samedi 29 mars 2014

Plutôt que d'offenser les musulmans dans leur mauvaise foi, il faut leur rappeler pourquoi leurs lois sont nazillonnes


Lettre ouverte à ceux qui combattent les enragés de l’islam par leur propre rage

Le seul fait de blasphémer et de caricaturer le grand ami de la petite enfance qui a fait de la perversion morale un dogme religieux, est sévèrement puni dans les pays de la douceur de crever à bouche ouverte. Le seul fait aussi de vouloir ôter le carcan de l’islam vous vaut un billet aller sans retour dans le Royaume de 1000° Fahrenheit.
Alors profaner, piétiner, critiquer, dénoncer, désacraliser, démystifier, démasquer, ébranler, démythifier, quelle est la peine encourue ?
On doit laisser de côté nos saillies contre-productives du Coran, des Hadiths et de la Sira et leurs caractères apocryphes et mensongers, ce que l’on doit surtout dénoncer c’est la criminalisation de toutes les pseudos atteintes aux dogmes de la foi misérablislamique.
Si l’islam est tolérant, pourquoi tous ceux qui le critiquent sont traités comme des pestiférés et sont condamnés à mort ? Il faut surtout les prendre au piège de leurs propres contradictions et les interpeller sur leur arsenal juridique répressif en matière des libertés humaines et des droits de l’homme et du citoyen.
Eux qui revendiquent la liberté de culte en Occident, pourquoi la refusent-elle chez eux ? Il faut leur renvoyer à chaque fois leurs revendications à la figure. Quand ils se plaignent de la censure et de la discrimination, il faut leur mettre sous le nez les lois nazillonnes et racistes de leurs pays d’origine ?
Ils réclament les libertés au nom de la laïcité, il faut leur demander pourquoi chez vous vous condamnez ses principes ?
Il faut que les musulmans comprennent eux-mêmes que les libertés ne sont pas à géométrie variable et ne peuvent être licites ici et illicites chez eux. Tant qu’ils n’ont pas mesuré eux-mêmes que leur lois sont incompatibles avec les exigences de l’universalisme, il n’y a aucun espoir de les voir intégrer réellement la communauté internationale. 

Ils doivent être qu’il n’y a pas de concession sans contrepartie et dialogue sans remise en question de ses propres prétentions.
Qu’ils comprennent que le suprématisme est le pire ennemi du bien vivre ensemble et de l’humanisme. Il faut les mettre en face de leurs responsabilités. Ne leur donnons jamais l’occasion de jouer à la victime en les couvrant d’infamie. Cela n’a aucun sens.
Que Mahomet soit ceci ou cela cela ne change rien au fond du problème, ce n’est pas ses tares supposées ou réelles qui vont faire avancer les échanges avec eux surtout qu’ils ont majoritairement une connaissance fragmentée et très superficielle de l’islam, il faut les amener à réfléchir par eux-mêmes s’ils en ont la capacité sur sur les injustices, les inégalité et l’état de sous-développement chronique de leurs sociétés d’origine, leur faire toucher du doigt la cruauté et l’inhumanité des lois qui régissent leurs sociétés et dont ils sont les premières victimes et qu’ils veulent transposer dans les les lois de la république.
On ne doit jamais aller sur le même terrain qu’eux. Plutôt que de leur dire que l’islam est liberticide, pourquoi vos lois qui protègent l’islam le sont-elles ?. Qui en est la source ? Evidemment que c’est l’islam lui-même. Ne répondons pas à leurs délires névrotiques par nos propres délires haineux à l’image de certains d’entre nous qui croyant bien faire, se comportent de manière pire encore que les égarés dans la jungle effrayante de l’islam.
On ne calme jamais un chien enragé par notre propre rage.

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