L'espionnage d'Obama exclut les mosquées et rate les plastiqueurs de Boston.
Un article pris sur le website officiel de l'United States Defence League (USDL)
Publié par Chic91160 le 13/06/2013
Paru dans Investitors Business Daily
06/12/2013 Insécurité Intérieure: La Maison Blanche assure que le dépistage de chaque appel téléphonique et de chaque "frappe" consiste à empêcher les actions terroristes, et pourtant il n'y a aucun "limier" pour surveiller les mosquées, là où se trouvent les terroristes.
Il s'agit bien de cela, la surveillance très large exercée par le Gouvernement sur nos communications les plus privées exclut les usines (les fabriques) de jihad que sont les mosquées et où les terroristes du pays sont radicalisés.
Depuis octobre 2011, les mosquées ont été interdites aux agents du FBI. Pas de surveillance ou d'opérations secrètes de série sans l'approbation d'un organe de contrôle spécial du ministère de la Justice surnommé Comité d'Examen des Opérations Sensibles.
Qui fait partie de ce Comité, et comment décident-ils des demandes? Personne ne le sait, les noms du président, des membres et du personnel sont gardés secrets.
Nous savons seulement que le jury a été mis en place sous la pression des groupes islamistes qui se plaignaient des "infiltrations" du FBI dans les mosquées. Quelques mois à peine avant la formation du jury, le Conseil des Relations Américano-Islamiques (CAIR) a fait équipe avec l'American Civil Liberties Union (ACLU) pour poursuivre le FBI en justice, pour avoir prétendument violé les droits civils des musulmans à Los Angeles par l'embauche d'un agent pour infiltrer et contrôler les mosquées.
Avant que les mosquées n'ait été exclues du large filet d'espionnage intérieur qu'avait tendu l'administration, le FBI avait lancé des dizaines d'opérations d'infiltration avec succès contre les djihadistes de chez nous - dans les mosquées - et contrecarré des dizaines de complots contre la patrie.
Si seulement on leur avait permis de continuer, peut-être que les nombreuses victimes des attentats du Marathon de Boston n'auraient pas perdu la vie et leurs membres. Le FBI n'avait jamais enquêté sur les mosquées de Boston jusqu'à quatre jours après les attentats du 15 avril, et il n'a donc pas pu détecter la radicalité de la mosquée de Boston, fréquentée par les tueurs musulmans.
Le Bureau n'a même pas contacté les responsables des mosquées pour l'aide à l'identification des images capturées sur des caméras TV en circuit fermé et sur des téléphones portables.
Un des plastiqueurs musulmans a fait des débordements extrémistes pendant le culte, mais pourtant, parce que la mosquée n'était pas surveillée, les signaux d'alerte n'ont pas pu être actionnés par le FBI au sujet de sa radicalisation croissante avant ces attentats.
Ce qui est particulièrement inquiétant à la lumière des études indépendantes récentes effectuées sur les mosquées américaines, c'est que ces études révèlent qu'environ 80% des mosquées prêchent le djihad violent ou distribuent de la littérature violente à leurs fidèles.
Quelles sont les autres "cinq alarmes" anti-djihadistes portées disparues en ce moment à cause des restrictions sur le suivi d'une zone qu'ils devraient contrôler?
NB: il est bien évident que nombre de mosquées en Europe, pour ne pas dire toutes, sont également laissées sans surveillance, et que les prêches qu'on y entend ne doivent pas appeler à tendre l'autre joue, ni à tendre la main d'ailleurs, sauf si elle brandit le cimeterre, le ssif.
Ce qui me fait dire que l'Occident est en guerre, mais que l'Occident ne le sait pas.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire