"Une nation peut survivre à ses fous, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut pas survivre à la trahison de l'intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, car il est connu et il porte sa bannière ouvertement " (Cicéron).
Je suis fatigué de l'islam. Fatigué qu'à chaque fois que j'allume la télé ou la radio, que j'ouvre un journal, je tombe sur les gros titres et les manchettes qui me disent qu'il y a encore des innocents tués, à cause de Mahomet et de son dogme malfaisant. Fatigué de constater que la quasi totalité de la violence et des morts violentes dans le monde sont le fait de ce dogme putride qui empoisonne l'humanité, marre de voir à chaque fois que ces attaques violentes sont commises aux cris d'Allahu-akbar [1].
Marre surtout de tous ces discours hypocrites qui cherchent encore et toujours à substituer à la vérité le mensonge éhonté de la classe dirigeante. C'est l'islam et lui seul qui génère cette violence, c'est le coran et rien d'autre qui incite à la haine, à la terreur et à la mort. Des discours répétitifs qui n'ont pour but que d'éviter un débat qui pourtant s'impose depuis des décennies: le débat sur l'islam. On ne le fera pas tant qu'on restera dans cette configuration, parce que l'Occident a jeté l'éponge. Il a perdu la guerre avant d'avoir livré bataille, accroché à ses idées, certes très louables, d'humanisme et de générosité, mais qui n'ont pour effet que de renforcer la conviction du "camp d'en face", qui voit dans cette attitude humaniste juste de la faiblesse, peut-être même de la peur.
Organiser le débat sur l'islam
François Hollande a déclaré: "Nous allons mener le combat, il sera impitoyable". Pour son premier ministre, "le pays était en guerre" [2]. Outre que ces déclarations n'impressionnent pas le moins du monde cet ennemi, ils ont tous deux oublié de le nommer et de préciser que la guerre faite à l'Occident par cet ennemi non identifié ne date ni d'hier ni de l'année dernière. Elle a été déclarée depuis des décennies, de manière unilatérale, par l'islam expansionniste et djihadiste, autrement dit le seul et véritable islam. Seulement, l'Occident, ou plutôt ses élites, font semblant de ne pas l'avoir compris... Même quand cette guerre leur éclate à la figure, comme ce fut le cas le 11 septembre 2001 aux USA, le 11 mars 2004 à Madrid ou le 7 juillet 2005 à Londres. Et ce 13 novembre 2015 à Paris.
Que tous ces crimes abominables n'aient pas servi à tirer la sonnette d'alarme sur l'islam et à chercher à le comprendre est totalement incompréhensible.
Le même discours, la même rengaine nous ont maintes fois été servis par les "élites" bien-pensantes pour disculper l'islam de ses crimes. Qu'il s'agisse du Pape, de Hussein Obama, Angela Merkel, David Cameron, Stefan Löfven, Justin Trudeau et tutti quanti. Plutôt que de s'adresser enfin à un auditoire adulte et lui parler dans un langage adulte, politicards et plumitifs préfèrent infantiliser leurs peuples en les abreuvant de leur concept irrationnel de "politiquement correct". Ce même concept qui leur fait dire que ceux qui prétendent défendre leur terre, leur culture et leur patrimoine ne sont, comme Victor Orban, Oskar Freysinger ou Geert Wilders, que des "islamophobes", des fascistes et des racistes. Parce que l'islam est une race? Racistes, juste parce qu'ils tentent de préserver leurs pays de l'invasion des égorgeurs. Juste parce qu'ils veulent placer leurs peuples à l'abri des attentats-suicide.
À ce propos, les auteurs d'attentats-suicides ne devraient en aucun cas être dénommés "kamikazes" et comparés aux aviateurs japonais dont la mission était de s'écraser sur les bateaux américains. Eux ne s'en prenaient jamais aux civils, contrairement aux soldats d'Allah, dont c'est la spécialité. C'est faire injure à ces soldats, et au delà, faire injure à tout le peuple japonais. Les contemporains guerriers d'Allah ne se battent plus contre d'autres armées, ils préfèrent la terreur.
Les "élites" occidentales semblent comme pétrifiées rien qu'à l'idée de prononcer les mots "islam" ou "musulman". Le "politiquement correct" a fait de grands ravages dans les cerveaux! L'Occident a peur (et honte?) de montrer son nationalisme, a peur (et honte?) de défendre sa culture et a peur (et honte?) de montrer son amour pour la patrie. Regardez comment Angela Merkel semble gênée quand on lui tend le drapeau de son pays, regardez la moue qu'elle fait et son geste de refus, voire de dédain:
La génération actuelle de dirigeants a atteint un niveau d'irresponsabilité comparable à l'aveuglement des Daladier et Chamberlain qui, par leur refus de voir la réalité, avaient plongé l'Europe dans le plus grand désastre de son Histoire. Non seulement ils ont permis l'immigration musulmane incontrôlée, mais ils ont en outre réussi à museler la population en lui imposant une censure déguisée mais bien réelle que ne renierait pas les marxistes-léninistes. La conséquence est qu'il n'y a plus de véritable réflexion sur ce sujet aussi fondamental, voire vital.
