vendredi 26 octobre 2012

Trêve musulmane


Journée de fête et de liesse dans le monde musulman, journée de trêve dans les combats.

Pas tout-à-fait, pourtant! Quand on connait l'islam, on n'en est pas étonné.

Par exemple, la presse nous apprend que:
- "La fête musulmane du sacrifice, l'Aïd al-Adha, a été assombrie vendredi par un attentat suicide qui a fait au moins 41 morts dans une mosquée de la ville de Maymana, au nord de l'Afghanistan, une région jadis paisible"
- "L'armée nigériane a déjoué un complot de Boko Haram qui préparait des attaques massives pour la prochaine fête musulmane de l'Aïd-el-Kebir".


Ces musulmans ne sont en rien des hérétiques, bien au contraire. Ils ne font que suivre une tradition bien mahométane qui consiste à ne pas cesser le combat sous aucune manière et à continuer les attaques contres ses ennemis même pendant une trêve sacrée, quelle qu'elle soit.

Dans la période anté-islamique, dénommée par les musulmans Jahiliya ("période d'ignorance"), la trêve était respectée de tous. Tout d'abord, il faut savoir que le pèlerinage de la Mecque n'est pas musulman, il était pratiqué bien avant l'avènement de l'islam, et à date fixe, puisque les Arabes de l'époque avaient adopté l'année solaire. Durant cette période, la trêve était de rigueur et elle était respectée de tous.

Elle l'a été respectée également par Mahomet et ses compagnons lors des premières razzias qu'ils effectuèrent, après 622. Mahomet prenait part à certaines de ces expéditions qui permirent aux premiers musulmans de se constituer un butin conséquent composé de chameaux, moutons, chèvres, femmes et enfants, dont une partie était vendue.

Mais tout changea après la razzia contre une caravane qoreïchite appartenant au clan des Banu Makhzum. Les musulmans étaient treize contre quatre Qoraïchites. Ils se trouvèrent en désaccord sur la conduite à tenir, car d'une part Mahomet les avait envoyés là, dans len environs de Nakhla, juste en observateurs et d'autre part ils étaient dans le mois de Rajab (janvier 624), un mois "haram" durant lequel tout combat était interdit. Néanmoins, après avoir délibéré, ils décidèrent de ne pas laisser passer le riche butin et attaquèrent la caravane. Pendant que les Qoraïshites étaient occupés à préparer leur nourriture, les musulmans attaquèrent par surprise. Vainqueurs, les musulmans retournèrent à Médine, auprès de Mahomet. Mahomet les réprimanda pour avoir combattu durant un mois sacré, mais le précieux butin valait bien qu'Allah fasse descendre un verset sur mesure pour autoriser ce que les "sauvages" de la Jahiliya s'interdisaient formellement. Et Allah, toujours serviable envers son prophète, fit descendre par Gabriel-Aux-Six-Cents-Ailes le verset 2.217 qui justifie les attaques en période sainte où ordinairement la trêve sacrée est respectée de tous:

"- Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. - Dis : "Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d'Allah est de faire obstacle au sentier d'Allah, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants . L'association est plus grave que le meurtre." Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu'à, s'ils peuvent, vous détourner de votre religion. Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement".

S'opposer à Mahomet et à ses malfaiteurs est donc une transgression bien plus grave que le meurtre et plus grave que le respect du mois sacré et justifie ainsi le meurtre de 3 des 4 caravaniers (le 4ème a réussi à fuir). De nos jours, on pourrait dire que stigmatiser un musulman est plus grave que le meurtre.

Aujourd'hui encore, "donner un associé à allah est plus grave que le meurtre", chaqu'un des 1,5 milliards de musulmans en est persuadé. Et donc ne connait pas de trêve.

Jour de l'Aïd, à la Mecque, devant 2,5 millions de pèlerins

Les idées de l'OCI gagnent du terrain.

A l'occasion du pélerinage, tous les musulmans se voient délivrer le message qu'ils se devront de relayer en d'appliquer partout où ils se trouvent, au Nord comme au Sud, à l'Est comme à l'Ouest: 

- "La charia doit être pour la nation islamique la source de législation (...). Elle s'applique à tous les aspects de la vie, en tout lieu et en tout temps".

- Chaque musulman sur terre doit dénoncer "ceux qui prônent un Etat civil, une minorité qui cherche à asséner un coup à la religion (musulmane) sous des prétextes fallacieux et des slogans erronés".

- Chaque musulman sur terre doit s'éloigner des valeurs occidentales de kuffars: "Au nom de la liberté, ils prétendent que la religion n’est pas valable, s’opposent à la peine de mort et aux autres peines (prévues en islam comme la lapidation, l’amputation, la flagellation), car elles sont contraires aux droits de l’homme (...) et prétendent que la nation islamique, si elle applique la charia, se coupe des nations évoluées", .
- Que chaque musulman sur terre le sache: "Ces prétentions désespérées font partie des campagnes menées par les ennemis de l'islam pour transformer la nation islamique, l'éloigner de sa religion et effacer son identité".

Voilà donc les musulmans prévenus. Et par là-même, nous aussi: l'islam se dévoile encore un peu plus et nous désigne très clairement comme ses ennemis.

A nous d'en tirer les conclusions pendant qu'il en est encore temps.

http://www.levif.be/info/belga-generique/le-mufti-d-arabie-defend-la-charia-devant-2-5-millions-de-pelerins/article-4000199146520.htm

lundi 22 octobre 2012

Grand banditisme islamique

Dans la sira (biographie) de Mahomet, on trouve une quantité incroyable d'assassinats politiques ou simplement gratuits: assassinats d'opposants, de poètes et poétesses, de chefs de clans, meurtres pour assouvir une vengeance, loi du talion, etc. On trouve aussi des méfaits dignes du grand-banditisme, des comportements immoraux même pour l'époque.

