jeudi 29 mars 2012

Les Tarasques du Michoacan


Pour oublier un peu l'islam et "l'islamisme".


Le « royaume » tarasque qui, à l’arrivée des Espagnols, occupait une partie très importante de l’Etat actuel de Michoacan, aurait été primitivement beaucoup plus étendu. Malgré plusieurs tentatives, les Aztèques ne parvinrent pas à vaincre cette puissante peuplade.

Les Tarasques (1), ou Purepecha, sont maintenant répartis dans de très petits îlots de l’Etat de Michoacan : une région lacustre et une zone montagneuse. Plusieurs de leurs villages, qui abritent néanmoins une forte population métisse, bordent le lac de Patzcuaro : Tzintzuntzan, Ihuatzio, Santa Fé de la Laguna, Erongaricuaro ; d’autres sont construits sur sur les cinq petites îles au milieu du lac, dont la principale est Janitzio. Treize villages et quelques « ranchos » sont bâtis dans l’étroite vallée de Cañada, longue d’une dizaine de kilomètres. Mais c’est sur les hauts plateaux volcaniques de la Sierra tarasque, couverts de forêts de conifères, que se trouve le plus fort pourcentage d’Indiens parlant la langue ancestrale.

L’origine et la langue des Tarasques posent encore bien des énigmes aux chercheurs. Leur idiome, qui n’appartient à aucun des nombreux groupes linguistiques connus du Mexique, présent quelques similitudes phonétiques avec certaines langues péruviennes. D’ailleurs, la maîtrise des anciens habitants de Michoacan dans le travail du cuivre et des métaux précieux, ainsi que les ressemblances entre certains de leurs objets d’orfèvrerie et de céramique (2) et ceux des cultures précolombiennes du Pérou, évoquent la possibilité de contacts et d’échange avec ces contrées lointaines.

La source essentielle – sinon unique – des informations que nous possédons sur les usages et les coutumes des anciens Tarasques est la Relacion de Michoacan (3) écrite en castillan vers 1539 sous la dictée de notables indiens. D'après ce document, au moment où les Tarasques arrivèrent dans la région lacustre de Patzcuaro, où ils s’établirent, ils n’étaient encore que des chasseurs nomades comme les tributs nordiques des Chichimèques. Leur ancienne culture présente d’ailleurs des analogies avec ces tribus de langue nahuatl.

Les Tarasques pratiquaient les sacrifices humains et le « cannibalisme » rituel et adoraient de nombreuses divinités stellaires, en particulier l’Etoile du Matin, messagère du Soleil. Le Feu, Curicauéri, fut sans doute le dieu le plus ancien et le plus vénéré des Tarasques. Ses prêtres devaient chaque jour couper du bois pour allumer le feu sacré, privilège qui était considéré comme un honneur, même par le roi.

Le Feu et le Soleil étaient les divinités les plus importantes avec la vieille déesse de la fertilité, Cuerapauéri, « Mère de tous les dieux de la terre ». Cuertapauéri s’incarnait parfois dans le corps d’hommes ou de femmes qui étaient ensuite immolés car « on disait que la déesse les avait elle-même choisis pour être sacrifiés. Quant au culte de la déesse lunaire, Xaratanga, (4) qui faisait germer les plantes, il semble aussi dater d’une époque très reculée ; son trésor était conservé en un lieu qui lui avait été dédié, sur une des îles du lac de Patzcuaro. On lui offrait des cailles et des canards et les premiers fruits de la terre ; la Vierge qui conserve quelque uns des attributs de cette ancienne déesse reçoit de nos jours encore une partie de ces offrandes.

Après la fin tragique de Tenochtitlan, les Tarasques offrirent spontanément leur soumission à Hernan Cortès qui envoya des émissaires pour prendre possession de leur « royaume », au nom de la couronne espagnole.