Au moment où la toute première nécessité à l'échelle européenne serait l'organisation de débats sur l'islam et autour de l'islam, c'est tout le contraire qui se produit: l'Occident ne veut pas en entendre parler pour ne pas "stigmatiser", quitte à précipiter son suicide.
Qu'ont donc à craindre l'Occident et les musulmans d'un tel débat? Puisqu'ils disent et répètent à qui veut l'entendre que l'islam est religion de paix-amour-tolérance, il ne devrait pas y avoir de difficultés à le prouver. Car il faut le prouver, les formules sentencieuses ne suffisent pas à elles seules, elle doivent être accompagnées d'arguments solides.
Puis, ils retourneront chez eux, en attendant la prochaine barbarie ... L'Occident continuera d'être surpris et choqué à chaque fois qu'une nouvelle attaque bestiale se produira, surpris et choqué comme si elle se produisait pour la première fois.
On peut déjà dire que le 13 Novembre 2015 n'aura servi à rien. Tout comme les massacres de Montauban et de Toulouse en mars 2012, de Paris en janvier 2015, l'égorgement d'un chef d'entreprise à Saint-Quentin-Fallavier et toutes les autres sauvageries islamiques n'ont servi à rien. L'idée du débat sur l'islam, sur son idéologie, sur sa doctrine politique et sociale, sur sa haine et sa violence ataviques sera remise aux calendes grecques. Même si les peuples méritent mieux. Même si les morts innocents ne méritent pas qu'on occulte ne serait-ce qu'une partie de la vérité. Même si cette réflexion sur l'islam serait une manière de leur rendre hommage et de dire qu'ils ne sont pas morts pour rien. Rien ne sera fait dans ce sens, c'est pourquoi on est porté à croire que la seule grande leçon à tirer de ces atrocités est qu'elles vont se multiplier.
Schizophrénie
L'Occident ne peut pas gagner avec sa stratégie schizophrène qui consiste à protéger l'islam pendant que l'islam utilise les armes que lui procure la démocratie, contre la démocratie. C'est d'ailleurs une des raisons qui font qu'aucun des 57 pays musulmans ne vit sous le régime démocratique. Il ne peut pas gagner avec sa stratégie schizophrène qui consiste, au détriment de toute forme de bon-sens, à mettre systématiquement sur le dos des tueurs, simples exécutants, tous les actes bestiaux commis par l'islam, en ne citant jamais, au grand jamais, ce qui est la cause de cette bestialité, à savoir l'idéologie criminelle et inhumaine léguée par Mahomet à l'ensemble des musulmans.
Si un chrétien (ou un juif, ou un bouddhiste, ...) entrait dans un lieu public et déchargeait sa kalachnikov sur la foule en criant "Jésus est le plus grand" (ou Yahvé, ou Bouddha, ...) il y a fort à parier que l'ensemble des bien-pensants crierait aussitôt à l'attentat chrétien (ou juif, ou bouddhiste, ...). Quand il s'agit d'un acte djihadiste fait par application du coran, les mêmes se précipitent sur les micros pour parler de terrorisme, d'intégrisme et d'extrémisme, sans jamais évoquer la vraie et unique raison de cette barbarie et sans prononcer le "mot qui fâche": islam. C'est ainsi que l'administration Obama a interdit, entre autres, qu'on évoque les mots "islam" - "musulman" - "islamiste" dans la narration de l'attentat de Boston du 15 avril 2013.
L'Occident ne ne peut pas gagner en affirmant, comme l'a fait Merkel, que la réponse appropriée au djihad est la tolérance. Ou en masquant l'identité des djihadistes musulmans par des euphémismes comme "violences extrémistes" ou "kamikazes du Bataclan", mots utilisés par Europe1 qui a classé ces actes barbares dans sa rubrique "faits divers". Il ne ne peut pas gagner en omettant volontairement les mots "islam" - "musulman" - "islamique" - "djihad". Il ne peut pas gagner en refusant tout dialogue et tout débat qui porteraient sur la vraie nature de l'islam et sa violence atavique. Il va perdre la guerre civilisationnelle à cause de son enfermement dans le discours "politiquement correct" qui consiste à caresser dans le sens du poil l'islam et les musulmans, ce qui interprété comme de la faiblesse.