De tous les ulémas de l'islam, seul Tabari a eu un unique commentaire qu'on pourrait prendre pour une critique ou une désapprobation d'un des actes de son prophète. Même les comportements les plus barbares sont considérés par tous les musulmans comme des actes d'une très grande moralité et qu'ils se doivent, en plus, reproduire.
Les récits sont souvents accompagnés de détails macabres ou scabreux, indignes d'un humain normalement constitué, et les "héros" sont un personnage auto-proclammé prophète, avec une forte propension à la violence, et ses compagnons.

Deux épisodes révélateurs (www.islam-documents.org/):

1° Le talion (ibn Sad, Tabaqat 2/114-5):

"Le raid de Kurz ibn Jabir al Fihri eut lieu contre les Banu Urayna dans le mois de shawwal à la sixième année de l’Hégire de l’apôtre d’Allah.
On a dit qu’un groupe des Urayna au nombre de huit est venu voir l’apôtre d’Allah et a accepté l’islam, mais le climat de Médine ne leur convenait pas. Alors l’apôtre d’Allah leur ordona de vivre avec ses chamelles qui paissaient à Dhu al Jadr près de Quba et d’Ayr, à une distance de six milles de Médine. Ils restèrent là jusqu’à ce qu’ils récupèrent et reprirent du gras.
Un matin, ils firent un raid sur les chamelles et les enlevèrent. Yasar, l’affranchi de l’apôtre d’Allah, les affronta avec un petit groupe. Il les combattit. Ils lui coupèrent les mains et les pieds, mirent des épines dans sa langue et ses yeux. Par la suite, il mourut. Les nouvelles de l’incident furent portées à l’apôtre d’Allah. Il envoya aussitôt vingt cavaliers à leur poursuite et il nomma à leur tête Kurz ibn al Fihri, leur chef. Ils les atteignirent et les entourèrent, les capturèrent, les entravèrent et les firent asseoir sur leurs chevaux, pour les emmener à Médine. L’apôtre d’Allah était à al Ghabah. Ils se mirent en route vers lui et il les rencontra à al Zaghabah, l’endroit où les cours d’eaux se rejoignent de partout. Il donna des ordres pour que leurs pieds et leurs mains soient tranchées, et leurs yeux enlevés. Ils furent ensuite crucifiés. Puis le verset suivant fut révélé à l’apôtre d’Allah.
La seule récompense pour ceux qui font la guerre à Allah et à son messager et qui propagent la corruption sur la terre…
(*)
Après cela, il n’arracha plus les yeux de personne.

2° L’insulte aux cadavres (Bukhari, Sahih 59/314):

"Le jour de Badr, le prophète ordonna que les corps de vingt quatre chez des Quraysh soient jetés dans un des puits secs de Badr. C’était une habitude  du prophète, quand il faisait la conquête d’un peuple, de rester sur le champ de bataille pour trois nuits. Donc, la troisième nuit de Badr, il ordonna que sa chamelle soit sellée, puis  il sortit suivi de ses compagnons, qui se disaient entre eux:
- A coup sûr, il est en train de faire quelque chose d’important.
Il s’arrêta au bord du puit, et il appela les corps des infidèles Quraysh par leurs noms et patronymes:
-Toi, untel fils d’untel et untel fils d’untel! Cela vous aurait plu davantage d’obéir à Allah et à son prophète? Vous avez réalisé ce que notre seigneur vous a promis? Avez-vous compris ce que votre seigneur vous a promis?
Omar dit:
-Ô envoyé d’Allah! Tu parles à des corps qui n’ont plus d’âmes!
L’envoyé d’Allah répondit:
-Par celui qui tient dans ses mains l’âme de Muhammad, tu n’entends  pas mieux que ce qu’ils entendent".


(*) Il s'agit du verset 5.33: "La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés de la terre [du pays, selon une autre version]. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment",

mercredi 17 octobre 2012

THE UNANIMOUS DECLARATION OF WE THE PEOPLE!!!


Le temps est venu pour le monde civilisé de pratiquer la TOLÉRANCE ZÉRO envers l'Islam. Il n'y a aucune négociation avec une idéologie politique totalitaire et sauvage . Il n'y a aucun précédent historique où l'apaisement des fascistes a marc...
hé. L'apaisement fait toujours des choses plus mauvaises. Les leaders islamiques confondent la bonté avec la faiblesse et nous avons été beaucoup trop gentils. Tout le monde doit savoir que le mandat de l'islam est très simple et très, très clair - c'est de forcer le monde entier à se soumettre à l'islam ou mourir. C'est l'islam en bref. Soyons clairs - ceci est un jeu à somme négative. C'est tout ou rien. C'est le gagnant qui ramasse toute la mise. Ceci est une bataille entre le monde civilisé et la sauvagerie. Ceci est une guerre de coupe claire entre le bon et le mauvais. Et la plupart des médias américains, le monde universitaire et nos "leaders" prétendus ont leurs têtes dans le sable. Et ils veulent mettre votre tête dans le sable, même contre votre volonté - parce que ce sable est très riche en pétrole. Et tant l'avidité que le brouillard du multiculturalisme brouillent notre boussole morale. Le monde libre devrait toujours être fort et jamais faible. Nous devrions toujours être indépendants et jamais des personnes à charge. La dépendance est faiblesse. La liberté exige une grande force. Les riches pays pétroliers islamiques sont seulement riches parce que nous les avons autorisés à être des pays pétroliers riches. Laissez-nous saigner ceux qui sont les adeptes du violeur assassin et auto-désigné "prophète" Muhammad. Laissez-nous utiliser notre richesse économique énorme - réalisée grâce à notre liberté - et reprendre notre pouvoir! Finissons-en avec le cauchemar de droits de l'homme appelé l'Islam et qui dure depuis 1.400 années . Laissez-nous couper toute l'aide étrangère à tous les pays islamiques immédiatement. Nous ne pouvons pas attendre un leader élu pour l'obtenir et agir bien. Ils sont surtout faibles. Ils sont plus intéressés par des groupes de discussion que suivant leur intuition morale ou même la protection de la Constitution. Comme on dit, "Quand le peuple avance, les leaders suivront". C'est la responsabilité morale de tous les peuples libres et civilisés de se battre contre la tyrannie et en finir avec. Et aucun système politique n'est plus tyrannique que l'islam. Les adeptes d'une si mauvaise idéologie politique ne devraient être admis dans aucun pays libre du monde - et ceux qui refusent de le dénoncer doivent être renvoyés à la maison. Nous devons en finir avec la tyrannie de l'islam. Nous devons détruire l'islam. Nous devons en finir avec la Sharia dans notre temps. Nous devons absolument détruire l'islam, absolument - et laisser le monde libre dans un meilleur état pour les générations à venir. L'islam fait appelaux qualités les plus sombres du psychisme humain. La liberté cherche à se développer. Et celle qui cherche à saper notre évolution doit être écartée du chemin - par tous les moyens nécessaires.
 
- EricAllenBell.com
 
 

mardi 16 octobre 2012

On ne peut pas arrêter la recherche coranologique!

Très interessant pour nos amis musulmans: "On ne peut pas arrêter la recherche !"

J'ajoute: Uniquement parce que les musulmans sont susceptibles dès qu'il s'agit de leur dogme.

http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/edito_lmesp_2011-11.htm

Cet article vient confirmer tout ce que le chercheur et analyste du coran Christoph Luxenberg a démontré dans ses études philologiques sur le coran et qui concernent les modifications et falsifications qu'a subi le coran avant de devenir la "vulgate otmanienne" qu'on connait aujourd'hui.

D'abord, un premier livre: "Muhammad is not the father of any of your men", de  David S. Powers
L'auteur remet en cause le postulat qui admettait que "l’ossature consonantique du coran, tel qu’il nous est présenté aujourd’hui au XXIème siècle, est identique en tous points à la révélation reçue par le prophète Mohammad sur une période de vingt-trois ans entre 610 et 632".

Il confirme ce que nous avait démontré Christoph Luxenberg dans ses études philologiques sur le coran.
Où il est question de "mots mal orthographiés", de "substitution" d'un mot à la place d'un autre, de la "La substitution du mot kalâlah à la place de kallah en s.4,12 et la fabrication d’un ultime verset supplémentaire où ce mot apparaît ".
L'article parle encore de "véritables manipulations du texte".



Le second livre est d'un auteur musulman. Quand les musulmans eux-même (seulement certains d'entre-eux, il ne faut pas rêver) ouvrent leurs oeillères et se basent sur des faits démontrés pour remettre en cause la valeur du texte coranique, comme le fait Mohammad Ali Amir-Moezzi, il faut saluer leur courage et leur honnêteté. 
Tout repose sur la haine qu'entretiennent les compagnons de Mahomet qui allaient lui succéder en tant que califes et Ali, son gendre. A l'origine de cette haine, la succession de Mahomet et donc le pouvoir qui en découle. Pour les chiites, le succésseur légitime de Mahomet est bien évidemment son gendre Ali.

A noter que cette haine entre chiites, qui ont failli être exterminés et ont pour l'occasion créé le concept de taquiya repris plus tard pas les sunnites, vouent encore aujourd'hui une grande haine envers les sunnites, qui, d'ailleurs, le leur rendnent très bien!

Dans son livre "le Coran Silencieux et le Coran Parlant", Amir Moezzi n'est pas tendre avec les sunnites, mais ce ne sont pas des propos irraisonnés. Il parle de "système complexe de propagande" et de "falsifications historiques", pratiques qui sont encore de nos jours bien présentes dans le monde musulman. Il parle aussi d'intervention "massive" dans le corpus coranique. Ainsi que de "mystification historique" et de "manipulations du Coran".
Des accusations très graves, qu'on ne peut pas lancer comme celà, à la légère.


-  Le Coran silencieux et le Coran parlant
http://www.lemondedesreligions.fr/savoir/le-coran-silencieux-et-le-coran-parlant-30-11-2011-2045_110.php

- Muhammad Is Not the Father of Any of Your Men
http://books.google.fr/books?id=OUxWN1VBnBEC&pg=PA69&lpg=PA69&dq=Muhammad+is+not+the+father+of+any+of+your+men&source=bl&ots=ggBVdp1Ol0&sig=m1LLYo3wY6FlYfe8nPqFQVuYsO4&hl=fr&sa=X&ei=1iB9UKOlKsu6hAfAgoAo&ved=0CEEQ6AEwBA

-  Une occurrence du nom de Muhammad ?
http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/six.pdf

-  “Gens du Livre” et Nazaréens dans le Coran : qui sont les premiers et à quel titre les seconds en font-ils partie ?
http://lemessieetsonprophete.com/annexes/Ahl-al-Kitab_%27gens-du-livre%27.htm

vendredi 12 octobre 2012

Coup de colère


Coup de colère contre un musulman à propos de Jerusalem.

