vendredi 20 mars 2015

Islam - La véritable menace pour l'Occident


Malgré tous les événements tragiques qui se passent dans le monde musulman, malgré les attaques antisémites et djihadistes qui se multiplient en Occident, les médias continuent de nous inonder de ces articles béats et lénifiants sur l'islam religion de paix. Et aussi d'une absurdité totale, puisqu'ils disent en substance aux musulmans: "ce que vous vivez tous les jours d'ignoble, de bestial, d'inhumain, ignorez-le car ce n'est pas ça, l'islam". Et aux Occidentaux, cet aphorisme hypocrite et aberrant: "le coran et l'islam appellent à la paix". Le paroxysme a été atteint aux USA, puisque certains n'ont pas peur du ridicule en déclarant "la Constitution des USA conforme à la charia".

Alors que l'évidence crève les yeux: si ce dogme était vraiment ce que ces sournois plumitifs et politicards déclarent, pourquoi depuis des années, voire des décennies, l'islam et les musulmans sont-ils les épicentres de presque toute la violence qui se passe dans le monde? 

La vérité que l'Occident ne veut pas voir, c'est que l'islam n'est pas simplement une question d'interprétation des textes, parce que le coran lui-même nous dit comment l'interpréter, c'est d'ailleurs ce que les ulémas, grands savants du sunnisme, ont fait depuis longtemps, rendant toute autre interprétation soit malhonnête ou malveillante, soit ignorante. L'islam est donc vraiment cette barbarie qu'on dénonce depuis longtemps [1], un dogme fidèle à ses textes fondateurs qui, comme ils sont censés provenir d'Allah lui-même, ne sont et ne peuvent être interprétables autrement que dans l'orthodoxie la plus pure, celle des ulémas, savants de l'islam parmi lesquels l'incontesté cheikh Abdul Aziz bin Abdullah [2], qui a récemment appelé à démolir toutes les églises de la péninsule arabique. Ainsi donc, les mêmes textes, amenant les même conclusions, sont enseignés dans toutes les mosquées du sunnisme, et bien sûr dans les Universités islamiques, notamment parmi les plus illustres d'entre elles, comme al-Azhar du Caire, Zitouni de Tunis ou encore Masjid al-Nabawi de Médine. Toutes s'appuient sur le même texte coranique et sur les mêmes exégèses (tafsir).
Aux incrédules, je ne citerai qu'un seul verset, ainsi que son tafsir officiel: 
- Texte coranique: Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d'Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d'eux. (coran 3:28). 
- Tafsir de ce verset: Allah, à lui la puissance et la gloire, défend à ses serviteurs croyants de prendre les kuffar pour alliés et de leur manifester leur amitié en dehors des fidèles, tout en menaçant de désavouer quiconque aura outrepassé ses ordres et il n’aurait rien à attendre d'Allah. C’est un ordre qui a été aussi confirmé par ce verset: «Ô croyants, ne prenez pas pour alliés mon ennemi et le vôtre, leur offrant l'amitié, alors qu'ils ont nié ce qui vous est parvenu de la vérité. [...] » [coran 60:1]. II a dit également: « Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les mécréants au lieu des croyants. Voudriez-vous donner à Allah une preuve évidente contre vous? » [coran 4:144] et: « Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.» [coran 5:51]. 

Nous avons donc là le verset et l'unique manière de l'interpréter, selon la sunna. Comme on peut s'en rendre compte, le travail d'interprétation ne laisse aucun doute possible. On peut juste ajouter que le verset étant de la période la plus récente (période post-hégire), il abroge les versets "pacifiques" de l'époque pré-hégire, suivant le principe "abrogatif-abrogé" (mansukh-nasikh). 

Pour bien comprendre le sort qui attend l'Occident, il est donc nécessaire d'écouter et de lire ce que les "savants de l'Islam" disent aux musulmans, sur leurs comportements, sur les relations qu'ils doivent entretenir avec les kuffar. Bien écouter et lire pour comprendre leurs véritables intentions. Le premier constat que l'on peut faire, c'est que les discours de ces ulémas sont totalement différents de ceux relayés par les médias occidentaux. Car ce qu'ils disent tous, sans exception, c'est que chaque musulman sur terre a une mission clairement définie dans le coran: le djihad mondial, qui consiste à se battre par tous les moyens pour prendre le pouvoir au nom d'Allah et instaurer la suprématie politique, économique et sociale sur l'ensemble de l'humanité. Et, en tout premier, éliminer toutes les autres religions: 
Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul (2:193 et 8:39). 
Pourquoi les politicards et les plumitifs de tous poils ne relaient-ils pas ce message auprès de leurs populations? C'est ce que je n'arrive pas à comprendre. Car la doctrine suprémaciste, haineuse, antisémite, antichrétienne, raciste et guerrière de l'islam s'affiche publiquement, sans aucune retenue, que ce soit dans les mosquées et écoles coraniques ou sur les milliers de sites web, plus ou moins officiels mais qui ont tous en commun, en plus du dogme, de colporter le même message de domination planétaire et de soumission de l'ensemble de l'humanité. 

