Le nouveau décret d'Obama sur l'asile favorise les terroristes musulmans au détriment des chrétiens.

Obama ordonne au Département d'Etat et au Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security - DHS) de permettre aux terroristes musulmans d'immigrer au États-Unis, mais claque les portes aux  chrétiens, pourtant persécutés dans tout le monde musulman.

Adapté librement depuis News Investors


En même temps que B. Hussein Obama offre l'asile à des terroristes "mineurs" ayant apporté un soutient matériel "limité" au terrorisme, il claque la porte à des milliers de chrétiens fuyant le terrorisme des pays musulmans comme l'Egypte.

Le président Obama a assoupli de manière unilatérale les conditions d'immigration pour les étrangers liés au terrorisme.
Il a ordonné au Département d'Etat et à la Sécurité Intérieure d'ignorer une loi post-septembre 2001 interdisant l'entrée à ceux qui soutiennent matériellement le Hamas ou d'autres groupes terroristes reconnus.

Une dizaine d'années après les horribles attentats contre les USA par des terroristes islamistes étrangers, l'administration Obama a décidé que "un peu de soutien" à des terroristes islamistes étrangers est acceptable.

Aussi perfide que cela puisse paraître, Obama ne fait que donner suite à la peu remarquée ouverture qu'il a faite aux musulmans dans son discours du Caire de 2009, quand il a suggéré de suspendre l'exécution de lois concernant l'assistance  matérielles, impliquant l'impôt musulman "zakat" ou les dons caritatifs islamiques.

Il a essentiellement présenté des excuses pour le verrouillage qu'avait opéré l'Administration Bush sur les fondateurs de la plus grande organisation caritative musulmane en Amérique, qui envoyait des millions aux "comités de la zakat" liés au Hamas.

Bien sûr, cette décision affaiblit une fois de plus la sécurité  en Amérique. En exemptant les cinq types de "soutien matériel limité" pour le terrorisme, Obama blanchit instantanément plus de 4.000 suspects inscrits sur la liste de surveillance du terrorisme des États-Unis et ouvre les frontières à la fois à eux et à leurs familles.

Pas d'inquiétude, dit la Sécurit Intérieure, on fera des contrôles de sécurité supplémentaires avant de les laisser entrer. 

Oh? Les mêmes contrôles que ceux qui ont permis à la famille Tsarnaev d'entrer dans le pays sur demande d'asile? Ce sont là des contrôles de sécurité?

Pardonnez aux survivants et aux familles de ceux qui sont morts dans les attentats de Boston s'ils ne sont pas rassurés.

Donner une chance aux étrangers déjà soupçonnés de complicité de terrorisme ne fait qu'accentuer les risques pour les Américains. Pourtant, Obama ordonne aux Autorités de l'immigration d'ignorer les signaux avertisseurs.

Il suggère aussi que de nombreux musulmans innocents qui cherchent une vie meilleure ici, y compris palestiniens «réfugiés», ont été «injustement» exclus par les lois d'immigration post-9/11 draconiennes. Dit qui? Groupes de pression islamistes, comme le Conseil des relations américano-islamiques, qui prétendent terroristes palestiniens sont des «combattants de la liberté"?

Il a été également suggéré que de nombreux musulmans innocents qui cherchent une vie meilleure ici, y compris des palestiniens "réfugiés", ont été "injustement" exclus par les lois "draconiennes" sur l'immigration post-septembre 20011. Suggéré par qui ? Par des groupes de pression islamistes, comme le CAIR - Council on American-Islamic Relations, qui prétend que les terroristes palestiniens sont des "combattants de la liberté." (*)
Dans le même temps où Obama leur ouvre les vannes, il ferme les frontières aux chrétiens fuyant les persécutions musulmanes en Egypte, en Irak et d'autres pays du Moyen-Orient.
Alors que les palestiniens déplacés ont beaucoup d'endroits où ils peuvent se réinstaller dans le Moyen-Orient.

Alors que les possibilités qui s'offrent aux chrétiens de fuir les exactions sont limitées. Les États-Unis auraient pu être leur meilleure chance de refuge contre la violence et pour leur liberté religieuse.

Pourtant, le Département d'Etat a rejeté la quasi-totalité des 20.000 demandes d'asile des chrétiens coptes qui tentent d'échapper à l'Egypte depuis le renversement de son régime pro-américain.

Pendant ce temps, le Département d'Etat est accueillant envers les partisans terroristes poussés par la nouvelle répression militaire du Caire sur les Frères musulmans.

Merci à Obama et à sa nouvelle règle: ces fauteurs de troubles islamistes pourront s'installer en Amérique et pratiquer leur djihadisme en toute impunité.

Si le président n'aime pas les rumeurs effrénées disant qu'il est secrètement "musulman", ou qu'il a fait l'appel d'offres de son frère Frères musulmans liée Malik, il doit cesser de faire des gestes de sympathie qui les alimentent.

Si le président n'aime pas les rumeurs effrénées disant qu'il est "un Musulman secret," ou qu'il fait l'offre pour ses amis les Frères musulmans - que soutient son demi-frère Malik, il devrait arrêter de faire des gestes compatissants qui  alimentent ces rumeurs.


(*) Le CAIR est lié directement au organisations terroristes internationales comme les Frères musulmans ou le Hamas, les preuves ont été apportées plus d'une fois et ils ont déjà perdu quelques procès. Mais il semble qu'ils soient intouchables, au moins depuis l'élection de Hussein Obama: l'organisation échappe régulièrement à la dissolution et à son interdiction car la justice américaine ne condamne à chaque fois que ses dirigeants, et non l'organisation elle-même. 

L'Amérique de B. Hussein Obama,
victime de la charia

Ce sont bien les dirigeants occidentaux qui islamisent leurs pays respectifs, sciemment. Comme je le dit souvent, ce ne sont pas les musulmans qui sont forts, ce sont les dirigeants occidentaux qui sont lâches, traîtres, cupides, complices, et qui vendent leurs pays pour différentes raisons. Les musulmans, quant à eux, ne font qu'exploiter les failles de la démocratie, en attendant de la remplacer par leur loi unique, la charia. 
Il est plus que temps de songer à la Reconquista.