France: adolescente victime d'un crime d'honneur
Par AFP le 10.07.2009 à 14:25
"Un jeune homme de 17 ans a été inculpé pour avoir étranglé sa soeur avant de brûler son corps dans une cave de la banlieue de Lyon (centre-est) et les enquêteurs tentaient vendredi de comprendre les mobiles d’un possible "crime d’honneur".
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Une amie proche de la victime, le 10 juillet 2009 à Oullins, lors d'un
rassemblement en hommage à la jeune femme.
AFP - photo Philippe Merle |
En dehors de la contradiction contenue dans la phrase: 'Les enquêteurs tentaient vendredi de comprendre les mobiles d’un possible "crime d’honneur'" révélatrice de la manière dont nous informent nos journaleux, ici la "prestigieuse" Agence France Presse, je vais juste relever ces 3 phrases et essayer de les analyser:
1) Le jeune homme, Mohammed, a été inculpé pour "homicide volontaire" et écroué jeudi. Il "nie les faits" et "reste muré dans son silence", a déclaré à l’AFP le procureur de Lyon Xavier Richaud, appelant à la "plus grande prudence" sur un éventuel mobile lié à la religion musulmane du suspect.
D'entrée, on a droit à la phrase qui clot toute discussion: si on veut être "prudent", il ne faut surtout pas parler d'islam!
La même phrase utilisée indéfiniment, pour dédouaner l'islam de tous les crimes commis en son nom, dans la plupart des cas aux cris de "allah-ou akbar" (remarquez que j'ai décidé de ne plus mettre de majuscule à allah, ce faux-dieu ne la mérite pas).
Les Etats-Unis ont une culture de l'information beaucoup plus libre et bien différente de ce que nous servent nos plumitifs européens, je prendrai donc mes arguments chez l'oncle Sam (pardon: l'oncle ... Hussein):
- L'administration Obama a reçu l'ordre formel et officiel de bannir du langage lié aux attentats les termes "musulmans" et islam. Un rapport de l'US Department of Homeland Security (DHS) le dit clairement: "les actes de terrorisme sont des crimes ordinaires non connectés à l'islam". Fermez le ban.
- Comme le souligne Daniel Pipes, le volumineux rapport d'enquête sur le massacre de Fort Hood par le major Nidal Malik Hasan conclut de manière ridicule à "de la violence au travail". Un carnage qui a fait 13 morts et 43 blessés, aux cris de "allah-ou akbar", classé comme un vulgaire accident du travail. L'article de Daniel Pipes parle d'aveuglement et revient sur quelques crimes qui ont tous en commun d'être perpétrés par des musulmans, au noms de l'islam et souvent aux cris de "allah-ou akbar" et qui sont finalement attibués à toutes sortes de raison, sauf la raison religieuse.
Les latitudes changent, le discours reste le même: nos dhimmis ont appris la même leçon, ils l'ânonnent sans répit. De ce côté de l'Atlantique comme de l'autre, nos benêts, idiot utiles dhimmisés, ne connaissent pas d'autre rengaine.
2) "On reste toujours dans l’indétermination du mobile et on ne peut pas dire aujourd’hui que c’est parce que sa soeur sortait ou parce que lui-même était religieux", a souligné M. Richaud.
Il s'agit d'une famille musulmane, donc si on a lu le coran, on sait que toute femme, jeune ou vieille, ne peut sortir seule, sans son "mahram", sorte de tuteur, qui ne peut être qu'un membre de sa famille, soit le mari, soit un autre homme avec qui elle ne peut pas avoir de relation sexuelle. Problème réccurent chez les musulmans, tout est ramené au sexe et à la "pureté" de la femme, et qui fait son malheur.
Un morveux de 10 ans peut être le mahram de sa soeur plus âgée, de sa tante, de sa mère ou de sa grand-mère, et lui servir de tuteur légal quand elle sort. La femme est ainsi mineure à vie et sous la dépendance du derniers de ses rejetons.
Il en est ainsi de cette pauvre fille, qui se trouvait comme toutes les musulmanes, sous l'autorité de n'importe quel mâle de sa famille.
3) Le père du jeune homme a rejeté l’idée qu’il ait pu être influencé par la "religion", car "il ne faisait jamais de prières", a-t-il expliqué au journal régional Le Progrès, déclarant aussi que "si c’est lui, il doit payer".
Bel exemple de taquiya, mais elle se retourne contre la famille car admettre que l'acte n'est pas lié à la religion parce que cet assassin ne faisait pas ses prières, c'est reconnaitre que l'islam est bien la source de toute cette violence.
Ce que l'Occident accepte sur son sol: des traditions venues du Moyen-Âge, la déculturation et la transformation de la société par l'invasion de peuplement, le muselage de la pensée et de l'expression, la criminalisation de toute parole dérangeante. C'est le projet de nos dhimmis. La reconquista de l'Occident n'est pas pour demain.