Uruguay: Les populations locales indignées par le comportement des réfugiés et par leurs sempiternelles plaintes.
20 octobre 2015, Breitbart.com
En Uruguay, les réfugiés musulmans exigent des emplois bien rémunérés pour pouvoir nourrir leurs familles. Des familles étonnement surdimensionnées, comme celle qui compte 15 enfants.
C'est une véritable calamité pour toute l'humanité: partout où les envahisseurs musulmans vont, ils sont source de problèmes pour les populations locales. Aucun savoir-vivre, aucune retenue, aucune reconnaissance... tout cela accompagné partout et toujours par la violence, limitée dans le cas présent à la violence verbale. Mais on sait bien comment cela se passe quand les adeptes de Mahomet se sentent en confiance ou en état de supériorité.
Ce n'est que logique quand on connait l'islam: tout cela est contenu dans l'enseignement laissé par le gourou Mahomet:
- D'une part, tout est dû aux musulmans, qui sont la race supérieure (lire mon post l'islam a hiérarchisé les humains).
- D'autre part, tout territoire foulé par les musulmans peut être considéré comme une terre "waqf", une terre qui appartient à Allah et qui est "léguée de facto aux musulmans, jusqu'au jour du Jugement dernier".
- D'autre part, tout territoire foulé par les musulmans peut être considéré comme une terre "waqf", une terre qui appartient à Allah et qui est "léguée de facto aux musulmans, jusqu'au jour du Jugement dernier".
A partir de ce postulat, on peut esquisser un début de compréhension du comportement des réfugiés musulmans, tant en Europe que dans le nouveau monde.
Partant de ce raisonnement, certains en déduisent qu'il est tout-à-fait normal et naturel d'avoir des exigences, même là où l'humilité, la simplicité et la reconnaissance du ventre devraient leur dicter un autre comportement, un comportement humain non dicté par l'arrogance, l'agressivité, le déni, la forfanterie et la sauvagerie que leur a laissé Mahomet en héritage.
Pauvres réfugiés, qui sont arrivés en Uruguay en 2014 et qui n'ont pas, depuis, fait l'effort d'apprendre la langue. Du coup, ils continuent à vivre des allocations, parce que "leur mauvais espagnol n'a pas suffi à leur trouver un emploi" et parce que les autorités ne veulent pas leur fournir ce qu'ils demandent, comme d'avoir une ferme et du bétail, ou d'exiger de partir pour un pays plus riche. Mais puisqu'on vous dit que tout leur est dû!
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Juan Lacaze, Uruguay.
Juan Lacaze est une petite ville côtière dont l'activité est centrée autour de la pêche et de l'usine à papier, elle est située à 150 km à l'Ouest de Montevideo, à l'embouchure du Rio de la Plata. Elle a accueilli la famille de Merhi Alshebli, réfugié syrien, avec ses 15 enfants.
Juan Lacaze est une petite ville côtière dont l'activité est centrée autour de la pêche et de l'usine à papier, elle est située à 150 km à l'Ouest de Montevideo, à l'embouchure du Rio de la Plata. Elle a accueilli la famille de Merhi Alshebli, réfugié syrien, avec ses 15 enfants.
"Des institutrices uruguayennes accompagnent des enfants de réfugiés syriens pour la rentrée des classes, le 21 octobre 2014 à Montevideo" PHOTO A.F.P. / Miguel ROJO |
La tentative des Uruguayens d'aider en donnant un abri à 42 réfugiés - geste symbolique - semble se retourner contre eux car les familles de réfugiés se plaignent de la vie trop chère en Uruguay et des autorités qui ne font pas assez pour les soutenir. Même si le gouvernement fournit des logements à chaque famille et lui donne une allocation mensuelle.
Les ressortissants uruguayens qui côtoient les zones d'accueil des réfugiés syriens sont indignés par les abus des familles syriennes, tant dans les comportements que dans les actes: les réfugiés sont violents et exigent du gouvernement qu'il leur fournisse plus d'argent et de meilleurs emplois pour nourrir leurs familles.
