La bombe à retardement "Réfugiés" est amorcée, ne reste qu'à attendre l'explosion.
"Islam signifie paix" (ce qui est faux: islam signifie SOUMISSION) |
"Vous êtes viré!" Le gouvernement Merkel transforme l'hôtel quatre étoiles en logements pour immigrants illégaux et 100 employés se retrouvent à la rue, sans aucun avertissement.
Les employés de l'Hôtel Maritim 4 étoiles de la ville de Halle sont arrivés à leur travail, seulement pour s'entendre dire se rentrer chez eux parce qu'Angela Merkel a décidé de transformer l'hôtel en un refuge pour envahisseurs. Toutes les entreprises et les restaurants qui travaillaient pour l'hôtel ont également dû fermer leurs portes, et personne n'a reçu le moindre préavis.
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Ce qui est remarquable dans ce reportage est la réponse toute en réserves donnée par la plupart des personnes interrogées. On sent bouillir la colère dans leur voix mais ils sont attentifs à souligner qu'ils n'en veulent pas aux "nouveaux" arrivants. On peut supposer qu'ils sont en colère contre leurs dirigeants politiques et contre les bureaucrates, mais ces citoyens nouvellement au chômage sont prudents dans ce qu'ils disent pour n'exprimer aucun détail gênant. Le politiquement correct et la novlangue imposés par les "élites" ajoutés à la peur d'être taxé de raciste, c'est suffisant pour faire taire les plus hardis ... Peut-être aussi qu'ils ne veulent pas ruiner leurs chances de trouver un autre emploi.
Pris par surprise et abandonnés: voilà comment se sentent désormais les salariés de l'hôtel Maritim de Halle.
L'hôtel a été transformé en un hébergement pour réfugiés. Les salariés ont appris par les médias que l'hôtel a fermé ses portes et à partir d'aujourd'hui, la plupart ne savent pas ce qui va maintenant leur arriver .
D'un hôtel quatre étoiles à un centre de réception pour réfugiés, nos reporters sont sur place.
L'hôtel Maritim de Halle, jeudi dernier. Des voitures de police ont pris position. Les salariés sont réunis à une entrée latérale. L'hôtel a immédiatement cessé toute activité.
"Tout s'est décidé par-dessus nos têtes, sans qu'on nous ait consulté. Les clients et les gens qui ont leurs affaires dans l'hôtel ont été renvoyés, on leur a dit de partir. Hier, en prenant mes fonctions, j'ai appris qu'à partir d'aujourd'hui, je ne serais plus autorisé à entrer pour faire mon travail et servir mes clients".
Depuis la semaine dernière, rien n'est plus désormais comme avant. D'un seul coup, ils ont transformé un hôtel quatre étoiles en un centre de réfugiés. Les salariés ne l'on appris que par les médias, début septembre. La grande crise des réfugiés a débarqué au milieu du personnel de Maritim.
Andreas Lehmann est le président perplexe du syndicat des employés. Nous l'accompagnons sur son lieu de travail pour son dernier jour en tant qu'employé. Il travaille dans l'Industrie hôtelière depuis 37 ans. Il était vérificateur à la réception de l'hôtel, dans l'équipe de nuit. Maintenant il est sans emploi.
"Oui, je suis en colère, que ma carrière se termine ainsi. Je ne sais plus rien. Je suis en train de bouillir. Je ne sais pas comment je suis censé réagir."
Jeudi dernier il a rencontré ses collègues à l'hôtel, qui ne l'est plus désormais. Une cinquantaine de collègues se sont réunis. Britt Heidenreich était là elle aussi. C'est son anniversaire aujourd'hui. Elle a 42 ans et pendant 25 ans elle a travaillé au Maritim comme serveuse. La fermeture soudaine l'a complètement prise au dépourvu, comme tous les autres:
"Je ne pense pas que quelqu'un pouvait s'y attendre. Jusqu'à ce 5 septembre, quand nous l'avons appris par la Presse. Comment nous avons appréhendé tout ceci … Tout d'abord, nous n'avons pas voulu le croire pendant longtemps , mais pourtant, c'est l'amère vérité".
"Les salariés ont été informés dès le début de la "restructuration" de l'hôtel et on leur a offert des emplois en compensation", dit la Société Maritim.
Michael Schwammberger a travaillé à l'hôtel comme chef depuis 1985:
"Je ne sais pas quoi dire, tout est fini."
"Comment avez-vous l'impression d'être traités par votre employeur, combien de temps avez-vous travaillé pour eux ?"
"41 ans. J'ai 41 ans. J'ai commencé ici comme apprenti quand j'avais 16 ans. Et maintenant, ils retirent le tapis sous nos pieds. Comme cela."
Le personnel s'éloigne pour aller à un meeting. Mais là non plus, ils n'apprendront pas ce qui va maintenant leur arriver. Ils sont en colère d'entendre soudainement dire partout que l'hôtel n'était de touts façon pas rentable. L'Hôtel Maritim, construit en 1968, a toujours été considéré comme une vitrine moderne de la ville de Halle. Ses 310 chambres individuelles étaient considérées comme difficiles à gérer avec un revenu global de 3 millions d'euros par an. Mais dorénavant, la Société Maritim gagnera 3 millions d'euros annuels avec ses réfugiés. Un contrat de location de trois ans a été signé avec le comté de Sachsen-Anhalt. Le comté recherchait désespérément un lieu pour l'installation des réfugiés.
"Ils disent qu'ils avaient été sous pression, mais il faut admettre qu'ils ont créé ces problèmes eux-mêmes. C'est nous qui souffrons de ces problèmes créés par les politiciens … c'est très triste.
Le 10 septembre, le contrat était prêt à être signé. Le 1er octobre, les premiers réfugiés sont arrivés et l'hôtel a été transformé en une adresse provisoire pour réfugiés. Mais quand les premiers bus sont arrivés, l'accueil avait été méprisant.
Protestations. Les suspects habituels. Les gens se cachent derrière des bannières. Ne pas faire face à la réalité d'un monde plein de réfugiés. 17.000 demandeurs d'asile ont été pris dans le comté Sachsen-Anhalt pour cette seule année. Le centre pour le traitement des réfugiés de Halberstadt est désespérément dépassé. L'hôtel est censé apporter un certain soulagement. Il a été planifié pour que jusqu'à 700 personnes puissent y vivre. Cela n'a rien à voir avec un hébergement de luxe dans un hôtel quatre étoiles. Les petites chambres à un lit peuvent héberger jusqu'à cinq personnes. Les rumeurs selon lesquelles les réfugiés jouissent d'une cuisine exclusive sont de la propagande internet.
Tandis que les réfugiés emménagent dans l'hôtel, les chefs d'entreprise doivent dire au revoir à l'hôtel. Les propriétaires du salon de coiffure et du salon de beauté ont été pris au dépourvu aussi par la fermeture. Depuis le 1er octobre, la clientèle n'est plus autorisée à revenir dans [ces boutiques]. La propriétaire du salon, Karin Lüschke, se sent complètement abandonnée par les politiciens et par la société Maritim:
"Personne ne nous aide. Personne ne se soucie de nous. Nous n'avons rien à dire. Ils font tout pour les réfugiés, ce qui ne veut pas dire que je suis en colère contre les réfugiés, en aucune façon , mais ils [les politiciens] devraient nous traiter différemment. Ils devraient nous parler différemment.
Fini aussi, les cours de natation pour bébés dans la piscine de l'hôtel: la formatrice Kathrin Zäh qui avait loué cet espace se retrouve maintenant elle aussi sans emploi. Elle est déçue, mais elle n'est pas fâchée. Particulièrement pas contre les réfugiés:
"Eh bien, c'est certainement une situation difficile pour l'Allemagne, de trouver le logement adéquat pour les réfugiés, où ils pourraient vivre dans des conditions humaines. Mais d'autre part, que les manifestants, que les chômeurs, que les autres personnes qui ont aidé à construire cet hôtel, comme la piscine, ne peuvent plus désormais les utiliser, je comprend leur situation, je suis sûr que c'est dur. Je trouve juste décevant comment tout cela a été fait à la hâte".
Derrière les rideaux, cet enfant et sa famille irakiens ne savent rien de la frustration [des Allemands].
Ce qui se passe dans l'hôtel est étroitement surveillé par Helmut Geier, qui habite juste en face. Cet homme de 80 ans en a vu beaucoup en tant que soldat dans la Marine allemande. Mais ce qui arrive en ce moment, presque au seuil de sa porte, le touche.
"Je veux dire que je suis juste heureux que ces gens trouvent un endroit pour dormir, oui. Ils ont été obligés de fuir, peu importe d'où ils viennent, mais au moins maintenant ils sont en quelque sorte arrivés quelque part. Je pense que c'est assez agréable".
Les réfugiés ont besoin de l'aide et ils ont besoin d'un endroit où rester. Mais pour le personnel hôtelier en colère et qui se sent frustré, ni la Société Maritim ni les politiciensn'ont fait le moindre effort pour leur parler honnêtement et rapidement, dès le début.
Car il y a quelques semaines, avant que le personnel n'ait eu un avant-goût de la crise des réfugiés, un certains nombre de réfugiés ont été logés comme invités [dans l'hôtel]. Andreas Lehmann [du syndicat des employés] et ses collègues auraient été enclins à s'engager dans l'aide [s'ils avaient été consultés].
"Sûrement nous aurions pu trouver une solution et nous aurions pu aider à la prise en charge des réfugiés, mais ils ont décidé tout ce cela par-dessus nos têtes. Maintenant nous ne sommes plus autorisés … Ainsi, maintenant … c'est fini."
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À lire également, toujours à propos des réfugiés, mais dans un domaine qui touche la Santé:
Article qui traite de l'impact qu'ont ou qu'auront les réfugiés sur le système de soin et de santé allemand, au travers des questions que pose déjà l'afflux de réfugiés, qui est d'ores et déjà un véritable défi pour le système de santé et, plus loin, pour tout le système socio-économique du pays. Sont évoqués:
- l'accès aux soins de santé pour les migrants,
- le dépistage des maladies transmissibles,
- la réponse aux besoins sanitaires immédiats,
- et, pour finir, la chimère des adeptes du multiculturalisme: la fameuse utopie de l'intégration à long terme des musulmans, dont toutes les études et enquêtes faites tant en Occident qu'en Orient démontrent qu'au contraire, partout, les musulmans se radicalisent et s'enferment dans le plus hermétique des communautarismes (voir les enquêtes et sondages de Muslim Statistics et lire mon post "Le mythe de l'intégration: les musulmans d'Europe se radicalisent avec le temps" ).
D'autres défis attendent l'Allemagne et l'Union européenne, dont les épineuses questions de l'accès au travail, du logement, de la scolarisation et de l'intégration, surtout quand on voit le constat accablant que nous offrent en la matière les trois générations de musulmans, dont au moins deux sont natives d'Europe, qui refusent toute forme que ce soit d'intégration ou d'insertion dans les nations européennes, encore moins d'assimilation.
Et pour finir: des Allemands sont expulsés de chez eux...
- Expulsée de son logement pour y loger des migrants : « ce fût comme un coup de pied »
- Allemagne : des pauvres expulsés pour pouvoir accueillir les migrants
- Merkel : des locataires allemands expulsés de chez eux pour loger des migrants!
- L'Allemagne expulse des migrants européens pour faire place à des réfugiés syriens (en anglais).
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