L'Occident n'aura à avoir peur ni de l'État islamique, ni d'aucune autre organisation musulmane: le terrorisme est dans ses murs, il est confortablement et durablement installé chez lui car il est dans toutes les mosquées qui se sont multipliées ces dernières décennies sur son territoire. Pour l'islam, tout commence dans les mosquées. C'est là que les enfants reçoivent l'enseignement coranique, le même que celui que j'ai reçu dans ma Kabylie natale, le même qu'en Afghanistan, en Turquie ou aux Maldives, le même que dans la prestigieuse mosquée al-Azhar du Caire, d'où sont sortis les plus grands "savants" de l'islam [4].
Un enseignement à l'image du coran d'où ressort tout ce qui est endémique au monde musulman: la violence, la haine, l'amour de la mort, l'incitation à tuer. Tout comme il n'y a qu'un seul coran, il n'y a qu'une seule façon de l'enseigner. Il ne peut pas en être autrement. En Europe, peut-être plus qu'ailleurs car il faut en plus mettre l'accent sur l'impureté des Occidentaux, qui ne sont que des porcs, il faut bien faire ressortir les différences entre le pur musulman et le kafir dont la destination finale est l'enfer, il faut argumenter sur l'impossibilité de se lier d'amitié avec les kuffar ou partager leurs valeurs, l'impossibilité pour les femmes musulmanes de se marier avec eux, tout en leur présentant un côté non agressif et poli. Ce qui s'appelle taquiyya et c'est ce qui est dit dans le coran.
Dans le domaine de l'enseignement coranique prodigués aux petits gamins musulmans d'Europe, le pire est aussi à venir. À cause de la folie des dirigeants qui ont laissé s'installer l'islam et ses mosquées sans contrôle. Sans chercher à savoir ce qui se fait, se dit et est enseigné. Pas curieux pour deux ronds, ils ne cherchent pas à voir le contenu des livres mis en vente dans les "centres culturels" [5] de certaines mosquées, ni sur les vidéos. Pour la plupart, des livres qui racontent les hauts faits d'armes de Mahomet: assassinats de poètes, décapitation d'ennemis, viol des femmes et gamines otages de razzias, vente des femmes-esclaves, etc. Ou l'écartèlement de la vielle Oum Qirfa:
D'autres livres et vidéos sur la manière de lapider, d'amputer bras et jambe opposés, sur la façon d'aborder les juifs et les chrétiens, en exigeant d'eux qu'ils s'humilient et qu'ils se mettent sur le bas-côté de la route quand ils croisent un musulman, en baissant les yeux en signe de soumission. Comme on s'en rend compte, des principes humanistes compatibles avec les valeurs universelles.
Puisque l'Europe a décidé d'inviter encore plus de musulmans à s'installer chez elle, le problème ne fera que s'amplifier. Le 13 Novembre 2015 est juste le commencement, il sera malheureusement suivi d'autres massacres.
Quand les médias nous disent que François Hollande a fermé les frontières, on peut déduire raisonnablement que la France a laissé entrer trop de terroristes. On peut aussi déduire que c'est l'aveu implicite de l'inconscience, de la lâcheté, de l'incompétence, de l'impuissance et de la compromission des dirigeants européens, qui ont, par leur laxisme, participé à cette Hijra invasive musulmane qui est là pour déstabiliser l'Occident, participer à sa mort démographique et mettre fin à la civilisation judéo-chrétienne. Parce que le coran a intimé aux musulmans l'ordre de poursuivre le djihad "jusqu'à ce que le culte soit rendu à Allah et à Allah seul", c'est-à-dire que toute l'humanité soit sous la domination de l'islam et que soit établi le Califat mondial. Pour que se réalise la prophétie de Mahomet: "On m'a ordonné de combattre les peuples jusqu'à ce qu'ils croient en Allah et son messager".
Ce qui justifie le fait que les réfugiés ne vont pas vers les pays musulmans mais vers les pays de kouffar, ce confirme que l'Occident est face à une Hijra-invasion et ce qui explique que ces réfugiés sont à 75% des hommes, et des hommes visiblement en bonne santé et en âge de combattre.
Que les musulmans fassent une nouvelle Hijra ou qu'ils commettent des attentats aveugles, ils ne font qu'obéir au prescriptions coraniques. Ils savent que, puisqu'ils n'ont pas beaucoup de chances de vaincre par la guerre, il leur reste ces armes pour conquérir le monde: la Hijra, la démographie et le terrorisme. Si la terreur/le terrorisme sont ainsi un des éléments importants de conquête, c'est parce qu'ils sont présentés de cette manière par le coran, dans lequel plusieurs versets commandent aux musulmans d'instaurer "la terreur dans le coeur des infidèles", une des meilleures façons de servir le Grand Califat mondial, rêve des musulmans.
Les dirigeants européens et les médias qui les couvrent devraient être tenus pour responsables de tout le sang versé par leurs concitoyens [5].
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À lire également (désolé, c'est encore pour les anglophones, pas d'articles équivalents en français):- Enquête: 23% des réfugiés syriens en Europe se déclarent sympathisants de l'État islamique. L'article dit que les chiffres réels doivent plutôt avoisiner les 80%. Questions: puisqu'ils sont fans de ces égorgeurs, que font-ils en Occident? Ils devraient rester chez eux, à grossir les rangs des combattants d'Allah.
- La criminalité en Allemagne est en hausse de 65% depuis l'arrivée massive des migrants musulmans. Pourtant, la Chancelière Merkel avait déclaré que les nouveaux arrivants étaient une "opportunité" pour son pays...
- Sondage: 81% des musulmans interrogés cautionnent les massacres faits par l'État islamique. À la question "Soutenez-vous les victoires de l'État islamique", seulement 19% des 38.000 sondés ont répondu "non".
- Un milliard de musulmans veulent la charia. Le Pew Research Center, organisme américain indépendant, a fait un sondage dans les pays musulmans au travers de ces deux questions:
Q1 : la charia devrait-elle être la loi de votre pays ?
Q2 : doit-elle s'appliquer à tout le monde [y compris aux non-musulmans]?
Les réponses sont éloquentes:
Q1: 63% (990 millions de musulmans, sur les 1,572 milliard de musulmans veulent que la charia soit la loi de leur pays
Q2: 38% veulent l'imposer à tout le monde.
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Ajout du 17 novembre 2015:
Indécent vis-à-vis des familles des victimes:
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[1] Allahu-akbar, contrairement au message là encore véhiculé par une presse couarde et soumise, ne signifie pas "Allah est grand" mais "Allah est le plus grand" (en anglais "Allah is the greatest"), qui est le cri symbolique qui démontre la supériorité d'Allah et, par extension, la supériorité du musulman sur le non-musulman
[2]Cette phrase aura eu un effet désastreux sur un grand nombre d'écoliers, qui sont traumatisés à l'idée de la France en guerre.
[3] Par exemple, la vidéo montrant les musulmans de Londres qui célèbraient le djihad sanglant de Paris devant une station de métro de Londres a été très rapidement retirée par Youtube. Probablement par référence à la nouvelle déontologie journalistique et politique ...
[4] Parmi les étudiants diplômés de la prestigieuse université islamique al-Azhar du Caire, on trouve les plus grands "savants" de l'islam dont Hassan el-Banna, Youssef al-Qaradawi, cheikh Yassine, Izz al-Din al-Qassam, Tariq Ramadan, l'ami d'Hitler hadj Amin al-Husseini, etc. Que du joli monde...
[5] La dénomination "centre culturel" n'est pas innocente: elle permet aux musulmans de percevoir des subventions de la part des mairies, départements et régions, au titre de la culture. Ce qui fait que les contribuables participent financièrement au bourrage de crâne de ceux qui pourraient devenir leurs bourreaux.
[6] La honte de l'UE s'appelle Federica Mogherini. En sa qualité de "Haut Représentant de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité", elle a fait un discours à Bruxelles sur le thème de l'islam et a notamment déclaré ce qui suit:
"L’idée d’un affrontement entre l’islam et «l’Occident» - un mot dans lequel on met tout et qui est confus - a trompé nos politiques et nos récits. L’Islam occupe une place dans nos sociétés occidentales. L’Islam appartient à l’Europe. Il occupe une place dans l’histoire de l’Europe, dans notre culture, dans notre nourriture et – ce qui importe le plus – dans le présent et l’avenir de l’Europe".
"Certaines personnes tentent maintenant de nous convaincre que le musulman ne peut pas être un bon citoyen européen, que plus de musulmans en Europe sera la fin de l’Europe. Ces personnes non seulement se trompent sur les musulmans: ces gens se trompent sur l’Europe, ils n'ont aucune idée de ce que sont l’Europe et l’identité européenne".
"Le soi-disant État Islamique met en avant une tentative sans précédent de pervertir l’islam pour justifier d’un projet politique et stratégique néfaste [...]".
La suite de sa déclaration (je n'ai pas trouvé la version française).
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