Mahomet? Les musulmans devraient se poser la question (lire également mon post Vive le ramadan des ignares!).
Revenons au ramadan, pour un autre constat: c'est durant ce mois qu'on dénombre, d'une année à l'autre, une recrudescence de violence qui fait de cette période la plus meurtrière de l'année. Que ce soit dans des guerres, des attentats, des attaques-suicide, ou encore dans des accidents du travail, de circulation, accidents domestiques ou autres. Un phénomène planétaire, connu au Maroc sous les noms de "tramden" (charcutage) ou de "mramden" (incontrôlable), et désigné partout dans le monde musulman par l'expression "rage du ramadan". Parmi les multiples raisons de cette hausse de la criminalité, il y a bien sûr les nombreux appels au combat contenus dans le coran.
- Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés [1]. - Dis : "Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d'Allah est de faire obstacle au sentier d'Allah, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants . L'association est plus grave que le meurtre" ( 2:217).
- Ô vous qui croyez! Les associateurs ne sont qu'impureté : qu'ils ne s'approchent plus de la Mosquée sacrée, après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s'Il veut, de par Sa grâce. Car Allah est Omniscient et Sage. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés (9:29).
Un beau résumé de la légendaire tolérance de l'islam, de toute sa spiritualité et de toute la moralité de Mahomet, qui a, par ces versets, légitimé la guerre en tous temps et en tous lieux, sauf "près de la mosquée sacrée", la Grande mosquée de la Mecque.
En effet, la violence islamique durant le ramadan a commencé avec Mahomet. C'est lui qui a mené la bataille de Badr, la première guerre contre les "infidèles", durant le ramadan de l'an 624. Par conséquent, les massacres et les tueries actuelles sont bien un enseignement du "beau modèle" Mahomet, qui est pour l'islam "l'être le plus parfait de la création". Un héritage légué aux musulmans et que ceux-ci se font un devoir (et aussi un plaisir pour certains d'entre-eux), de perpétuer. S'il fallait une preuve, il suffit de consulter la liste des batailles menées par les musulmans durant le ramadan.
En effet, la violence islamique durant le ramadan a commencé avec Mahomet. C'est lui qui a mené la bataille de Badr, la première guerre contre les "infidèles", durant le ramadan de l'an 624. Par conséquent, les massacres et les tueries actuelles sont bien un enseignement du "beau modèle" Mahomet, qui est pour l'islam "l'être le plus parfait de la création". Un héritage légué aux musulmans et que ceux-ci se font un devoir (et aussi un plaisir pour certains d'entre-eux), de perpétuer. S'il fallait une preuve, il suffit de consulter la liste des batailles menées par les musulmans durant le ramadan.
Le conflit israélo-arabe de 1973 est d'ailleurs appelé "guerre du ramadan" par les Arabo-musulmans. Plus récemment, durant le second conflit irakien, le mois de ramadan a vu à chaque fois une hausse spectaculaire des actes violents et des attaques contre les troupes américaines, atteignant un pic en 2007, avec plus de 1400 attentats et attaques-suicide. Et quand, ces jours derniers, les musulmans de l'Etat islamique parlent du djihad durant le ramadan, ils ne font que se conformer aux obligations islamiques qu'on retrouve tant dans le coran que dans les recueils de hadiths:
"Les meilleurs actes qui vous rapprochent d'Allah résident dans le djihad, alors accourez durant ce mois sacré pour envahir [des territoires] et tomber en martyrs. Musulmans et djihadistes de par le monde, faites en sorte que le ramadan soit un mois de malheurs pour les kuffars. Celui qui est doué de raison doit prendre soin d’être constamment au djihad pendant le ramadan car aucune adoration n’équivaut au djihad. Le djihad pendant le ramadan n’équivaut en rien au djihad dans un autre mois".
Les autres raisons qui poussent les musulmans à redoubler de violence durant le ramadan sont dues aux effets conjugués des interdictions diurnes de boire, de manger, de fumer, de chiquer (beaucoup de musulmans chiquent ou se droguent), aux excès nocturnes de ripailles et de fiestas et à l'accumulation de la fatigue. Mais surtout, elles sont dues à une irritabilité et une irascibilité hors du commun. Les arabo-musulmans sont réputés parmi les plus susceptibles et les plus colériques du monde et en période de ramadan, cet état ne fait qu'empirer. Surtout quant le ramadan tombe en été: journées interminables et fortes chaleurs n'arrangent rien, bien au contraire.
