vendredi 5 septembre 2014

Pat Condell: "Dites la vérité sur l'islam!"



Je suis toujours stupéfait de voir le nombre d’Occidentaux prêts à sacrifier les fondations mêmes de toute notre civilisation pour tenter de calmer le fascisme religieux. Je suis troublé de voir qu’ils se soucient si peu de l’avenir de leurs enfants, même s’ils sont trop complaisants, naïfs ou aveugles pour se soucier du leur propre. 
L’une des questions les plus déprimantes que ces personnes me posent est : «Pourquoi détestez-vous les musulmans ?» Et ça me déprime, car tous ceux qui ont vu mes vidéos savent que je n’ai jamais exprimé de haine envers quiconque. La haine, c’est pour les perdants, tout le monde le sait. C’est auto-destructeur.
Tout le monde le sait. N’est-ce pas ? 

* Il n’y a PAS de débat. Il n’y a PAS de terrain d’entente à trouver. La Sharia, en Occident, c’est comme l’urine dans un point d’eau : quelle que soit la quantité, elle est de trop.
On entend souvent dire que beaucoup de gens à l’Ouest se convertissent à l’islam. Et certains le font, c’est vrai. Il est aussi vrai que beaucoup de musulmans à l’Ouest quittent l’islam. On n’en entend pas beaucoup parler, pour des raisons évidentes. Certains sont assez courageux pour se faire connaître, et aident d’autres musulmans qui veulent échapper à la tyrannie de leur religion. 

Comme eux, c’est avec la religion que j’ai un problème, pas avec les gens. Donc, non, je ne hais pas les musulmans. Merci d’avoir posé la question. Je leur souhaite tout le bien du monde, même au fanatique sur le bord de la route, avec sa petite pancarte imbécile, les yeux exorbités, qui appelle à la mort de l’Occident. Même à ces crétins, je souhaite le meilleur. Par exemple une meilleure santé mentale, même si c’est sans doute d’un optimisme extravagant. 

Je sais, bien sûr, qu’il y a beaucoup de musulmans paisibles, modérés. Certains sont tellement modérés et paisibles qu’ils sont silencieux, invisibles. Et c’est une partie du problème. Mais que ces gens existent ne signifie pas que leur religion n’est pas une idéologie agressive et fasciste menaçant nos libertés. Ou que nos gouvernements ne rivalisent pas d’ardeur pour lui trouver des excuses, et prétendre que l’islam n’a rien avoir avec les violences inspirées - et cautionnées - par ses textes fondateurs, et perpétrées en son nom en permanence. 

Voyez la couardise qui a permis au massacre de Fort Hood d’avoir lieu. Nous savons qu’il aurait pu être évité. Mais grâce au politiquement correct de l’armée américaine tous les signes précurseurs ont été ignorés, de peur d’offenser quelqu’un. Toute référence à l’islam a été soigneusement retirée des rapports officiels du Pentagone. Alors que le meurtrier distribuait des exemplaires du Coran juste avant, et hurlait « Allah akbar » en commettant le massacre. 

« Que les immigrés musulmans s’adaptent au mode vie américain, ou au mode de vie anglais, australien, canadien… Ou qu’ils n’aillent pas dans ces pays. » Je suis surpris que les flics qui l’ont descendu n’aient pas été accusés « d’islamophobie ». Peut-être le seront-ils le jour du procès, quand on apprendra que le gars est une « victime » et que dans un pays aussi décadent que l’Amérique, sa religion est la seule chose qui lui permette de rester sain d’esprit.
Partout à l’Ouest, nous avons donné aux suprémacistes musulmans le sentiment qu’ils ont toutes les bonnes raisons d’être outragés, insultés et offensés par tout ce que nous faisons ou disons. Et certains d’entre nous le croient aussi. Voilà le cœur du problème… 

Mark Twain disait : « La foi, c’est croire ce que vous savez ne pas être vrai » Et le politiquement correct, c’est faire ce que vous savez ne pas être juste.
Dans tous les pays occidentaux, les extrémistes islamistes sont autorisés à exploiter les privilèges religieux à des fins politiques en prétendant représenter tous les musulmans. Et les médias les traitent toujours comme si c’était la réalité. Ces groupes se donnent des titres à l’air officiel et déclarent prêcher l’harmonie entre les communautés, tout en faisant tout leur possible pour empêcher l’intégration, pour maintenir les musulmans à part, ghettoïsés, dans une société séparée, et avec une identité séparée, des lois et des coutumes séparées. 

En résumé, leur but est de diviser la société, de pousser à la séparation de communautés qui n’ont pas à exister, pas plus que ces organisations n’ont à exister.
Prenons le CAIR, le « Conseil des relations entre l’Amérique et l’Islam » aux États-Unis. En voilà un titre ronflant, et qui se donne des airs importants. Cet intitulé suppose la rencontre entre deux idéologies de même valeur, des points de vue de même valeur, qui doivent trouver un terrain d’entente.
Mais la seule chose nécessaire, c’est que les immigrés musulmans s’adaptent au mode vie américain, ou au mode de vie anglais, australien, canadien… ou sinon, qu’ils n’aillent pas dans ces pays. De respecter les lois et les coutumes comme tout le monde, et non pas d’essayer d’en faire des lois islamiques, ou de se définir comme une entité à part, qui mériterait un statut spécial. Ça commence là, et ça finit là. 

Il n’y a pas de débat. Il n’y a pas de terrain d’entente à trouver. Il n’y a pas de « relations entre l’Amérique et l’islam », et il n’y a besoin d’aucun « Conseil » autoproclamé de fascistes religieux prêchant la sharia et défendant le Hamas pour le superviser.
La Sharia, en Occident, c’est comme l’urine dans un point d’eau : quelle que soit la quantité, elle est de trop.
La sharia déshumanise les femmes, elle menace la liberté et la dignité de toutes les femmes en Occident.
Cette doctrine exclut de manière si fondamentale qu’il n’y a rien à négocier.
Il n’y a pas de compromis.
La misogynie la traverse et en teinte tous les aspects, et ce devrait être une raison plus que suffisante pour la bannir de manière aussi agressive et intransigeante qu’on le fait pour la rage [ la maladie ]. 

Si vous vivez aux États-Unis, et tout spécialement si vous avez déjà accusé quelqu’un d’islamophobie, je vous conseille vivement de lire ce livre : La Mafia musulmane.
Si vous ne lisez qu’un livre, cette année, ou dans toute votre vie, lisez celui-là, dans votre intérêt, et celui de vos enfants, en particulier vos filles. Ce livre, c’est l’aboutissement d’une enquête journalistique qui révèle crûment comment le C.A.I.R., les Frères musulmans, et le vaste réseau de fanatiques islamiques se sont frayés un chemin dans la société américaine telle des termites dans le but de la miner et de la détruire de l’intérieur.
Ce livre fournit la preuve, abondamment documentée, que les islamistes ont pénétré les sphères les plus élevées de la politique, de la justice et de la police américaines, avec l’objectif d’imposer la sharia aux États-Unis, et de se débarrasser de la Constitution. Le tout avec la complicité du « politiquement correct » le plus lâche et le plus honteux, au gouvernement, dans les médias, et tout particulièrement au FBI, qui semble penser qu’il est plus important d’être « culturellement tolérant » que de défendre la sécurité intérieure du pays. Ce livre est important. Et c’est pourquoi les médias américains font autant d’efforts pour l’ignorer.
En le publiant, les auteurs ont fait plus pour leur pays et pour le monde civilisé que tous les politiciens du Capitole rassemblés ne feront durant toute leur carrière. 

L’islam politique est une menace pour tous les gens civilisés : musulmans, chrétiens, hindous, sikhs, athées, bouddhistes, et tout spécialement les juifs. Si l’Amérique tombe, nous tombons tous. 

Où que vous viviez, si la liberté compte pour vous, lisez ce livre. Sans tarder.
Paix. 

Pat Condell 
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2° Vidéo "Les musulmans doivent rejeter le djihad" - 3 juin 2013 

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3° "Dites la vérité sur l'islam"  - 19 Mars 2012 

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