Il est rageant de constater que l'Occident refuse d'écouter ce que les musulmans eux-même disent. Comme il est rageant de constater que toute personne qui ose émettre un avis contraire à l'opinion "officielle" claironnée sans relâche dans tous les médias, est immédiatement montrée du doigt et taxée pour le mieux d'"alarmiste", ou au pire: de "raciste". Car dire la vérité sur l'islam, c'est être "raciste"... 

C'est ainsi que des gens honorables comme Raymond Ibrahim, Lars Hedegaard, Geert Wilders, Pamela Geller ou Oscar Freysinger sont devenus des personnes infréquentables, juste à cause de leur "islamophobie". Un terme à qui on a fait volontairement perdre son sens premier pour en faire un concept négatif, alors que l'islamophobie n'est rien d'autre que la peur d'un dogme qu'on peut qualifier de liberticide et mortifère. Rien de plus, et surtout, pas de quoi comparer les islamophobes à des néo-nazis, ce que pourtant les mêmes plumitifs et politicards ne se gênent pas de faire. En témoigne l'actrice Véronique Genest, accusée de tous les maux de la Terre pour avoir simplement dit qu'elle avait peur de l'islam. 

Ordre est donc envoyé à tous les bien-pensants de ne pas donner la parole à ces pionniers de la lutte anti-islam, car ils sont porteurs d'un message que la société occidentale n'est pas prête à entendre et ne veut pas entendre. On l'a constaté tout au long de l'Histoire: il ne fait pas bon avoir raison trop tôt!

Il semble n'y avoir aucun souhait de la part de l'Occident de lever le voile sur ce que contient l'idéologie islamique. 
C'est ainsi que, sous la pression des influentes organisations musulmanes des USA (le Council on American-Islamic Relations, l'Islamic Society of North America et l'American-Arab Anti-Discrimination Committee), on ne trouve pas un seul gangster, ou malfrat, ou terroriste, qui se réclamerait de l'islam, ou qu'ont pourrait, de près ou de loin, identifier comme musulman, parmi toute la production d'Hollywood de ces dernières années. 
Hollywood qui vend aux Américains (et au reste du monde) le fameux "relativisme moral"... en sacrifiant l'équité et la vérité. 

C'est ainsi également qu'al-Jazeera, chaîne de propagande islamique du Qatar, a donné comme consigne à son antenne basée en Angleterre de bannir du vocabulaire journalistique un certains nombre de mots, parmi lesquels "militant", "terroriste", "islamiste", "djihad", "extrémiste", etc. 

Les journaleux occidentaux nous avaient tout expliqué en long, en large et en travers de l'assassinat de Théo Van Gogh, des attentats de New-York, Londres, Madrid, Boston ou Paris. Ils ont discutaillé dans les moindres détails, lors de leurs émissions télévisées récurrentes, sur les motivations des "terroristes" (ne jamais dire "musulman"!), sur les manières d'opérer, sur les suites à donner, sur ... etc. Ils insistent très lourdement pour nous faire croire que les djihadistes ne sont pas les authentiques musulmans. Ils essaient d'afficher un islam "soft", baigné du triptyque "amour-paix-tolérance", déniant toute équité et toute vérité, volontairement ou par ignorance. Et surtout, ils n'en finissent pas de dégoiser sur "l'islamophobie" et l'atmosphère anti-musulmane que ces attentats ne manquent pas et ne manqueront pas de susciter en Occident. 
Ils arrivent à convaincre les masses parce qu'en général, les humains ne sont pas méfiants et se contentent de prendre pour argent comptant tout ce qu'on leur dit, sans en vérifier la véracité. 