En Algérie, une étude menée par un institut algérien indépendant avait été censurée et tout l'équipement informatique de l'institut saisi par les autorités de ce pays. Cette étude a fini tout de même par paraître en 2012 grâce à un concours de circonstances: le directeur de cet institut a retrouvé une clé USB qui n'avait pas été saisie par les autorités et qui contenait tous les résultats de l'étude. C'est ainsi qu'a été révélée l'incroyable vague de criminalité qui avait sévit dans ce pays durant le "mois sacré" (lire Ramadan en Algérie: attention danger!). On y apprend que la petite délinquance avait augmenté de 220 %, les rixes et agressions de 320 %, les violences contre les femmes et les enfants de 120 % et les accidents de toutes sortes de 410 %. Le tout ayant entraîné une surmortalité de 80 %.
Ce phénomène n'est pas spécifique à l'Algérie, il est juste spécifique à l'islam, partout où sa présence est significative. Voir les conditions horribles de la décapitation de ce chef d'entreprise de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) et la réaction de la femme de l'assassin, qui a déclaré que son mari est un musulman tout ce qu'il y a de normal, qui fait le ramadan (sic). C'est d'ailleurs strictement vrai: il faut être un musulman ordinaire pour commettre des atrocités sans nom, car c'est bien en application du coran et de la sunna qu'elles sont commises.
Les musulmans nous le prouvent chaque jour: l'islam est aujourd'hui devenu le premier destructeur de l'humanité, la première cause mondiale de mort violente. Un triste record corroboré par une étude réalisée par Gunnar Heinsohn. Ce professeur émérite de sciences sociales de l'Université de Brême a réalisé une étude sur les conflits à travers le monde au cours des 60 dernières années. Il en a conclu qu'environ 11 millions de musulmans ont péri dans ces conflits, dont plus de 90% tués par d'autres musulmans!
Les musulmans ne font pas que s'entre-tuer. Ils s'en prennent aussi aux autres. La haine envers les non-musulmans, entretenue par le coran, les tafsirs (exégèses), les hadiths (recueils des paroles et actes de Mahomet) et les sirat (biographies de Mahomet) fait que les non-musulmans sont particulièrement ciblés durant le ramadan. Ainsi, en Algérie (encore), et tout particulièrement en Kabylie, tous les ans a lieu la chasse aux non-jeûneurs. Ailleurs, ce sont les églises qui sont brûlées (lire l'article du Daily Post, information passée sous silence par la presse française). On comprend la signification de ces actes quand on sait qu'en terre musulmane, les lieux de cultes juifs et chrétiens, seuls autorisés par l'islam, sont tout juste tolérés et ne peuvent être ni rénovés, ni réparés ni entretenus. Une manière d'éradiquer ces religions à plus ou moins longue échéance, pendant que l'Occident n'en finit pas de construire des mosquées sur son sol, que ce soit en Europe, en Amérique du Nord ou en Océanie.
Aujourd'hui, nous tous, non-musulmans, sommes engagés dans une guerre à mort, non pas contre les terroristes, extrémistes, djihadistes, fondamentalistes, etc... mais bien contre l'islam, autoproclamé religion alors que c'est juste une secte, malgré son milliard et demi d'adeptes. Un fait que l'Occident, englué dans ses mensonges du politiquement correct, refuse de reconnaître, mais qui s'imposera tôt ou tard, et malheureusement avec tout le contingent de violence que l'islam véhicule par sa nature. Car l'islam, depuis sa création, n'a connu qu'une seule manière de se développer: par le Sseif, le Sabre islamique. Et partout où il a réussi à s'imposer et à perdurer, il ne le doit qu'au règne de la terreur qu'il a imposé aux populations conquises. Et au maintien de ces populations dans la plus grande ignorance ...
Maintenir la Oumma dans l'ignorance Coran 8:39: "Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah". |
... et le plus grand déni historique. A tel point qu'aujourd'hui, si vous dites à un musulman d'Egypte qu'il n'est pas Arabe, il est capable de vous trucider.
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[1] Le coran reprend l'expression "les mois sacrés" telle qu'elle était utilisée par les Arabes pré-islamiques. Ceux-ci, considérés comme des sauvages et des ignares par Mahomet, avaient pourtant instauré des trêves durant leurs quatre mois sacrés, des trêves qui interdisaient toute activité guerrière et tout pillage durant ces périodes.
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