Depuis 2014, l'Uruguay a pris cinq familles de réfugiés syriens comptant 42 personnes, dont la plupart ont participé aux protestations contre le gouvernement uruguayen, exigeant de "partir pour un pays riche". L'Associated Press rapporte que les Uruguayens commencent à s'offenser du rejet de leur patrie par les Syriens, sans aucune retenue.
Et, au contact des réfugiés, de nombreux Uruguayens sont venus à considérer les réfugiés comme grossiers et ingrats.
"Je suis scandalisée, ce qu'ils font est offensant", dit Monica Benitez, une résidente de Juan Lacaze. Monica Benitez travaille dans un magasin de chaussures, elle a exprimé son indignation en comparant cette situation à son expérience personnelle comme immigrante durant la crise économique en Uruguay, vivant pendant dix ans en Espagne avec son mari. "J'aurai été heureuse si l'Espagne m'avait donné la moitié de ce que l'Uruguay leur donne" a-t-elle déploré, disant qu'elle a été "très gênée" par les exigences des Syriens de vouloir quitter le pays.
Certains habitants du pays ont déclaré à l'Associated Press qu'ils ne sont pas tant vexés par les Syriens que par le gouvernement uruguayen, pour les avoir accepté malgré la petite taille du pays et les difficultés économiques. "L'Uruguay n'est pas dans la situation financière propice à accueillir des réfugiés. … Il était évident qu'ils ne seraient pas à l'aise ici," a dit Jennyfer Lopez, une étudiante. Un autre résident note que les familles syriennes cherchent à se rendre dans un pays riche" [1].
Les réfugiés syriens contactés par l'Associated Press disent qu'ils aiment bien les Uruguayens, mais craignent de ne pas pouvoir nourrir leurs grandes familles.
"J'aime l'Uruguay. J'aime bien les familles uruguayennes. Mes enfants vont tous à l'école ici … mais la nourriture est très chère. Comment puis-je nourrir mes 15 enfants?" a dit Merhi Alshebli. Il se plaint aussi que le gouvernement ne lui permette pas d'avoir du bétail sur sa propriété [2]. Car Alshebli se plaint également parce que le gouvernement ne lui donne pas une ferme, rien qu'un modeste potager.
"Pas de moutons. Pas de vaches. Aucune terre", a-t-il déclaré.
"J'aime l'Uruguay. J'aime bien les familles uruguayennes. Mes enfants vont tous à l'école ici … mais la nourriture est très chère. Comment puis-je nourrir mes 15 enfants?" a dit Merhi Alshebli. Il se plaint aussi que le gouvernement ne lui permette pas d'avoir du bétail sur sa propriété [2]. Car Alshebli se plaint également parce que le gouvernement ne lui donne pas une ferme, rien qu'un modeste potager.
"Pas de moutons. Pas de vaches. Aucune terre", a-t-il déclaré.
L'analyste politique et docteur en Sciences Sociales Daniel Chasquetti a déclaré que le gouvernement a sous-estimé les différences culturelles entre l'Uruguay et le pays d'origine des réfugiés et a omis de prendre en compte leurs compétences professionnelles limitées.
"Il est vrai que l'Uruguay n'est pas un pays riche" a déclaré le Secrétaire de Droits de l'homme Javier Miranda au journal argentin La Nacion, mais, a-t-il ajouté, les Syriens étaient traités de la même manière que les Uruguayens: "les possibilités de travail qui leurs sont offertes sont les mêmes que celles proposées à la majorité des Uruguayens".
"Il est vrai que l'Uruguay n'est pas un pays riche" a déclaré le Secrétaire de Droits de l'homme Javier Miranda au journal argentin La Nacion, mais, a-t-il ajouté, les Syriens étaient traités de la même manière que les Uruguayens: "les possibilités de travail qui leurs sont offertes sont les mêmes que celles proposées à la majorité des Uruguayens".
Ce mois-ci, Merhi Alshebli a choqué les habitants. Alshebli cherche à quitter le pays pour se rendre "n'importe où ailleurs" et il a fait les manchettes des journaux internationaux après qu'il ait attaqué des fonctionnaires uruguayens et qu'il s'être aspergé d'essence quand on lui a dit que l'Uruguay ne peut pas imposer à d'autres pays d'offrir des visas.
Bizarrement, les réfugiés n'ont pas de passeports syriens. Ils ne peuvent pas obtenir de passeports uruguayens parce qu'ils ne sont pas citoyens du pays. Le gouvernement leur donc établi des cartes d'identité nationales, mais qui sont insuffisantes pour franchir beaucoup de frontières et l'Uruguay dit très logiquement qu'il ne peut pas forcer les autres pays à accepter ces documents.
Elles ont ainsi protesté pendant plusieurs jours devant la présidence uruguayenne pour demander qu'on les envoie dans un autre pays. Alors que le simple bon-sens suffit à faire comprendre que l'Uruguay, comme tous les autres pays, n'a pas autorité à délivrer un visa pour un autre pays.
Puis vint l'incident du 6 octobre, quand Alshebli s'est aspergé d'essence en signe de protestation, en présence des fonctionnaires du Secrétariat des droits de l'homme de l'Uruguay. Selon un communiqué de l'agence, il l'a fait après avoir été informé que l'Uruguay n'a pas autorité pour lui délivrer un visa pour un autre pays.
Il est difficile de savoir si l'intention d'Alshebli était de s'immoler ou simplement d'effrayer les fonctionnaires, qui, plus tard, ont déposé une plainte contre lui. Alshebli a refusé de parler de l'incident et n'a pas voulu répondre aux demandes de commentaires.
Un de ses fils, Ibrahim, âgé de 21 ans, a déclaré que son père avait tout simplement perdu son sang-froid et ne voulait pas faire de mal. Alshebli a été emmené à l'hôpital pour une évaluation psychiatrique.
Son geste a choqué les Uruguayens et les a indigné.
Malgré cela, le maire de Montevideo a récemment fait l'éloge du programme de réfugiés syriens de son pays, exhortant "toutes les capitales d'Amérique latine à accepter des réfugiés".
En Août dernier, une des familles syriennes avait essayé de se rendre en Serbie, ils avaient été bloquée 23 jours à l'aéroport d'Istanbul, car ils ne possédaient pas les documents nécessaires. En fin de compte, ils sont retournés en Uruguay.
L'Uruguay a été contraint de suspendre partiellement son programme pour les réfugiés en février 2015, après une forte flambée de violence conjugale qui ont forcé les fonctionnaires à considérer l'acceptation de réfugiés syriens mâles dans le pays comme une entreprise culturellement incompatibles. Un mois plus tard, le gouvernement a arrêté le programme tout à fait, mais il a depuis reconsidéré sa position et prévoit de prendre un nouveau groupe de familles dans un avenir proche.
L'Uruguay aura un rôle plus important face à la crise syrienne à l'ONU, surtout que le pays est maintenant admis comme membre provisoire du Conseil de sécurité, ce que le Ministre des affaires étrangères Rodolfo Nin Novoa a qualifié de "grande reconnaissance pour [son] pays".
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[1] Tout comme en Europe, où les migrants cherchent à aller avant tout en Allemagne, en Grande-Bretagne ou dans les pays scandinaves, des pays où ils pourront vivre grâces aux aides sociales.
Auparavant, on n'avait jamais vu des "réfugiés" choisir leur lieu de destination en fonction de la richesse d'un pays ou de son PIB. Il apparaît ainsi très clairement qu'on a à faire à tout le moins à une invasion économique, si ce n'est un djihad de peuplement.
Auparavant, on n'avait jamais vu des "réfugiés" choisir leur lieu de destination en fonction de la richesse d'un pays ou de son PIB. Il apparaît ainsi très clairement qu'on a à faire à tout le moins à une invasion économique, si ce n'est un djihad de peuplement.
[2] Il semble bien que partout où ils passent, c'est le même refrain: "les musulmans sont inaptes au travail". C'est en tout cas ce que dit l'ancien Président uruguayen, qui déclare dans cette vidéo que "les réfugiés syriens qui ont été réinstallés dans ce petit pays d'Amérique du Sud ne sont pas capables d'effectuer des travaux agricoles".
[3] L'auto-immolation a une connotation symbolique dans le monde arabo-musulman depuis les événements qui ont précédé la chute de Ben Ali: le catalyseur principal du "printemps arabe" en Tunisie était un vendeur de fruits qui s'est immolé par le feu.
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