1) Le prophète a dit: "la terre m’a été assignée comme oratoire et pour moi, son sol est pur. Aussi, en quelque endroit qu’il soit à l’heure de la prière, le fidèle de mon peuple doit prier" (al-Bukhari, 58/56).
Ainsi, toute la planète Terre est un leg qu'il fait aux allumés comme lui. On comprend mieux certains dérangés du bulbes qui veulent virer les Européens de leur terre ancestrale.
2) J’ai reçu l’ordre de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils disent: "point d'autre dieu qu'Allah". (Muslim, Sahih 1/200).
Donc, le djihad pour les dérangés du bocal ne s'arrêtera pas tant qu'il y aura un humain à convertir (ou à crucifier, ou à égorger, ou à pendre, ou à décapiter ... etc). Ce qui est confirmé par au moins 3 versets du coran, dont celui-ci:
- 2.193: " Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes. "
3) Le prophète disait: "je suis le prophète de la clémence, je suis le prophète du carnage. Je suis un rieur sanglant". (ibn Taimiya, Traité de droit 8-9).
On ne l'ignore pas. Il est aussi le prophète de l'ignorance crasse et des anachronismes, du sang et du meurtre, de la folie et de la spoliation, du mensonge et de la haine, de la fourberie et du déshonneur, de l'inceste et de la pédophilie, ... etc, etc, etc ...
Prophète du carnage, il l'a été. Des éxégètes ont même recensé ses crimes et ceux qu'il a ordonné. C'est ainsi que l'Iranien Ali Dashti (1894 - 1982), "torturé à mort par le régime islamique" (Wikipédia), relate un de ces crimes:
"Amir ibn Umayya fut mandaté pour tuer Abu Sufyan, mais Abu Sufyan en eut vent, et lui échappa. A la place, Amir tua un Quraïsh sans défense et un autre homme, sur le chemin du retour vers Médine. Abu Afak, un homme d'un grand âge (on disait qu'il avait 120ans) a été tué parce qu'il avait tourné Muhammad en ridicule. L'acte a été commis par Salam ibn Umaïr, sur la demande du prophète, qui avait déclaré:
-Qui me débarrassera de cette crapule?
Le meurtre du vieillard poussa une poétesse, Asma bint Marwan, à écrire des vers irrespectueux envers Muhammad, et elle fut elle aussi assassinée."
Prophète du carnage.
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