Oubliant les vraies raisons de cette vague anti-islam, oubliant de dire, par exemple, que quasiment tous les attentats, violences, conflits et guerres actuels impliquent l'islam, et qu'en outre, des musulmans en sont bien souvent les instigateurs. Oubliant de voir ce qui est pourtant devenu une banalité: les musulmans font l'objet d'un rejet de la part de toutes les autres communautés qu'ils côtoient habituellement ou auxquelles ils sont confrontés de par le monde. Oubliant dès lors de se poser la question qui vient à l'esprit: pourquoi ce rejet unanime? Selon l'adage, il n'y a pas de fumée sans feu...

Ce que les journaleux et les politicards oublient surtout de faire et qui semble un détail sans importance pour eux: aller chercher dans les textes fondateurs de ce dogme ce qui pourrait avoir motivé ces massacres sanglants. Dans le coran, en premier lieu. Dans le reste de la sunna, s'ils veulent approfondir leurs connaissances: sirat (biographies de Mahomet), hadith (tradition), tafsir (exégèses). Ils ont, bien entendu, oublié de donner la parole à ceux qui connaissent l'islam pour l'avoir étudié sous toutes les coutures, comme Anne-Marie Delcambre ou Sami Aldeeb. Quand ils débattent avec des musulmans, ils ne s'entourent jamais des personnes capables de leur apporter la contradiction. Le débat contradictoire est pourtant une des bases du journalisme. Ils ont aussi oublié de parler d'un vrai problème: est-on face à un choc des civilisations? Ou plutôt, comme l'avait dit Wafa Sultan dans une vidéo, face à un "choc entre deux ères", un choc "entre la civilisation et l'arriération"? 

Le danger qui guette l'Occident ne vient pas de musulmans. La véritable menace vient de l'attitude des bien-pensants occidentaux, futur dhimmis du Grand Califat Mondial. L'instauration d'un Califat Mondial est un des chevaux de bataille de la très officielle Organisation de la Coopération Islamique dont l'influence au sein de l'ONU ne cesse de grandir, alimentée par le flot interminable des pétrodollars. 

Face à l'islam, l'Occident affiche une inquiétante stupidité. Il manque de conviction, manque de fermeté, de clairvoyance et de courage. Face à l'islam, l'Occident est à plat-ventre et il rampe. Et tout naturellement, l'islam interprète cette lâcheté comme un victoire. 

Un exemple de lâcheté: la traduction norvégienne du coran a été expurgée de ce qui pourrait choquer la population locale, ce qui est une volonté manifeste de tromper les citoyens. Comment une telle aberration est-elle imaginable en Europe, comment cette manipulation a-t-elle été possible? Et comment les élites norvégiennes ont-elles pu accepter cette ignominie? C'est devenu une triste réalité: depuis l'affaire Breivik, la Norvège s'auto-censure et a développé une tendance schizophrénique à "blâmer les victimes". Ainsi, les gens n'osent plus parler de peur d'être taxés de racisme, encore et toujours. 

Autre exemple, en France: le dessin de couverture de Charlie Hebdo qui a suivi l'attaque contre le journal montre Mahomet, une larme à l'oeil, s'alignant avec ce qui reste de l'humanisme européen. Pour tous les musulmans de la planète, ce dessin a montré de façon criarde toute la faiblesse de la France en particulier et de l'ensemble de l'Occident. 

Encore un exemple français: au lendemain de la dernière Saint-Sylvestre, le premier ministre a fièrement annoncé que "seulement" 940 voitures avaient été incendiées. Ce qui, pour lui, est à considérer comme une grande victoire du Droit. Faut-il rappeler à ce triste sire toutes les zones de non-droit inaccessibles à la Police et même aux Pompiers? Des "no-go-zones" où la souveraineté de l'Etat n'est qu'un lointain souvenir, et où la Loi de la République est peu-à-peu remplacée par la charia? 

En Grande-Bretagne, le discours n'est pas différent. Le Premier ministre a déclaré, après les attentats de Paris, que "l'islam fait partie de l'identité britannique", rien que ça, et que "les musulmans britanniques apportent une grande contribution" à son pays et également que "la terreur extrémiste n'a rien à voir avec le vrai Islam". 

David Cameron, en grand connaisseur de l'islam et de la sunna! Comme ses prédécesseurs Tony Blair et Gordon Brown, en bon dhimmis qu'ils sont, eux aussi. Si ce n'est pas de la stupidité ou de la crétinerie, c'est pire encore: de la collusion, de la connivence et de la traîtrise. Churchill doit se retourner dans sa tombe.

