Lettre désespérée des écoliers suédois à leur directrice: "Nous avons peur".
Lettre désespérée des écoliers suédois à leur directrice, après avoir été battus à l'école par des enfants musulmans. Une agressivité "normale" pour ces derniers, élevés au biberon de la violence: l'islam n'enseigne pas les rapports basés sur l'égalité et le dialogue, mais sur la force brute et la hiérarchisation des humains: le fort domine le faible et le fort doit être le musulman, car Allah l'a voulu ainsi:
"Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers" (coran, 3:110).
Swedicide, le suicide de la Suède |
De plus en plus de parents n'envoient plus leurs enfants à l'école centrale de Kristianstad [1] et les gardent à la maison, après que des enfants avaient été maltraités dans cette école par les élèves immigrants nouvellement arrivés.
Des enfants qui sont battus à coups de pied, qui sont étranglés et qui subissent d'autres traitements dégradants, c'est maintenant devenu la vie quotidienne à l'école centrale de Kristianstad. L'école a reçu un grand nombre de nouveaux élèves lors du récent chaos de demandeurs d'asile, et a ouvert deux classes préparatoires pour les immigrants nouvellement arrivés.
Et ce sont les enfants immigrants nouvellement arrivés qui créent les problèmes.
- Mes enfants sont restés à la maison depuis mercredi, ils ne se sentent pas en sécurité et je n'ai pas voulu les forcer", dit Malin [prénom assez répandu en Suède], qui est la mère inquiète de deux garçons qui vont à cette école.
La directrice et les enseignants ont exhorté les enfants suédois de "s'éloigner" en cas de combat ou de conflits avec les enfants immigrants, une recette qui ne fonctionne pas.
- "Quand ils changent d'endroit, ils sont encore persécutés par ces gangs qui les insultent et qui utilisent un langage très violent envers les enfants de deuxième et troisième année", dit Malin, qui ajoute:
- "Lorsqu'un des garçons avait dit qu'il ne voulait pas jouer au football parce que les immigrés trichent, deux d'entre eux l'ont agressé. Le garçon étant complètement couvert de sang avant que des adultes n'aient pu intervenir".
Pas seul
Malin n'est pas la seule des parents à laisser ses enfants à la maison parce que leurs enfants ne se sentent pas en sécurité à l' école. Madeleine est une autre mère qui a aussi deux garçons en première et deuxième année à l'école. Ils restent à la maison parce qu'eux aussi ont peur d'aller à l' école.
- "Comme leur meilleur ami avait été étranglé jeudi, mes enfants sont restés à la maison le vendredi. Ils avaient la peur au ventre, et mon plus jeune garçon, qui a sept ans et qui est en première année, est tombé. Ses genoux sont meurtris" dit-elle.
La directrice: "Essayez de comprendre"
Les attentes de Malin et de Madeleine sont simples, elles ne veulent pas de chasse aux sorcières à l'école, la seule chose qu'elles veulent est que tout se passe bien de nouveau. De plus, elles sont loin d'être les seules à se sentir concernées par ces problèmes. Vendredi, les parents de sept familles ont rencontré la directrice, Annika Persson, pour parler de ces problèmes de violence chez les enfants d'immigrants.
Dans un premier temps, la directrice avait refusé de parler, même aux parents des élèves concernés, mais quelques temps après, elle a cédé et organisé une réunion. Madeleine avait apporté une lettre que ses deux fils ont écrit à l'intention de la directrice.
- "Lors de la réunion, la directrice nous a dit que l'on doit avoir une compréhension pour ces enfants brutaux car ils ont fui la guerre, ils sont peut-être nés dans des camps de réfugiés et peuvent ont-ils des antécédents traumatiques", dit Madeleine. Elle poursuit:
- "J'ai alors demandé à la directrice de me dire comment expliquer cela à mes enfants: qu'il est normal d'être étranglés ou battus, ou que d'autres enfants leur disent «rentre chez toi, enc... de ton père» et de se sentir désolé pour eux, car ils viennent de la guerre? Je ne sais pas comment expliquer cela à mes enfants".
Suédois minoritaires
À la réunion d'hier, à laquelle un conseiller avait assisté, les parents ont été informés que 90 à 95% pour cent des élèves de l'école étaient maintenant des enfants d'origine étrangère.
- "Nos enfants sont devenus minoritaires, a dit la directrice, voila pourquoi on se retrouve avec un tel désordre", dit Malin.
- "Elle ne veut pas admettre que ce sont les enfants étrangers qui sont le problème, mais qu'il y a un manque de communication entre les enfants et qu'il existe des différences culturelles et des difficultés linguistiques, on ne peut pas se comprendre les uns les autres, et ensuite ils utilisent les poings pour se faire entendre" [2].
Enfreindre la loi
Madeleine ne sait pas ce qu'elle devrait faire lundi, si ses enfants vont continuer à rester à la maison ou aller à l'école malgré la menace de davantage de violence.
- "J'ai peur. Je ne peux pas rester à la maison, je dois travailler, donc je ne sais pas comment ce sera lundi", dit-elle, ajoutant:
- Je vais voir si mon père peut rester avec les enfants lundi".
Malin a toutefois commencé à rechercher une nouvelle école pour ses garçons, chose difficile car toutes les écoles sont surchargées.
- "Lors de la réunion, j'ai dit à la directrice que je ne me sens pas bien à ce sujet, et je ne sais pas si je serai capable d'envoyer mes enfants à l'école lundi. Elle me répondit que je dois envoyer mes enfants à l'école! J'enfreindrai la loi si je les garde à la maison. Mais hier, nous avons visité une nouvelle école".
La directrice n'a pas voulu faire de commentaire
Lorsque Fria Tider a appelé Annika Persson samedi pour lui demander un commentaire sur la violence contre les enfants suédois à l'école, elle n'a pas voulu donner de réponse. Elle a demandé qu'on la rappelle lundi.
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[1] Kristianstad est une petite ville du sud de la Suède, peuplée de 35.000 habitants. Tout comme en Allemagne et en France, les pouvoirs publics suédois envoient directement les migrants dans les petites villes des zones rurales, en espérant que là, l'aspect invasif "se verra moins" et aura donc moins d'impact et ainsi moins d'influence négative sur l'opinion publique. C'est le signe, de la part des dirigeants, d'une volonté délibérée de tricher, de duper le peuple et de prendre les électeurs pour des imbéciles. Et peut-être aussi peur de voir grossir les troupes d'Allah dans les no-go-zones des banlieues. Ce qui implique que ces mêmes dirigeants sont bien conscients de la véritable menace contre l'Occident que représentent l'islam et les musulmans, mais qu'ils ne font rien pour contrer cette menace, quitte à provoquer la disparition de leur culture et de leur civilisation. Pour des raisons qui restent pour moi incompréhensibles.
Addenda du 05/06/2016, 17h30: la thèse du repeuplement des zones rurales par les migrants est corroborée par cet article: "Le Gouvernement suédois vire une famille autochtone de sa maison pour la donner à des migrants musulmans" qui relate un fait qui s'est passé en Suède, dans une petite ville de 30.ooo habitants, Lidingö.
Une famille virée de chez elle, et avec la manière: le père de deux garçons adolescents a reçu un message vocal de sa municipalité lui disant qu'il devra quitter la propriété pour août, afin de faire place à des demandeurs d'asile en provenance du Moyen-Orient.
"Je suis expulsé de ma maison par téléphone. On fait comme si je n'avais aucune valeur, même si je paie des impôts et que mes enfants vont à l'école ici. On ne peut pas mettre une famille à la rue pour loger une autre famille" a déclaré le père à un journal.
[2] Toujours le déni de vérité de la part des bien-pensants. Et toujours à absoudre l'islam de ses délits et de ses crimes. À le dédouaner de ce qui est sa vraie nature: violence sous toute ses formes, terreur, sang et conquête.
Une famille virée de chez elle, et avec la manière: le père de deux garçons adolescents a reçu un message vocal de sa municipalité lui disant qu'il devra quitter la propriété pour août, afin de faire place à des demandeurs d'asile en provenance du Moyen-Orient.
"Je suis expulsé de ma maison par téléphone. On fait comme si je n'avais aucune valeur, même si je paie des impôts et que mes enfants vont à l'école ici. On ne peut pas mettre une famille à la rue pour loger une autre famille" a déclaré le père à un journal.
[2] Toujours le déni de vérité de la part des bien-pensants. Et toujours à absoudre l'islam de ses délits et de ses crimes. À le dédouaner de ce qui est sa vraie nature: violence sous toute ses formes, terreur, sang et conquête.
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