Islam: les hommes sont des directeurs pour les femmes. Le texte coranique et son commentaire officiel.
C'est la règle coranique qui prévaut pour le milliard et demi de musulmans du monde, y compris pour les musulmans qui vivent en Occident. C'est donc aussi la loi enseignée dans toutes les madrasa (écoles coraniques) et mosquées de France.
C'est la règle coranique qui prévaut pour le milliard et demi de musulmans du monde, y compris pour les musulmans qui vivent en Occident. C'est donc aussi la loi enseignée dans toutes les madrasa (écoles coraniques) et mosquées de France.
1° Coran, verset 4:34
Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, haut et grand !2° Tafsir
Nota: le tafsir est le "commentaire officiel", l'exégèse, d'un verset. Il est, selon les musulmans, "ce qu'il y a de plus important pour la compréhension du coran". Le tafsir que je reproduit ici est celui d'ibn Khatir, considéré comme un des plus grands imams de l'histoire.
De par sa création et en vertu de la préférence qu'Allah lui a accordée, l’homme a l’autorité sur la femme, il est son maître qui la gouverne et la corrige quand il le faut. Jouissant de cette suprématie, la prophétie a été toujours le privilège des hommes à qui aussi ont été confiées les rênes du pouvoir. Le prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit à ce propos: «Un peuple ne saurait prospérer s'il est gouverné par une femme».
Il y a aussi d’autres raisons pour cette autorité qui consistent aux dépenses d’entretien dont ils sont chargés, la dot et autre: les hommes ont donc une prééminence sur les femmes, elles doivent leur être soumises comme Allah l'a ordonné, et cette soumission se traduit par être bonnes à l’égard des parents du mari et concerne la garde de ses biens.
Al-Hassan al-Basri raconte qu’une femme vint se plaindre auprès du prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - accusant son époux de l’avoir frappée. L’envoyé d'Allah -qu’Allah le bénisse et le salue - s’écria: «La loi du talion». Mais Allah à ce moment fit cette révélation: «Les hommes ont autorité sur les femmes [...]» et la femme devait retourner chez elle sans appliquer aucune peine à son mari.
Quant à Ali ben Abi Taleb, il raconte que l’envoyé d'Allah - qu'Allah le bénisse et le salue - ordonna d’amener l’époux d’une femme qui venait se plaindre en lui disant: «Il m’a frappée et voilà les traces de sa brutalité sur mon visage». L’Envoyé d'Allah -qu’Allah le bénisse et le salue - lui répondit: «Il n’a pas le droit de le faire». Allah, à cette occasion, fit descendre ce verset, et le prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - de s’écrier: «J’ai décidé une chose mais la décision d'Allah est différente».
Puis Allah montre que les femmes vertueuses sont pieuses, soumises à leurs époux et préservent dans le secret ce qu'Allah préserve. A cet égard Abou Hourayra rapporte que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «La meilleure des femmes est celle qui te plait lorsque tu la regardes, obéit à tes ordres, et lorsque tu t’absentes d’elle, elle garde tes biens et sa chasteté». Puis il récita ce verset: «Les hommes ont autorité sur les femmes [...] jusqu’à la fin du verset».
[...]
Il y a aussi d’autres raisons pour cette autorité qui consistent aux dépenses d’entretien dont ils sont chargés, la dot et autre: les hommes ont donc une prééminence sur les femmes, elles doivent leur être soumises comme Allah l'a ordonné, et cette soumission se traduit par être bonnes à l’égard des parents du mari et concerne la garde de ses biens.
Al-Hassan al-Basri raconte qu’une femme vint se plaindre auprès du prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - accusant son époux de l’avoir frappée. L’envoyé d'Allah -qu’Allah le bénisse et le salue - s’écria: «La loi du talion». Mais Allah à ce moment fit cette révélation: «Les hommes ont autorité sur les femmes [...]» et la femme devait retourner chez elle sans appliquer aucune peine à son mari.
Quant à Ali ben Abi Taleb, il raconte que l’envoyé d'Allah - qu'Allah le bénisse et le salue - ordonna d’amener l’époux d’une femme qui venait se plaindre en lui disant: «Il m’a frappée et voilà les traces de sa brutalité sur mon visage». L’Envoyé d'Allah -qu’Allah le bénisse et le salue - lui répondit: «Il n’a pas le droit de le faire». Allah, à cette occasion, fit descendre ce verset, et le prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - de s’écrier: «J’ai décidé une chose mais la décision d'Allah est différente».
Puis Allah montre que les femmes vertueuses sont pieuses, soumises à leurs époux et préservent dans le secret ce qu'Allah préserve. A cet égard Abou Hourayra rapporte que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «La meilleure des femmes est celle qui te plait lorsque tu la regardes, obéit à tes ordres, et lorsque tu t’absentes d’elle, elle garde tes biens et sa chasteté». Puis il récita ce verset: «Les hommes ont autorité sur les femmes [...] jusqu’à la fin du verset».
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Comment un homme doit traiter sa femme insubordonnée, quand elle lui désobéit et le méprise?
1 - La réprimander et lui rappeler le châtiment d'Allah et le droit du mari en vertu de sa dépense pour elle et ses bienfaits. L’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «Si j’avais le droit d’ordonner à une personne de se prosterner devant une autre, j’aurais demandé à la femme de se prosterner devant son mari».
En outre Abou Hourayra a rapporté que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «Lorsqu’un homme invite sa femme à son lit pour le coït, qu’elle refuse et qu’il passe la nuit irrité contre elle, les anges la maudissent jusqu’au matin».
2 - Lui interdire de partager sa couche: c’est à dire, d’après ibn Abbas, s’abstenir d’avoir des rapports charnels avec elle en la reléguant dans sa chambre ou de lui tourner le dos étant dans un même lit, et sans lui adresser la parole tant qu’il se trouve avec elle dans le foyer conjugal.
Mouawia ben Hayda rapporte qu’il a demandé à l'envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - : «Ô envoyé d'Allah! Quel droit une épouse a-t-elle sur l’un de nous?» Ses droits, répondit-il, sont: lui assurer la nourriture, l’habillement, éviter de la frapper au visage, ne pas l’insulter et de ne la fuir que dans le lit».
3 - La frapper après avoir usé de tous les moyens pour la corriger en lui prodiguant de conseils et en la fuyant et ceci sans être brutal.
Mouslim rapporte dans son sahih que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit dans son discours lors du pèlerinage de l’adieu: «Craignez Allah en vos femmes car elles sont comme des captives chez vous. Entre autres droits que vous avez sur elles, elles ne doivent plus recevoir chez elles de personnes qui vous déplaisent. Si elles font cela, frappez-les sans les brutaliser. Par contre vous devez leur assurer la nourriture et l'habillement selon la coutume».
Si jamais un homme veut frapper sa femme pour la corriger, il doit éviter de lui causer une fracture ou de laisser les traces sur son corps. A ce propos, l’Envoyé d'Allah - qu'Allah le bénisse et le salue - avait dit: «Ne frappez pas les servantes d'Allah». Omar vint lui dire, plus tard: «Ô envoyé d'Allah, les femmes se sont révoltées contre leurs maris». Alors, il donna aux hommes l'autorisation de les frapper. Par la suite, plusieurs femmes vinrent trouver les épouses du prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - pour se plaindre du mauvais comportement de leurs maris, il s’écria: «Certaines femmes sont venues porter plainte contre leurs maris, or que ces derniers sachent qu’ils ne sont plus meilleurs qu’elles».
Allah exhorte les hommes en leur disant: «Mais dès qu’elles redeviennent soumises, ne leur cherchez plus querelle» qui signifie qu’une fois la femme devenue soumise et obéissante, l’homme ne doit pas la maltraiter en la fuyant ou en la frappant. Allah certes est plus élevé et plus grand que les hommes, Il les jugera et se vengera d’eux.
1 - La réprimander et lui rappeler le châtiment d'Allah et le droit du mari en vertu de sa dépense pour elle et ses bienfaits. L’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «Si j’avais le droit d’ordonner à une personne de se prosterner devant une autre, j’aurais demandé à la femme de se prosterner devant son mari».
En outre Abou Hourayra a rapporté que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit: «Lorsqu’un homme invite sa femme à son lit pour le coït, qu’elle refuse et qu’il passe la nuit irrité contre elle, les anges la maudissent jusqu’au matin».
2 - Lui interdire de partager sa couche: c’est à dire, d’après ibn Abbas, s’abstenir d’avoir des rapports charnels avec elle en la reléguant dans sa chambre ou de lui tourner le dos étant dans un même lit, et sans lui adresser la parole tant qu’il se trouve avec elle dans le foyer conjugal.
Mouawia ben Hayda rapporte qu’il a demandé à l'envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - : «Ô envoyé d'Allah! Quel droit une épouse a-t-elle sur l’un de nous?» Ses droits, répondit-il, sont: lui assurer la nourriture, l’habillement, éviter de la frapper au visage, ne pas l’insulter et de ne la fuir que dans le lit».
3 - La frapper après avoir usé de tous les moyens pour la corriger en lui prodiguant de conseils et en la fuyant et ceci sans être brutal.
Mouslim rapporte dans son sahih que l’envoyé d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - a dit dans son discours lors du pèlerinage de l’adieu: «Craignez Allah en vos femmes car elles sont comme des captives chez vous. Entre autres droits que vous avez sur elles, elles ne doivent plus recevoir chez elles de personnes qui vous déplaisent. Si elles font cela, frappez-les sans les brutaliser. Par contre vous devez leur assurer la nourriture et l'habillement selon la coutume».
Si jamais un homme veut frapper sa femme pour la corriger, il doit éviter de lui causer une fracture ou de laisser les traces sur son corps. A ce propos, l’Envoyé d'Allah - qu'Allah le bénisse et le salue - avait dit: «Ne frappez pas les servantes d'Allah». Omar vint lui dire, plus tard: «Ô envoyé d'Allah, les femmes se sont révoltées contre leurs maris». Alors, il donna aux hommes l'autorisation de les frapper. Par la suite, plusieurs femmes vinrent trouver les épouses du prophète - qu’Allah le bénisse et le salue - pour se plaindre du mauvais comportement de leurs maris, il s’écria: «Certaines femmes sont venues porter plainte contre leurs maris, or que ces derniers sachent qu’ils ne sont plus meilleurs qu’elles».
Allah exhorte les hommes en leur disant: «Mais dès qu’elles redeviennent soumises, ne leur cherchez plus querelle» qui signifie qu’une fois la femme devenue soumise et obéissante, l’homme ne doit pas la maltraiter en la fuyant ou en la frappant. Allah certes est plus élevé et plus grand que les hommes, Il les jugera et se vengera d’eux.
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Vidéo: Les femmes qui se déhanchent, c'est de la viande...
Si j'ai bien compris ce qui est dit dans cette vidéo, quand les femmes se font violer, c'est de leur faute, et non de celle du violeur, que le juge ignare des choses de l'islam condamne à 65 ans de prison... Alors que la provocatrice est libre de recommencer.
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Lire aussi:
- Islam et djihad du viol §10: "Et si les femmes se font violer, c'est de leur faute"
- Statut (peu enviable) de la femme en islam
- Place de la femme dans l'islam
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