Ces exemples peuvent être multipliés presque à l'infini, à travers tout l'Occident, jusqu'au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande... Ils illustrent bien la faiblesse occidentale, faiblesse exploitée tout naturellement par l'islam.
On ne peut que le constater: face à l'islam et à son ascension fulgurante, l'Occident a signé sa reddition. Il est victime de cécité, ses élites vivent dans l'hypocrisie de la "bien-pensance", sorte de néo-stalinisme guidé par la pensée unique. Ses dirigeants maintiennent les peuples dans le déni de réalité et de vérité et s'enferment dans le mensonge du multiculturalisme. Mais la confrontation avec la réalité est inévitable et surviendra tôt ou tard. Plus le temps passe et plus le réveil risquera d'être brutal et douloureux.


Le risque que cet aveuglement se termine dans un bain de sang semble être ignoré des dirigeants, qui pensent que "l'islam est soluble dans les valeurs communes occidentales". Ce refrain, cela fait bientôt 50 ans qu'on nous le serine, et pourtant, nous sommes comme soeur Anne du conte de Perrault: nous ne voyons toujours rien venir. 

Pour l'Occident, le gros problème n'est pas que les peuples soient ignorants de l'Islam, mais que médias et dirigeants continuent de les distraire et de leur cacher la réalité, de leur cacher la véritable menace. Et surtout, ils refusent d'examiner de façon critique la doctrine islamique et refusent d'en tirer les conséquences. Pourtant, s'ils veulent échapper au jugement de l'Histoire, ils seraient bien avisés de cesser leurs prêches sur le mensonge de la "religion d'amour, de tolérance et de paix", avant que leurs pays ne deviennent des champs de bataille. 

Ce que l'Occident doit aussi savoir, c'est que s'il doit perdre cette "guerre", c'est uniquement parce que seul l'islam est prêt à se battre, dans le cadre du djihad mondial. 

L'islam a déclaré la guerre à l'Occident, mais l'Occident ne le sait pas encore.
___________________________________

Le Pew Research Center, organisme américain indépendant, a fait un sondage dans les pays musulmans, au travers de ces deux questions: 
Q1 : la charia devrait-elle être la loi de votre pays ?
Q2 : doit-elle s'appliquer à tout le monde [y compris aux non-musulmans]? 

Les réponses sont éloquentes: 

Q1: 63% (990 millions de musulmans, sur les 1,572 milliards de musulmans de l'ensemble des pays où s'est effectué le sondage) veulent que la charia soit la loi de leur pays
Q2: 38% veulent l'imposer à tout le monde. 

A noter les 24% d'Albanais, les 29% de Bosniaques et les 31% de Kosovars (donc des Européens) qui pensent que la charia doit s'appliquer à tout le monde. 

___________________________________

NOTES
[1] "Avec plusieurs amis, qui n’avaient pas lu le coran, j’ai parié qu’ils pouvaient ouvrir 3 fois le coran à n’importe quelle page (version papier), et qu’on y trouve au moins une fois sur la page de gauche ou sur celle de droite une variante de la phrase suivante «Allah le miséricordieux vous réserve un châtiment douloureux si vous n’obéissez pas à ses commandements » …. J’ai toujours gagné" (Alain Franquignon, cité par Dreuz.info). 


 [2] : le cheikh Abdul Aziz bin Abdullah est considéré comme le plus haut fonctionnaire de l'islam sunnite. 

Quelques-unes de ses "oeuvres": 
- L'obligation d'appliquer la sunna du messager d'Allah et le jugement de mécréance qui s'applique à quiconque la réfute.
- Mémoire relatif aux preuves concernant le mouvement du soleil et l'immobilité de la terre, ainsi qu'au sujet de la possibilité de parvenir aux planètes
- Le djihad dans le sentier d'Allah 

Ses titres: 
Mufti général du Royaume saoudien et Président du Comité des Grands Ulémas
Président de l'Assemblée Islamique de Fiqh (Droit islamique)
Membre du Haut conseil de l'Université Islamique de Médine 
Membre de l'Organe Suprême du Prêche Islamique. 
Président de l'Organe constitutif de la Ligue Islamique Mondiale 
Président du Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas
Directeur des Recherches Scientifiques, de la Délivrance des Fatwas, du Prêche et de l'Orientation
Président du Conseil Suprême Mondial des Mosquées 

Toute cette énumération pour montrer le rôle éminent de cet homme dans l'islam sunnite.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire