Inde: Les "vénérables" d'un village musulman commandent le viol d'une femme

Dans un post précédent, j'avais repris un article qui parlait du viol d'une jeune fille par un gang-rape - violeurs en bande - , toujours dans le Bengale oriental. Rien d'étonnant quand on connait les principes qui déterminent les relations entre hommes et femmes dans l'islam. J'ai traité le sujet des rapports hommes/femmes et de la sexualité en islam à plusieurs reprise dans ce blog, notamment dans ces articles:

- Statut (peu enviable) de la femme en islam

- Place de la femme dans l'islam 

- L'islam est une secte

- Mahomet, tentative de réfutation de ses actes pédophiles 

Ces crimes odieux semblent donc être le lot quotidien en terre d'islam. L'histoire suivante vient conforter ce triste constat. L'islam 

Une jeune fille a été violée pour avoir eu une liaison avec un jeune d'une autre communauté.

Reblogué très librement depuis " Américans Infidels"
La police a déclaré que la jeune fille a été placée dans un lieu où elle sera en sécurité. 

La police indienne a arrêté 13 personnes accusées du viol d'une femme de 20 ans, qui aurait été agressée sur ordres de notables du village.

L'agression a eu lieu dans un village isolé de l'état du Bengale occidental,  où la femme célibataire appartenant au groupe tribal Santhal était soupçonnée d'avoir une relation avec un musulman d'un village voisin.

Les anciens, qui constituent le "conseil des notables" [sic] du village, ont dans un premier temps imposé une amende de 25 000 roupies (400 $) à sa famille, mais celle-ci était dans l'incapacité de payer, selon le commissaire de police.

"La jeune fille a été violée pour avoir une liaison avec un jeune d'une autre communauté et pour n'avoir pas pu payer l'amende qui lui a été imposée par le conseil du village" a-t-il déclaré.

"Les 13 hommes, dont le chef du conseil du village, qui ont été arrêtés et cités à comparaître", a-t-il ajouté.

Les Conseils de village ou de tribu sont composés d'anciens, des hommes "vénérables" et "respectables" qui exercent une énorme influence sur la vie rurale, en particulier dans le nord de l'Inde. Ils ont l'habitude d'émettre des peines, souvent comparables à des diktats, particulièrement pour les infractions morales (*). 

Cette attaque met l'Inde sous le feu des projecteurs, ce pays détient le triste record mondial concernant la délinquance et la violence la violence sexuelle, surtout depuis le viol mortel d'une étudiante à New Delhi en Décembre 2012.

Cette attaque fait aussi écho à un cas similaire qui s'est déroulé en 2002 dans le très islamique Pakistan voisin, sur une autre femme, et sur ordre d'un conseil de village; ce crime avait été ordonné pour venger une prétendue incivilité de son frère de 12 ans envers une femme d'un clan rival.

Six hommes ont été condamnés à mort pour le viol de la pakistanaise analphabète Mukhtar Mather. Mais 5 d'entre-eux ont été plus tard acquittés et la peine du principal coupable  a été réduite à la prison à vie.

Attachés à des arbres

Le crime s'est passé dans un village en Inde a eu lieu à Subalpur, un village situé à environ 240 kilomètres à l'ouest de la capitale d'Etat Kolkata, dans le Bengale occidental.

"Le chef du conseil de village a tenu une réunion d'urgence sur la place du village quand la jeune fille et son amant ont été appelés", a déclaré le chef de la police.

"La jeune fille et son amant ont été attachés à deux arbres différents et condamnés à une amende de 25 000 roupies chacun", a-t-il ajouté.

"Comme les parents de la jeune fille, qui étaient également présents à la réunion, étaient dans l'incapacité de payer l'amende, le chef du conseil de village a ordonné comme punition qu'elle soit violée par les villageois comme punition", a-t-il indiqué.

L'homme a été libéré après avoir accepté de payer l'amende dans un délai d'une semaine, mais la femme a été emmenée dans un hangar où elle a subi le "gang-rape", le viol en bande.

La femme, qui se remet de son traumatisme dans un hôpital local, a identifié ses 13 violeurs. Ils devraient comparaître devant un tribunal de la ville voisine de Bolpur.

Le mois dernier, l'Inde a marqué le premier anniversaire de la mort de la jeune fille de 23 ans, étudiante qui a été violée à New Delhi dans un bus, dans une attaque qui a provoqué une véritable onde de choc à travers le pays.

Malgré des lois plus sévères et des efforts visant à changer les attitudes envers les femmes dans les sociétés patriarcales profondément conservatrices de l'Inde, le nombre de crimes sexuels déclarés ne cesse d'augmenter.

Par exemple, une jeune fille de 16 ans a été agressée le 26 octobre, puis de nouveau le lendemain, par un groupe de 6 hommes, près de sa maison familiale. Elle s'est ensuite immolée par le feu et est morte à l'hôpital le jour du Nouvel-An.

Autre cas qui s'est passé ce mois-ci: une femme danoise a prétendue avoir été violée et volée dans la capitale New Delhi, après s'être égarée en cherchant son hôtel. Six hommes ont été arrêtés après cette agression.

Malheureusement, les mauvaises habitudes ne se perdent pas au contact des autres, ce qui fait qu'aujourd'hui, l'Occident n’est pas à l’abri de ces crimes.  

Des crimes qui sont loin d'être criminalisés par l'islam et qui représentent même pour certains un comportement exemplaire en ce que ces abominations sont des actes faits par imitation de Mahomet.

D'ailleurs, l'argument qui revient le plus souvent lors de procès impliquant des violeurs musulmans est: "je ne savais pas que c'est interdit par la loi" ! On croit rêver ...

(*) Il est à noter la ressemblance entre ces "conseils des sages" villageois et les "tribunaux de la charia" autorisés en Grande-Bretagne, lire "4° Royaume-Uni - Les musulmans créent une milice d'intervention rapide" dans mon article "L'islamisation de l'Europe se poursuit - Dans l'indifférence quasi générale"