L’auteur de la Relacion nous rapporte la curieuse manière dont ces Indiens jugèrent tout d’abord les Européens. Ils appelaient les Conquistadores « tuchupacha »c’est-à-dire dieux, et « teparacha », grands hommes et pensaient qu’ils étaient immortels. Plus tard, « ils les appelèrent chrétiens et disaient qu’ils étaient venus du ciel, lesq habits qu’ils portaient, ils disaient que c’étaient des peaux d’hommes, comme celles dont [leurs prêtres] se revêtaient durant les fêtes » ; ils appelaient leurs chevaux « des cerfs » et croyaient que « les crinières étaient des postiches ; … que les chevaux parlaient et que, lorsque les Espagnols les chevauchaient, les chevaux leur disaient de quel côté ils devaient aller ».

Malgré leur soumission pacifique et l’accueil favorable qu’ils avaient réservé aux Espagnols et aux missionnaires, les Tarasques subirent néanmoins une courte période de vexations et de cruautés quand, en 1529, Nunan Beltran de Guzman (5) traversa leur pays lors de son expédition militaire pour la conquête du Nord-Ouest du Mexique. Le dernier roi ou « caltzontzin » de Michoacan, Sintzicha Tangaxuan II, fut assassiné par l’impitoyable conquérant assoiffé d’or et de richesses. L’accusation de trahison que les Espagnols portèrent contre lui ne fut vraisemblablement qu’un subterfuge pour masquer leur vrai but : s’emparer du « trésor » qu’il avait, selon eux, intentionnellement caché. Après l’avoir soumis aux tortures les plus ignominieuses, Guzman ordonna « qu’on le fit trainer vivant attaché à le queue d’un cheval » puis il fut étranglé et son corps brûlé. Quelques fidèles vassaux recueillirent ce qui restait de ses cendres et en enterrèrent une partie à Patzcuaro. Ainsi périt le dernier souverain des Tarasques ; la nouvelle de sa mort emplit son peuple de tristesse et de crainte.

 

Mais la providence envoya aux habitants de Michoacan l’une des figures les plus pures et les plus intègres des apôtres du Nouveau Monde, Vasco de Quiroga (6).

 

D’après Le Mexique des Indiens, Marino Benzi, éditions du Chêne.

 

(1) http://fr.wikipedia.org/wiki/Tarasques 

(2) http://motscles.lemondeprecolombien.com/index_42.htm

(3) http://mansioniturbe.blogspot.fr/2011/08/la-relacion-de-michoacan-una-obra-que.html

(4) les rites tarasques anciens, pour les hispanophones http://etzakutarakua.colmich.edu.mx/proyectos/relaciondemichoacan/indices/indiceDioses2.asp?letra=x&pagina=1 

(5) http://fr.wikipedia.org/wiki/Nu%C3%B1o_Beltr%C3%A1n_de_Guzm%C3%A1n

(6) http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/assr_0003-9659_1967_num_23_1_2628_t1_0235_0000_2

vendredi 23 mars 2012

Réponse à ceux qui traitent de racistes les apostats de l’islam.




J'ai réussi à fuir un pays où 30.000 personnes par an en moyenne trouvaient la mort dans des conditions atroces à cause de la religion que cet Etat n’a pas oublié d’inscrire dans sa Constitution. J'ai assisté à la transformation de toute la société qui compose ce pays, à son islamisation progressive, à sa transformation, tout d’abord vestimentaire,  puis ensuite prosélyte, avec notamment ces prières de rues qui envahissent tout et empêchent toute vie sociale. Puis cela a continué ainsi, par des escalades verbales, puis des menaces, des actes isolés d'incivilité, des refus ostentatoires de reconnaitre toute autorité de l'Etat, des lettres de menaces envoyées à ceux qui ont le courage de ne pas céder aux intimidations, avec de temps en temps un meurtre ou deux par-ci par-là, dans une sorte de routine surréaliste. Jusqu'au déchaînement final de violence. C'est à ce moment qu’on s'en est pris à la population, sans distinction : « tuez-les tous », nous dit le coran. Et pas sûr que dieu reconnaisse les siens ! Des familles entières, des villages en totalité, parfois sous les yeux bienveillants de l’armée, ou de la gendarmerie, par impuissance peut-être, par volonté politique sûrement. C'est aussi à ce moment qu’on s'en est pris aux intellectuels, ce sont eux qui dérangent avant tout. En les faisant taire, le reste du troupeau sera plus facile à domestiquer. Les journalistes, comme souvent en première ligne. Il faut les éliminer en priorité. L’hécatombe commence pour eux, au sens littéral : comme Tahar Djaout, Yasmina Drissi, Rachida et Houria Hammadi (2 sœurs) ou encore Olivier Quemeneur, ils seront exactement 100 à tomber sous les coups de leurs meurtriers. Ces noms doivent peut-être dire quelque chose à ces beaux messieurs qui nous donnent des leçons. Les journalistes sont parmi ceux qui auront payé le plus lourd tribut,  victimes de tous les lâches Mohammed Merah. Car leurs assassins auraient tous pu s’appeler Mohammed Merah. Les mêmes motivations, la même volonté de nuire, le même froideur, les mêmes références coraniques. Le même culte de la mort. Ainsi, jusqu'à la désintégration totale de cette société et à sa "déhumanisation". Des crimes abominables, comme ces bébés ou ces nourrissons lancés contre des murs, ces femmes violées puis éventrées et éviscérées, devant les membres de leurs familles, qui étaient ensuite passés au « ssif », c'est-à-dire au cimeterre. Ou au couteau à la lame émoussée, juste pour faire durer le plaisir. Vous trouvez que je suis macabre ? C’est pourtant la triste mais pure vérité.


Aujourd'hui, je vois le scénario, exactement le même, se reproduire progressivement dans mon pays d'accueil. On n’en est pas encore aux crimes de masse, mais cela ne saurait tarder, c’est la suite et la conséquence inéluctable et logique de l’apathie de tous ces intellectuels de salon qui, par leur complicité, passive ou active, peuvent nous mener à la guerre civile. Tous ces défenseurs du multiculturalisme devront tôt ou tard cesser de se laisser endormir par cette belle imagerie d’Epinal qui nous montre une société aux composantes parfaitement intégrées. Ce qui a fonctionné avec Italiens, Polonais, Espagnols, Juifs, Arméniens, Portugais, Vietnamiens, etc… ne pourra en aucun cas se réaliser avec les musulmans. Pour mille raisons qu’on retrouve dans le coran et dans les hadiths, et pour une raison principale, qui fait et fera que la mayonnaise ne peut prendre : la vocation expansionniste de l’islam, cette volonté de la quasi-totalité des musulmans de soumettre l’ensemble de l’humanité, comme l'a recommandé leur prophète. 


Alors, messieurs et mesdames les politiciens, les journalistes et les intellectuels occidentaux, ne prenez pas les pages du coran pour vous en instruire (ces pages, vous les connaissez peut-être déjà, n'est-ce pas?), n’allez pas écouter ce qui se dit dans les prêches de cet « islam de France modéré» dont vous semblez si fiers, que vous croyez avoir organisé et fédéré et coupé de toute influence étrangère, continuez à faire preuve de lâcheté vis-à-vis de l’islam et vous perdrez jusqu’à vos âmes. En revanche, vous pourriez y gagner des milliers de Mohammed Merah.


Et continuez donc à me traiter de RACISTE quand je dénonce ces abominations faites au nom d'un faux-dieu et de son vrai-gourou. Vous pourriez avoir raison de me  traitez de tout ce que vous voudrez, mais pas de raciste. D'une, parce que vous n'en connaissez pas la définition ou, plus sûrement, vous feignez de l'ignorer; de deux, j'aimerai bien qu'on m'explique comment on peut être raciste envers soi-même et les siens.

Paix, amour et tolérance


Ah, s’il s’était agit de l’acte d’un membre de l’ultra droite européenne ! On aurait eu un 2ème Anders Behring Breivik à qui on aurait collé tous les maux de la Terre et sur lequel on aurait pu déverser toute notre haine ! Manque de chance… il ne s’agit que d’un de nos protégés. Et nous avons agi comme des abrutis, nous avons mis les pieds dans le plat avant de réfléchir, maintenant il est  trop tard. Alors, coincés dans nos contradictions, il ne nous reste plus qu’à jouer  sur les grands sentiments : surtout pas d’amalgame, n’est-ce pas ! L’islam est religion de paix, ne généralisons pas, ne stigmatisons personne … 


L’islam est religion de paix, d’amour et de tolérance. Qui en douterait ? En voici quelques preuves : 

- Sourate 2 verset  161 : Ceux qui ne croient pas et meurent mécréants, recevront la malédiction d'allah, des anges et de tous les hommes.
- Sourate 2 verset 171 : Les mécréants ressemblent à du bétail auquel on crie et qui entend seulement appel et voix confus. Sourds, muets, aveugles, ils ne raisonnent point.
- Sourate 2 verset 191 : Et tuez-les, où que vous les rencontriez, et chassez-les d'où ils vous ont chassé. L'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
- Sourate 2 verset 193 :
Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à allah et à lui seul.
- Sourate 2 verset 254 :
Ô les croyants! Dépenser de ce que nous vous avons attribué, avant que vienne le jour où il n'y aura ni rançon ni amitié ni intercession. Et ce sont les mécréants qui sont les injustes.
- Sourate 3 verset 91 : Ceux qui ne croient pas et qui meurent mécréants, il ne sera jamais accepté d’aucun d’eux de se racheter même si pour cela il donnait le contenu , en or, de la terre. Ils auront un châtiment douloureux, et ils n’auront point de secoureurs.
- Sourate 3 verset 116 : Quant à ceux qui ne croient pas, ni leurs biens, ni leurs enfants ne pourront jamais leur servir contre la punition d' allah. Et ce sont les gens du Feu: ils y demeureront éternellement. 
- Sourate 3 verset 131 : Et craignez le Feu préparé pour les mécréants.
- Sourate 3 verset 141 : … et afin qu'allah purifie ceux qui ont cru, et anéantisse les mécréants. 
- Sourate 4 verset 56 : Certes, ceux qui ne croient pas à nos versets, nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes, puissant et sage!
- Sourate 4 verset 89 : Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur,
- Sourate 4 verset 101 : Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.
- Sourate 4 verset 144 :
Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les mécréants au lieu des croyants. Voudriez-vous donner à allah une preuve évidente contre vous?
- Sourate 4 verset 150-151 :  Ceux qui ne croient pas en allah et en ses messagers, et qui veulent faire distinction entre allah et ses messagers et qui disent: "Nous croyons en certains d’entre eux mais ne croyons pas en d’autres", et qui veulent prendre un chemin intermédiaire (entre la foi et la mécréance), les voilà les vrais mécréants! Et nous avons préparé pour les mécréants un châtiment avilissant. 
- Sourate 5 verset 10 : Quant à ceux qui ne croient pas et traitent de mensonge Nos preuves, ceux-là sont des gens de l’Enfer
- Sourate 4 verset 171 Dis: "Ô gens du livre! Est- ce que vous nous reprochez autre chose que de croire en allah, à ce qu'on a fait descendre vers nous et à ce qu’on a fait descendre auparavant? Mais la plupart d’entre vous sont des pervers.
- Sourate 5 verset 51 : Ô croyants, ne prenez pas pour allié les juifs et les chrétiens, ils sont alliés les uns aux autres. Et quiconque d’entre vous les prend pour allié est alors un des leurs, certes allah ne guide pas les gens injustes.
- Sourate 8 verset 7 : (Rappelez-vous), quand allah vous promettait qu'une des deux bandes sera à vous. "Vous désiriez vous emparer de celle qui était sans armes, alors qu'allah voulait par ses paroles faire triompher la vérité et anéantir les mécréants jusqu'au dernier.
- Sourate 8 verset 12 : Et ton seigneur révéla aux anges : "je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.
- Sourate 8 verset 17 : Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de sa part! allah est sachant et omniscient.
- Sourate 8 verset  29 : Et s’ils implorent à boire on les abreuvera d’une eau comme du métal fondu brûlant les visages. Quelle mauvaise boisson.
- Sourate 8 verset 50 : Si tu voyais, lorsque les anges arrachaient les âmes aux mécréants! Ils les frappaient sur leurs visages et leurs derrières, (en disant): « Goûtez au châtiment du feu » !
- Sourate 8 Verset 55 : Les pires bêtes, pour allah, sont ceux qui ont été infidèles et qui le sont restés.
- Sourate 8 verset 65 : Ô prophète, incite les croyants au combat. S'il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents; et s'il s'en trouve cent, ils vaincront mille mécréants, car ce sont vraiment des gens qui ne comprennent pas.
- Sourate 8 verset 67 : Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d'avoir prévalu [mis les mécréants hors de combat] sur la terre. Vous voulez les biens d'ici-bas, tandis qu'allah veut l'au-delà. Allah est puissant et sage.
- Sourate 9 verset 30/31 : Les Juifs disent : “Uzayr est fils d’allah” et les chrétiens disent : “Le messie est fils d’allah”. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ? Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le messie fils de Marie, comme seigneurs en dehors d’allah, alors qu’on leur a commandé d’adorer un dieu unique. Pas de divinité à part lui ! Gloire à lui ! Il est au-dessus de ce qu’ils (lui) associent .
- Sourate 9 verset 85 : Et que ni leurs biens ni leurs enfants ne t'émerveillent! Allah ne veut par là, que les châtier ici-bas, et qu'ils rendent péniblement l'âme en mécréants.
- Sourate 21 verset 39 : Si les mécréants connaissaient le moment où ils ne pourront empêcher le feu de leurs visages ni de leurs dos, et où ils ne seront point secourus ! 
- Sourate 33 verset 64 : Allah a maudit les mécréants et leur a préparé une fournaise.
- Sourate 35 verset 36 : Et ceux qui ont mécru auront le feu de l’Enfer. On ne les achève pas, on n’allège pas leurs tourments. C’est ainsi que nous récompensons les mécréants obstinés. 
- Sourate 48 verset 13 : Et quiconque ne croit pas en allah et en son messager, nous leur avons préparé une fournaise ardente.


Le reste est du même tonneau, bien évidemment ! Cent quatorze sourates d'appels à l'amour du prochain, à la paix, au pardon, à la tolérance et au partage.

jeudi 22 mars 2012

Esprit jihadiste


Le cas de ce tueur de Toulouse n'est pas isolé, comme on tente de nous le faire croire en nous disant de ne pas faire d'amalgame. Il peut se renouveler n'importe quand et n'importe où car il est dans la droite ligne de l'enseignement coranique.

 
Le refus de la mère d’entrer en contact avec son fils a à peine été évoqué par la presse. Pourtant, aussi incroyable que cela puisse paraître, elle l’a voulu ainsi. L'issue de l'histoire était pourtant prévisible, une mère aurait tout fait pour dissuader son enfant de commettre l'irréparable, elle aurait eu un pincement au coeur qui aurait fait que même si elle le savait condamné, elle allait lui dire au moins une dernière fois qu'elle l'aime, que ce qu'il a fait est impardonnable, sauf pour une mère envers son enfant. Rien de tout cela, au contraire, elle n'a pas bronché.

Cette femme s'est comportée comme ces mères de Gaza qui brandissent à bout de bras leur enfant mort, en criant "allah akbar", fières malgré leur infini chagrin, fières d'avoir enfanté un "héros", un martyr. La culture du MARTYR. Les musulmans la pratiquent et aiment ça. Du masochisme extrême. Comme ils ont également la culture de la mort.


La Mort, qui les rapproche du paradis de leur allah satanique. Ils ont hâte d’y arriver, ils sont pressés de rejoindre cet eldorado lubrique « où coule le miel » et où les attendent éphèbes efféminés et vierges éternellement recousues. Car le paradis-lupanar d’allah est ainsi : fainéantise, engraissement et stupre renouvelés pour l’éternité. Voila ce à quoi le musulman aspire, voila à quoi il rêve. Ce pour quoi il est prêt à tuer, peu importe le nombre mais le plus sera le mieux. Et finalement, à être tué en « moudjahid ». Qui meurt sur le chemin du djihad n’attend pas le jugement dernier pour entrer dans le paradis d’allah-le-sanguinaire, il y accède immédiatement et directement. Ce qui explique le zèle avec lequel tous les malades mentaux candidats au suicide se pressent « fi sabil allah » (sur le chemin d’allah).  Plus ils feront de victimes, plus leur faux-dieu sera content et plus leur quota de vierges éternelles sera important. Ce qui explique qu’on retrouve des djihadistes déchiquetés par leurs bombes mais qui ont bien pris soin de protéger leurs parties génitales avant de se faire exploser.