Info passée presque inaperçue le 22 mars dernier: des muzulmans ont encore réussi à faire interdire un spectacle.
Encore une fois à cause de la lâcheté des Occidentaux, qui cèdent à tous les caprices, à toutes les exigences et requêtes des musulmans. Ils laissent à chaque fois s'envoler une part des libertés chèrement acquises par leurs ancêtres, pour faire plaisir aux adeptes d'une secte moyenâgeuse, en creusant ainsi chaque jour un peu plus leur tombe.
Ce n'est pas une première: les musulmans avaient réussi à faire interdire la pièce de Voltaire "Le Fanatisme ou Mahomet le Prophète" tout d'abord en Suisse en 1993, puis ensuite en France en 2006 lorsque Hervé Loichemol, metteur en scène et militant antifasciste, avait tenté de monter la pièce à Saint-Genis-Pouilly, dans l'Ain, juste en face de Genève.
Eh oui, les musulmans sont extrêmement susceptibles, surtout dans ce domaine. L'éditeur Christian Bourgeois le sait bien: le simple fait de rééditer le livre de Voltaire en 2006 l'a fait passer pour un provocateur.
Alors que les musulmans se sont arrogé le droit de critiquer tout ce qui n'est pas comme eux et qu'ils se sont donné le droit de piétiner et d'insulter tous les non-musulmans et toutes les religions. Leur allah les incite même au racisme le plus primaire. Mais gare à celui qui ose les critiquer, ou qui déchire une feuille de leur bouquin, ou à celui qui ose dire ne serait-ce que la vérité sur leur Gourou. Salman Rushdie, Taslima Nasreen, Lars Viks, Kurt Westergaard et beaucoup comme eux en savent quelque chose, d'autres l'ont payé de leur vie, comme Theo van Gogh.
Si on pouvait, on égorgerait encore aujourd'hui les écrivains et les poètes, on les décapiterait, comme on faisait du temps de Mahomet, quand il faisait exécuter les poétesses de la Mecque, des poétesse pourtant très populaires et très appréciées, avant que la secte sanguinaire ne leur fasse la chasse.
1° Les faits, qui constituent une énième reculade des libertés face à l'islam:
Lorsque la chaîne ABC Family a annoncé son projet de script intitulé "Alice in Arabia", il y a eu beaucoup de personnes qui se sont aussitôt senties offensées et qui ont de suite pensé que tout ceci ne serait qu'un monceau de stéréotypes de mauvais goût. Avant même de connaitre le contenu de cette fiction, avant même de savoir que l'histoire est celle d'une adolescente américaine kidnappée par sa famille royale saoudienne et forcée de vivre en Arabie.Pourtant, cette histoire peut être comparée avec des faits réels, des dizaines de cas similaires d'enfants et d'adolescents enlevés par un des parents et emmenés dans un autre pays. Pas seulement dans le monde musulman, mais surtout dans le monde musulman. L'histoire racontée par Betty Mahmoody dans son livre "Jamais sans ma fille" étant l'exemple le plus connu.
Mais pour les musulmans, raconter une histoire vécue, adapter un fait-divers pour en faire une fiction, ou tout simplement dire la vérité, ce sont des choses choquantes et offensantes. Et l'auteur du pilote d'Alice in Arabia, Brooke Eikmeier, aussitôt traitée de raciste.
Pour autant, on ne peut pas lui reprocher de ne pas connaitre son sujet. C'est une "vétérane" de l'armée américaine qui a travaillé comme linguiste spécialiste de la langue arabe, interprète et experte en cryptologie (l'art de déchiffrer les messages codés). Elle a été formée par la National Sécurity Agency pour des missions au Moyen-Orient.
Seulement, les musulmans américains travaillent depuis longtemps à infiltrer tous les rouages de l'administration et de la société américaines. De sorte que, bien que très minoritaires aux USA (1), leur influence est considérable, surtout depuis l'arrivée d'un certain Hussein O. à la Maison Blanche. C'est ainsi qu'à la suite de pressions de la part de la communauté musulmane et après l'intervention du Council on American-Islamic Relations (2), une très influente association de musulmans américains, la chaîne ABC Family abandonne son projet "Alice in Arabia".
2° L'histoire
Alice est une jeune fille américaine de 16 ans. Sa mère meurt dans un accident de voiture qui plonge son père dans le coma. Son grand-père arrive d'Arabie dans son jet privé. Il est présenté comme prince Bakr Shookri Al-Saud, de la famille régnante d'Arabie Saoudite. L'auteur lui attribuera le surnom d'Abu Hamza, qui est aussi le nom d'un "extrémiste". Il persuade Alice de partir, elle s'envole pour l'Arabie. Lors d'une escale technique, sa tante lui prend son passeport en prétextant les formalités administratives et le donne au grand-père qui le met aussitôt en lui sûr. Une fois à Riyad, Alice découvre qu'il n'a pas l'intention de lui permettre de retourner aux États-Unis.Alice se retrouve entre deux clans opposés: d'un côté, Abou Hamza et la famille élargie et de l'autre, quelques alliés d'Alice qui l'aident à préparer son évasion.
Quand elle débarque à Riyad dans la famille royale d'Abu Hamza, elle est chaleureusement accueillie par les femmes et les serviteurs. Dans le palais, certains fument le narguilé pendant qu'ils regardent Desperate Housewives et Sex and the City, d'autres lisent le coran sur leurs iPads. Une des jeunes filles veut finir ses études avant de se marier, une autre s'est volontairement engagée à 14 ans avec un homme et ne se maquille jamais car elle ne veut pas être perçue comme une prostituée.
Rien que de très commun pour qui connait la vie quotidienne dans toute "l'Islamie", pas seulement en Arabie. Bien entendu, Alice n'est pas libre de ses mouvements et son principal souci n'est évidemment pas de s'intégrer dans cette société moyenâgeuse mais de fuir au plus vite ce monde carcéral. Même si on ne connait pas grand chose de l'Arabie Saoudite, on sait tous qu'il en est ainsi dans ce pays peuplé par les esclaves que sont les femmes et les domestiques, et par les psychopathes dominants que sont les mâles.
Il ne s'agit donc pas d'un simple clivage entre le monde occidental et l'islam et on est très en deçà de la réalité, mais pour les musulmans, ce scénario est raciste et insultant. Pourtant, il n'y a vraiment pas de quoi fouetter un chat: tout le monde connait le dossier saoudien concernant les "non-droits" des femmes, tout le monde sait par exemple que la Saoudienne ne sort jamais sans son mahram, c'est-à-dire son tuteur légal, qui peut être son père, son mari, son frère ou encore son fils qu'elle a torché durant des années et qu'elle torche peut-être encore. Tout le monde sait qu'elle n'a pas le droit de travailler au contact du public, sauf dans les écoles pour filles et les hôpitaux, pas le droit de voyager sans autorisation, pas le droit de conduire un véhicule, pas le droit de faire du sport sauf dans des lieux privés et avec des "tenues décentes", etc.
Mais quand on est un kafir كافر comme cette ancienne soldate, on n'a pas le droit de le dire, encore moins d'en faire le sujet d'une fiction.
Quant à ABC Family, la chaîne va sortir un autre drame cet été, un autre sujet sensible: "Chasing Life", dont le tournage de la bande-annonce sera fait à la fin de celui de son dernier succès, "Pretty Little Liars", en français "Les Menteuses". Il sera question d'une femme de 24 ans atteinte d'un cancer en phase terminale juste au moment où sa carrière et sa vie personnelle prennent leur envol.
Un cancer pour remplacer la peste verte islamique, mais comme aucun musulman n'est en rien impliqué dans la cause de ce drame, on a encore la liberté d'en parler, d'en faire une tragédie ou même une saga, à diffuser en boucle sans restriction aucune sur toutes les chaînes du monde.
Les États -Unis et l'Occident ne courent pas à leur perte, ils s'y précipitent...
___________________________________
(1) Les estimations sont difficiles à établir. Elle vont de 2,5 millions (wikipédia) à 7 millions (chiffre du CAIR) mais les chiffres de 3 ou 4 millions semblent les plus proches de la vérité - lire l'article de Daniel Pipes
- "Chronique de l'islamisation des USA - Le sénat des États-Unis ouvre sa séance par une sourate"
- "L'islam américain est lié au terrorisme"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire