Ramadan, le mois sacré : violence, viols et djihad sexuel

samedi 10 août 2013, par Aqveyli N-Jerjer 

Publié sur kabyles.net

Je le répète souvent : pour mieux combattre l’islam il faut mettre de côté tous les concepts occidentaux de justice, d’équité, de morale, de tolérance, d’amitié, d’amour du prochain, de respect de la vie, etc. Car l’islam, c’est ça : l’antinomie de ces principes humains de base. Si on considère l’islam sous cet angle humaniste, on a perdu d’avance face à lui, car l’islam ne reconnait pour les kuffars [1] aucune de ces lois naturelles.

Le tout petit aperçu que je vous propose ci-après de quelques événements qui se sont déroulés durant ce mois de ramadan en sont comme une preuve : en dehors de la oumma, la "communauté des croyants", rien n’a de valeur pour l’islam. Le devoir de chaque musulman est le djihad envers tous ceux qui ne font pas partie de cette communauté, et toutes les formes de djihad, même celles qui semblent les plus odieuses, sont non seulement permises mais encouragées. Chaque parole, chaque geste de chaque musulman, y compris ceux qui nous semblent les plus anodins comme le chantage affectif, ou le trop fameux "malentendu culturel" est un acte de djihad contre l’Occident.

Un autre argument très connu consiste à plaider pour les affaires de viol la méconnaissance des lois locales ("je suis musulman, donc je ne savais pas que c’était mal").

Parce que pour le musulman, le viol n’est pas un crime. Non seulement il est toléré, mais il est encouragé, notamment contre les femmes "mal habillées" ("elle ne portait pas de foulard") .

Actes de djihad véritables, même (et surtout) durant cette période qu’ils dénomment eux-même "le mois sacré du Ramadan".

JSS News donne pour sa part une liste pas du tout exhaustive des meurtres, assassinats et tueries divers qui semblent être la passion favorite des adeptes de l’islam, tout particulièrement en cette "période sainte de Ramadan".

De mon côté, j’essaie de montrer un autre aspect des occupations favorites des musulmans : les vilonces ordinaires, le viol, les agressions sexuelles et la pédophilie, à travers quelques "faits divers" qui ont eu lieu uniquement dans les pays occidentaux. La encore, la liste est loin d’être exhaustive.

 Royaume Uni (1) : à Exeter, un gang de criminels (mob) attaque brutalement un soldat britannique en scandant "Lee Rigby", nom du tambour de l’Armée sauvagement massacré à la hache à Woolwich.

Il portait son sac à dos militaire au moment de l’attaque, ce qui pourrait être l’élément déclencheur : le gang musulman semble vouloir "se farcir un soldat britannique", comme à Woolwich.

"J’ai été jeté au sol, ils ont ensuite continué à me frapper pendant 2 minutes, à ce qu’il m’a semblé".
"Je me suis mis en boule, je ne pouvais pas me lever. Un d’entre eux a sorti un tournevis de sa poche. J’ai réussi à le lui enlever".
"Ils avaient tous dissimulé leur visage. Ils criaient ’Lee Rigby’. Comme s’ils voulaient recréer ce qui s’est passé" [à Woolwich].

 Royaume Uni (2) : djihad du viol à Coventry : 10 hommes accusés de "toilettage", exploitation et viol de mineures.
Un groupe d’hommes accusés d’exploiter sexuellement des jeunes filles ont été accusés de diverses infractions, y compris le viol, l’agression sexuelle et la traite.
A propos du "toilettage" des enfants dans un but sexuel : ce sont les actions dans le but d’apprivoiser des enfants, d’établir un lien affectif avec eux et de réduire leurs peurs et inhibitions dans le but de les préparer à une activité d’exploitation, généralement sexuelle (voir mon post Oxford : les musulmans refusent le sermon sur la pédophilie).

 Suède : un pédophile musulman soupçonné d’avoir agressé via internet au moins 185 filles âgées de 12 ans ou plus. L’homme de 31 ans dit avoir obtenu des poses sexuelles par webcam. Un registre de 185 filles a été retrouvé dans son ordinateur. Il dit avoir commencé à discuter avec ces filles en Janvier 2012, peu après avoir été libéré de prison après avoir purgé une peine de deux ans et huit mois pour le viol de deux jeunes de 14 ans.

 Espagne : tentative des musulmans marocains de pénétrer dans l’enclave de Melilla en utilisant le chantage. Les envahisseurs musulmans, tenant un bidon d’essence et un briquet, menacent de mettre le feu à leurs 2 bateaux et de jeter les enfants par dessus bord s’ils ne sont pas autorisés à entrer dans Melilla.

 Italie : des musulmans marocains entrent par effraction dans l’église, pillent un patronage et défèquent sur l’autel. Aucun gros titre des journaux sur cette profanation. Par contre, les médias se déchainent pour une tranche de jambon jetée sur le trottoir devant une mosquée.

 Australie : djihad du viol en Australie : un imam affirme qu’il ne s’agit que d’un "malentendu culturel".
Peut-être considère-t-il que les Australiennes devraient toutes porter le hidjab, pour ne pas tenter les musulmans ! Les multiples cas de djihad du viol recensés en Australie seraient donc dûs au comportements provocateurs des Australiennes. C’est ce que semble penser cet imam égyptien, pour qui les musulmans "ne veulent que montrer ’de l’amour et de la compassion’ mais qu’ils ont mal compris les différences culturelles entre l’Australie et l’Egypte". Ben voyons !

 Il est donc naturel que les musulmans soient surreprésentés dans les prisons européennes ( Grande-Bretagne : la population carcérale en hausse de 200% ). Et que la très grande majorité des auteurs présumés figurant en France sur la liste des personnes recherchées aient des noms musulmans.

Paradoxe de la France dhimmisée : les actes de toutes sortes commis par les musulmans ne sont pas recensés.

L’islam a déclaré la guerre à l’Occident, mais chut ! Il ne faut pas le lui dire.

Aqveyli N-Jerjer

[1] non-musulmans