Marre, de ces Arabo-musulmans qui s'approprient tout! Marre de ces falsificateurs d'Histoire! Marre de ces charlatans qui se sont attribué toutes les avancées des Humains, toutes leurs découvertes, sans vergogne! Jusqu'à l'Amérique, qu'ils ont foulé avant Christophe Colomb. Tous ces menteurs invétérés qui expliquent tout par les miracles pseudo-scientifiques de leur unique bouquin, rempli de cor-âneries!

Ils se sont emparé de l'Egypte des pharaons, et aujourd'hui, malgré les pyramides qui leur renvoient à la figure 5 millénaires de culture et de savoir ancestraux, ils se sont persuadé et tentent de nous persuader que l'Egypte est arabe. Il ont eu beau brûler la grande bibliothèque d'Alexandrie, comme il ont fait avec la très riche culture perse, qu'il ont saccagé et ruiné presque totalement, ils ne sont pas parvenus à leur fin: faire que l'Histoire ne commence qu'avec Mahomet. Ils ont presque réussi leur oeuvre de déculturation: les Egyptiens eux-même se disent Arabes! Quand la négation de l'Histoire triomphe au pays des pharaons!

Oqba a conquis l'Afrique du Nord par le feu et par le ssif (le cimeterre), imposant l'(in)culture bédouine de Kairouan à Tanger. Les falsificateurs d'Histoire ont presque persuadé les Amazigh qu'ils descendent d'une branche qoreïchite de bédouins d'Arabie. Encore aujourd'hui, une majorité de Berbères se dit Arabe, parle et pense arabe. Les Etats bananiers-sans-bananes qu'ils ont mis en place depuis bientôt 15 siècles ont tellement tout muselé qu'il leur est facile de travestir l'Histoire. Depuis Oqba, il n'y a eu qu'une longue suite de despotes à le tête des Etats d'Afrique du Nord. Comme partout ailleurs en terre d'islam. Tous plus sanguinaires les uns que les autres, tous plus vénaux et mafieux, ils ont conduit les peuples à la misère sociale et intellectuelle,  qu'on leur connait aujourd'hui, reniant au passage la Culture et  l'Histoire plusieurs fois millénaire de Tamazgha pour ne retenir que les "héros" de l'islam, toujours lui. Les pires étant comme toujours ces convertis qui pensent devoir démontrer leur loyauté. Les exemples de trahison chez les Bebères ne manquent malheureusement pas. Comme le traitre à la Nation Amazigh, Tariq ibn-Ziyad parti à la conquête de l'Europe pour le compte de ses maîtres asiatiques, comme cet autre traitre, l'émir Abd el-Kader, qui est devenu héros national algérien alors qu'il est le plus grand traitre de l'Algérie, ce qui lui vaudra un séjour digne d'un roi au château de Chambord et surtout d'avoir ensuite été envoyé à Damas en tant qu'ambassadeur de Napoléon III. Traitre et héros de l'islam des cavernes comme ce Ben Badis considéré comme un des plus grands hommes de l'humanité par des dizaines de millions d'Algériens, juste parce qu'il a su leur commenter quelques sourates de leur unique référence, le bouquin mahométan.

Aujourd'hui, les musulmans se sont découvert un nouveau dada, un nouveau mensonge historique à diffuser et à colporter partout comme on colporte une fausse rumeur: al-Qods , Jérusalem. Comment s'approprier Jérusalem et en faire, comme c'est inscrit noir sur blanc dans la Charte de l'OCI, la Capitale mondiale de l'Islam. La Mecque qui passe au second plan, impensable! Une apostasie qui devrait coûter l'égorgement à ses auteurs, mais quand c'est "pour le bien de la religion", leur allah leu pardonne volontiers toutes formes de taquiya.

Seulement, Jérusalem est d'abord et avant tout juive, et ce que vous, musulmans,  revendiquez aujourd'hui en vous appuyant sans vergogne sur des mensonges éhontés, s'est depuis l'Antiquité appelé Terre d’Israël! Vous n'y pourrez rien l'Histoire est têtue.   
Au lieu de déblaterer vos sournoiseries, il faut reprendre un peu les livres d'Histoire. Pas les vôtres, car ils sont comme votre coran: tous falsifiés!!! L'Histoire comme la raconte le reste de l'Humanité, qui se base sur des faits avérés et non sur des affabulations.

On trouve l'origine du nom de la ville  dans la Genèse, que les faussaires musulmans se sont d'ailleurs aussi accaparé, en 14,17-20: Abraham donna au prêtre - roi Melchisédech le "dixième de tout". Son nom signifie "roi de loyauté", "roi de Salem" qui veut dire  "roi de paix".
La première tentative des faussaires est de mettre volontairement de côté l'origine du nom. Mais la vérité historique est sans appel pour eux, car Jérusalem est juive, elle est la Capitale des juifs, des Hébreux et d'Israël depuis au moins le règne de David et elle fait partie de la terre sacrée du peuple juif depuis plus de quatre millénaires.

Israël fut envahie par les Arabes en l'an 13 de l'hégire, qui correspond à 633 après JC. Et même à cette époque, il n'était nulle question de Palestine, puisque ce mot a été utilisé pour la première fois sous le règne de Suleyman, en 1516 [source Wikipédia]. Israël fut appellé "Filistin Sancagy" après que les Ottomans eurent envahi toute la région, installant leur empire jusqu'en Egypte et en Arabie.

Vous aurez beau vociférer partout "Al-Qods, Al-Qods".
Vous pouvez décréter que Jérusalem est la Capitale du Califat mondial (que vous rêver d'instaurer après avoir éradiqué Israël).
Vous pouvez déclarer "Al-Qods Capitale de la Culture Arabe".
Et crier partout que Jérusalem est votre premier Sanctuaire Sacré (blasphème mortel pour un musulman, qui lui vaudra l'Enfer-Haraq pour l'éternité).
Vous pouvez essayer de légitimer vos revendications, qui ne reposent que sur du vide et sur des mensonges grossiers, en  vous appuyant sur une sourate sortie de l'imagination d'un (mauvais) auteur de science-fiction (1).




A ce propos, un autre gros mensonge démonté juste par simple logique: comment expliquez-vous ce verset post-hégire:
- 17.1: "Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée Al-Haram à la Mosquée Al-Aqsa dont Nous avons béni l'alentours, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est Lui, vraiment, qui est l'Audient, le Clairvoyant" ?
Comment expliquez-vous qu'il y ait en 622 une mosquée à Jérusalem, une mosquée dénommée al-Haram al-Qods?  Alors que Jérusalem et ses habitants, juifs et chrétiens, ne savaient presque rien et de Mahomet et de l'islam? Et que cette mosquée ait été construite à partir de 638, par le calife Oamr? Encore un de ces mystères insondables de cette grande religion basée sur la Vérité et sur la Science (2).

Après celà, il ne reste plus au musulmans qu'à déclarer le coran comme un faux en écritures, puisqu'il est démontré que ce verset au moins a été écrit après la mort de Mahomet.

Rien n'y fait et rien n'y fera. Les arguments historiques vous renvoient immanquablement dans votre désert arabique, votre seul et unique territoire.

Votre tentative d'aujourd'hui est le reflet de votre propension à l'imposture et à la tromperie. Vous êtes les dignes héritiers de votre gourou et de ses amis les califes qui lui ont succédé. Ils s'étaient attribué Jérusalem de la même manière que votre faux-prophète s'était attribué Médine, devenue votre 2ème lieu saint: par la spoliation et l'assassinat. Car si vous ne le savez pas, je vous l'apprend: Médine n'était pas arabe mais juive, cette oasis était prospère et s'appelait Yathrib avant que votre gourou sanguinaire ne se l'approprie de force.

Et puisqu'on est dans les confidences, je vous l'apprend peut-être: même la Mecque et la Kaaba n'étaient pas et ne sont pas musulmanes. La Mecque était le lieu saint et la Kaaba le Temple des Arabes de la Jahiliya, qui adoraient plus de 300 divinités, dont Allah. Vous n'y avez rien changé, du coup, vous croyez rendre un culte à un dieu unique, vous êtes les pires des polythéistes et également les pires des adorateurs de cailloux. J'en profite aussi pour vous dire que la Jahiliya était bien plus savante que le contenu de votre livre et de toutes les "sirates" car elle n'était pas refermée sur elle-même. En réalité, les Arabes entrèrent en Jahiliya quand il adoptèrent l'islam qui les ramena à l'ignorance des cavernes. Si j'étais musulman, je demanderai à détruire la Kaaba et tous les autres symboles de la Mecque, ils appartiennent à un culte païen! Vous rendez-vous compte? Même votre Allah est païen, il n'est pas musulman!

Finalement, l'islam est comme vous: il repose sur du vent, sur le mensonge éhonté, sur la falsification historique et sur l'appropriation des biens d'autrui. Il repose sur la négation de l'Histoire. Et surtout sur la mégalomanie raciste et prétentieuse d'être les seuls de l'Univers à détenir la Vérité.

Tout celà pour vous dire que vous ne gagnez rien sur terre à vous pourrir la vie et par la même occasion à pourrir aussi la vie des autres alors qu'on ne vous demande rien, mais vous n'aurez rien non plus dans l'au-delà car votre dieu n'existe pas, ni donc son paradis-lupanar, encore moins les houries recousues pour lesquelles vous préférez vous protéger les parties génitales plutôt que tout autre organe quand vous allez bêtement vous faire exploser la panse en priant d'emmener avec vous le plus d'innocents possibles.
Mais vous êtes capables de contester même la plus cinglante des vérités, c'est même votre spécialité!

(1) Sourate 17 (al-Nisra - le Voyage Nocturne), qui raconte comment Mahomet fit l'aller-retour entre la mosquée Masjid al-Haram de la Mecque et ce que les musulmans appellent mosquée al-Aqsa al-Qods, en une nuit. Il devait disposer du vaisseau spatial fourni par l'Ange Gabriel-aux-Six-Cents-Ailes.
(2) La sourate 17 date de l'avant-hégire, donc d'avant 622.  Et bien entendu, en 622, l'islam n'était pas sorti de sa première zone d'influence, le Hidjaz (région située au nord de l'Asir, qui comprend Yathtib [qui ne s'appelait pas encore Médine] et la Mecque).

jeudi 11 octobre 2012

taquiya (takkiya)

Un premier exemple de taquiya:
Nous sommes en janvier. Vous sortez de la boulangerie avec votre pain au chocolat et, en croisant votre voisin musulman, vous cachez vite la viennoiserie et vous lui souhaitez une bonne année. La réponse de votre vrai musulman sera: "Je te souhaite le meilleur". Vous partez avec un grand sourire, en vous disant que, finalement, on en raconte, sur ces pauvres musulmans! Et qu'ils ne sont pas si vicieux qu'on veut bien le dire. Vous aurez bien tort, car sa réponse veut simplement dire: "Je te souhaite de te convertir".


Il existe une autre forme de taquiya, c'est le mensonge qui consiste à taire ce qui pourrait choquer, dissimuler tout ce qui est contraire aux valeurs humaines: violence, absence de droits individuels, racisme, etc. Une taquiya qui a fait des dégâts inconsidérables, surtout chez les bien-pensants, les néo-philosophes, plumitifs et politicards, ceux qui ont comme livres de chevet Caroline Fourest et Malek Chebel. Très dommageable, transforme les Humains en Dhimmis. La justification de ce mensonge par omission est dans le verset 17.53:
- "Et dis à Mes serviteurs d'exprimer les meilleures paroles, car le Diable sème la discorde parmi eux. Le Diable est certes, pour l'homme, un ennemi déclaré". 
Intimant donc à chaque musulman de ne dire que ce que les autres veulent bien entendre.


Un autre exemple de taquiya, avec le verset 3.28:
- "Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d'Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d'eux. Allah vous met en garde à l'égard de Lui-même. Et c'est à Allah le retour". 
Pour un esprit occidental, il est immoral d'instituer le mensonge et rien ne peut le justifier, même pour les causes les plus grandes. Mais pour les musulmans, il en est tout autrement: la taquiya est non seulement admise mais recommandée, elle est même une obligation à chaque fois que le mensonge est utile à l'islam.
Là encore, les musulmans ont développé des arguments  en se basant sur des données "historiques", en nous disant que ce sont les chiites, disciples du gendre Ali, qui ont inventé ce concept quand les sunnites on voulu les exterminer. Seulement, cette conception a depuis été reprise à leur compte par les sunnites, et il est assez facile de le montrer avec quelques exemples pris chez les grands ulémas (savants), historiens et exégètes, tous  sunnites:

- "[Le verset 3.28] appelle le musulman à faire preuve de duplicité à l’égard du non-musulman s’il est dans une situation où il doit se protéger : «Sachez sourire à ces personnes (les non-musulmans) alors que votre cœur les maudit»."  (Ibn Kathir)
- "Si l'objectif à atteindre est permis, le mensonge est de ce fait permis, et si cet objectif est obligatoire, le mensonge devient alors obligatoire". (an-Nawawi, Riyad es-Salihine, littéralement: "Jardin de la Vertu" (sic!!!), repris pas Hamid Ghazali).
On voit donc comment les musulmans conçoivent la vertu!

Un des plus célèbres exégètes, Al-Tabari, nous a lui aussi laissé son témoignage: "Si vous [les musulmans] êtes sous leur autorité [des non-musulmans], ayant crainte pour vous-mêmes, comportez-vous loyalement, avec votre parole, à leur égard, alors que vous entretenez intérieurement de l’animosité à leur égard".

Bien évidemment, tout ceci est en accord parfait avec le coran:

- 8.30: "[Et rappelle-toi] le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t'emprisonner ou t'assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes". - 13.42: "Certes ceux d'avant eux ont manigancé (contre leur Messager); le stratagème tout entier appartient à Allah".
- 16.106: "Quiconque a renié Allah après avoir cru - sauf celui qui y a été contraint alors que son coeur demeure plein de la sérénité de la foi - mais ceux qui ouvrent délibérément leur coeur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère d'Allah et ils ont un châtiment terrible".

Voilà maintenant vous le savez, quand un musulman vous dit que "le mensonge at-taqya n'est autorisé que chez les chiites", ne le croyez pas, ne le croyez plus!


Encore un exemple important de taquiya et en même temps de tawriya ("double sens") , il s'agit du 5.32:
- "C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué toute l'humanité. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre."

Ce verset est à la suite des versets 5.27 à 5.31, qui sont une pâle copie déformée de la Genèse (Nous voyons qu’il est dit dans le cas de Caïn qui assassina son frère : " La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi"). 
Ce verset sert aux musulmans à justifier auprès des naïfs ou de ceux qui n'ont pas des connaissances approfondies de l'islam que leur belle religion est contre la violence. Une religion d'amour, de tolérance et de paix.
L'analyse du verset montre d'abord que cette prescription s'adresse "aux enfants d'Israël". Pour les musulmans, les juifs ont été les premiers croyants, les premiers "musulmans". Ils se sont éloignés du vrai chemin après avoir renié la parole d'Allah et se sont mis à "commettre des excès sur la terre", et Allah les a "égarés".
Mais généralement, les musulmans omettent la première partie du verset et ils le citent en commençant par "quiconque tuerait ...". Ce qui, avec l'explication précédente, ne change rien au fond: chaque croyant en Allah est un Soumis, un Musulman, y compris s'il est descendant d'Isaac et fils d'Israël.
Pour le reste, le verset en lui-même est assez explicite: il est question de "personnes non coupables d'un meurtre ou d'une corruption".

Première question: qui donc peut être coupable d'un meurte? Celui qui tue un musulman, sauf dans ces trois cas: l'adultère, l'auteur d'un homicide et l'apostat. Tout musulman qui tue une de ces personne ne sera pas poursuivi.
Cette disposition est d'ailleurs confirmée par un hadith sahih rapporté par Muslim et par al-Bukhari et probableent par d'autres:
- "Le messager d'Allah a dit: il est interdit de verser le sang d'un musulman, sauf dans trois cas: l'homme marié qui commet l'adultère, l'auteur d'un homicide volontaire et l'apostat".

Posons-nous maintenant l'autre question: qui est coupable de "corruption"? C'est la suite de la sourate qui nous l'apprend:
- 5.33: "La récompense de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment,"
- 5.34: "excepté ceux qui se sont repentis avant de tomber en votre pouvoir: sachez qu'alors, Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Pas besoin d'une longue liste: "ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager", ce sont tous ceux qui ne sont pas musulmans, y compris les autres croyants monothéistes, chrétiens et juifs. Il suffit de remplacer le mot "humanité" par "oumma" et tout devient évident. Ce que les musulmans cachent bien évidemment.



Voila donc le mensonge démonté.

mardi 9 octobre 2012

France : Délinquence et Djihad sont synonymes.


Dans les décennies 1980/1990, on a cru avoir trouvé la panacée universelle face à la délinquence dans les banlieues pourries de France: les biens-pensants on été tout contents quand des imams sont venus installer leurs fonds de commerce à propagande dans les "quartiers", avec ces beaux slogans: "la religion au service de la cité", "la religion pour stopper la délinquence". Vous allez voir ce que vous allez voir, les religieux vont vous ramener tout ce beau monde dans le droit chemin. Aujourd'hui, on voit que cette débauche de bons et beaux sentiments a porté ses fruits et que le travail a été rondement mené. Les barres HLM abritent des Merah par centaines, peut-être par milliers, on y trouve plus d'armes que dans un pays en guerre et plus de drogue qu'en Colombie. Nos bien-pensants font semblant de ne rien voir, même quand des Pompiers sont attirés dans des guet-apens, juste pour que ces braves jeunes désoeuvrés puissent passer un bon moment. Et comble de bêtise et de lâcheté, quand arrive un drame, et il en arrive de plus en plus souvent, on invite Dalil Boubeker sur les plateaux télé pour nous expliquer, à nous pauvres idiots qui n'avons rien compris à la religion de paix, d'amour et de tolérance, qu'il n'y a surtout pas à faire d'amalgame? Donnez-nous d'abord les garanties qui nous permettraient de lever le doute à votre sujet et donc de ne plus jamais parler d'amalgame!
Oui, Dalil Boubeker n'est qu'un djihadiste cravaté. Il ne fait pas partie de ces djihadistes qui se teignent la barbichette au henné à l'exemple du "prophète" mais c'est un djihadiste. Tout comme l'était aussi son père, Hamza Boubekeur qui, déjà dans les années 1960, disait que sa mission en France était d'abord de convertir, encore convertir. Mais comme Dalil a une belle cravate et qu'il a un beau verbe, il est présentable et fréquentable! Il a moins d'éloquence que ses frères de djihad Hani et Tariq Ramadan ou Malek Chebel, mais sa cravate passe bien à l'écran. Une cravate et un sourire pour bien cacher la taqiya. Seulement, beaucoup ont découvert la supercherie et du coup, on en arrive à soupçonner même ceux d'entre eux, comme l'imam Chalghoumi, qui semblent sincères et qui ont fait leur mea-culpa. C'est vrai que Chalgoumi est un cas à part et je crois bien unique! Il résume tout le problème de la crédibilité de l'islam: en ayant tenu des discours de paix et de tolérance, en ayant parlé de la Shoah et en voulant rechercher un vrai dialogue avec les juifs et avec Israël, il est devenu paria de l'islam. Même ses ouailles disent de lui qu'il est trop "politique" et, du coup, il vit sous la menace de mort de ses coreligionaires.

On est donc arrivé à cette situation où les hommes politiques et les journalistes nous rejouent cette scène de "Rhinicéros" d'Eugène Ionesco, dans laquelle les personnages ne se préoccupent pas de savoir pourquoi un animal de cette taille se ballade librement dans leur petite ville. Ce qui les interesse, c'est de savoir si c'est un rhinocéros d'Afrique ou d'Asie, si c'est un rhinocéros à deux cornes ou un rhinocéros unicorne. C'est de savoir si c'est un "islamiste modéré" ou un "musulman extrémiste" !!! Visionnaire Ionesco, qui a écrit cette pièce face à la montée du nazisme mais qu'on transpose aisément à l'islam, tant les deux idéologies se ressemblent.

Il a fallu attendre l'année 2008 et un article du "Washington Post" pour que les médias français daignent lever bien timidement un des tabous qui musèlent la parole des Français: la surreprésentation des musulmans dans les prisons.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/04/29/en-france-les-detenus-musulmans-sont-surrepresentes-selon-le-washington-post_1039616_3224.html

Depuis, la situation n'a pas été en s'améliorant, bien au contraire. Les faits sont devenus tellements évidents et répétitifs qu'ils ne peuvent plus être cachés ou niés: la prison est le creuset de ce qu'on continue d'appeler "l'islamisme radical". Notez bien que la population carcérale musulmane est composée "d'islamistes radicaux". Jamais de musulmans ordinaires. Ces gens, de bons pacifistes et de parfaits altruistes, sont bien incapables d'actes malveillants, incapables de faire du mal à une mouche. Sauf bien sûr au moment de l'Aïd el-Kébir. 
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/08/01016-20121008ARTFIG00689-la-prison-creuset-de-l-islamisme-radical.php

Délinquence et islam sont devenus synonymes au point qu'on soit ainsi logiquement arrivé à cette situation: une très grande majorité des personnes recherchées, auteurs présumés, porte des prénoms musulmans.
http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/personnes1.asp?T=R

Et on en trouvera encore, de ces bien-pensants moralisateurs, pour nous dire qu'il ne faut pas chercher de liens de cette nature, que ce n'est pas bien monsieur le raciste! Que certaines vérités ne sont pas bonne à dire. Même si je n'évoque jamais le mot race, même si je n'y fais nullement allusion, nulle part, je suis raciste, juste parce que j'ai l'insolence et l'audace de critiquer cette belle religion d'amour, de tolérance et de paix.

Le résultat de ces décennies où l'Etat n'a pas du tout fait son travail, et dans tous les domaines, il est là, aujourd'hui. Tous ces voyous dangereux, dégénérés et abrutis par l'islam, se croient investis d'une mission divine: conquérir l'Occident. Ils pensent d'ailleurs bientôt y arriver, bientôt instaurer leur charia. C'est pour cette raison qu'ils sortent de leurs trous et se dévoilent, en multipliant les esbrouffes, les outrances, les agressions antisémites et antiblancs.
http://www.youtube.com/watch?v=aNtQjHbgrBw
(Entre 1:32 et 1:36: "Hé, tranquille, cousin, on est dix million, en France, ça y est. On est dix millions, dans vingt ans on sera 30 millions, ça y est."  Très révélateur).


Ils sont finalement très naïfs, de croire à une victoire aussi facile, de penser qu'ils sont entrés dans le Dar el-Harb, la Maison de la Guerre, et que bientôt l'Europe se transformera en Dar el-Islam. Très grossière erreur, tout ne fait que commencer !

dimanche 7 octobre 2012

La République française et le défi de l’Islam.

Quand nos politicards comprendront-ils enfin cette évidence pourtant bien simple:

"Deux volontés se heurtent pour l’instant de manière plus ou moins feutrée :
   - celle de l’Etat qui veut réaliser, malgré les institutions officielles (le CFCM et par delà les frontières la puissante Organisation de la Conférence Islamique, l’OCI) un Islam de France,
   - et celle de l’Islam mondial qui vise l’objectif inverse à savoir faire de la France une terre de l’Islam".
Ajouté à celà la volonté d'une communauté à se replier sur elle-même, à constituer un groupe, des personnes qui ne se définissent pas comme faisant partie du pays, malgré leurs papiers d'identités qui semblent indiquer le contraire.
Comme le rappelle l'article, "nul ne peut se prévaloir de sa qualité particulière pour obtenir des droits dérogatoires". Alors, pourquoi a-t-on accépté (pas moi, mais l'Etat dont c'est le rôle) la constitution d'un commnautarisme qui se définit en priorité par sa religion et non par l'appartenance au sol qui l'a vu naître? Cet Etat, a-t-il pensé aussi comment cette communauté se comportera vis-à-vis de la France? Est-on certains que quelques-uns (ou la majorité?) ne seraient pas tentés de retourner les armes contre leur "pays"? La Oumma passe avant toute autre considération ...

Ajouté à celà le silence assourdissant des membres de cette communauté, que ce soit à titre individuel ou collectif, lorsque des événements graves se produisent à répétitions sur tout le territoire. Ou alors, quand cette communauté réagit, c'est pour nous dire mollement qu'elle a peur qu'on fasse des amalgames.

Ajouté à celà la "bienveillance" de l'Etat qui, au lieu de faire son travail, nous dit à travers les discours d'un de ses plus hauts représentants, la Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, qu'il ne faut pas stigmatiser cette communauté, la pauvre, déjà repliée sur elle-même. Mais le repli, c'est elle qui l'a voulu ! Bienveillance également sur les questions fallacieuses, sans importance, comme l'esclavage de leurs ancêtres correligionaires, dont il ne faut surtout pas parler dans les écoles, ni sur le peuplement un peu trop voyant des prisons par des individus de cette communauté, peuplement qu'il convient de corriger à la baisse et par tous les moyens. Y compris en laissant courir les malfaiteurs. Manière de falsifier l'Histoire, comme au bon vieux temps du stalinisme où les retouchent des photos officielles étaient devenues une grande spécialité.
E t a propos des prisons, s'est-on posé la question de connaître les discours servis dans les aumôneries?  Ceux des mosquées aussi? Les discours des imams, dans les mosquées ou simples salles de prières respectent-ils tous et partout les valeurs de la République?

Alors qu'on attendait de cet Etat des actes forts pour mettre au pied du mur les représentants de cette communauté et leur poser les vraies questions, comme le rappelle en conclusion l'article de ce journaliste lucide, et surtout exiger d'eux des vraies réponses, nettes, sans ambiguïté.

L'article:

La République française et le défi de l’Islam.

Par Sidney Touati pour Guysen International News - Vendredi 5 octobre 2012 à 12:41
http://www.guysen.com/articles.php?id=18463&art_mail=1




Le 27 septembre 2012 à Strasbourg, le Ministre de l’Intérieur, Monsieur Emmanuel VALLS présidait, sur fond de tensions violentes induites par la diffusion sur le net d’un film sur Mahomet, l’inauguration de la plus grande mosquée de France.
Les images de cette cérémonie montrent un Ministre tendu, presqu’en colère, saluant l’Islam « modéré »  et appelant l’auditoire à applaudir lorsqu’il dénonce les salafistes et autres fanatiques musulmans.
Lorsque l’on sait que le Premier Ministre, le Maire de la ville, se sont dérobés, on aurait envie de dire, parodiant Molière, « Que diable allait-il faire dans cette galère ! »
 
En réalité, la quasi-colère du Ministre est le signe d’un profond malaise.
Malaise  de la République française face au défit d’un Islam qu’elle peine à contrôler.
Dans les propos du Ministre on pouvait entendre les échos lointains d’un rêve impossible, celui d’un Islam banalisé, présenté comme une religion  parmi d’autres.
 
Or, la République a réservé un traitement particulier à cette religion.
 
Monsieur Emmanuel VALLS n’avait pas l’attitude d’un Ministre triomphant. Mais bien plutôt celle d’un représentant d’une République rongée par le doute, d’une nation en proie à  la peur.
Une République qui au plus haut niveau de l’Etat, a refusé l’épreuve par laquelle passait nécessairement l’intégration de l’Islam.
Le baptême qui pouvait en faire «  l’Islam de France » n’a pas eu lieu.
 
La République française possède une particularité : la citoyenneté de l’Etat et la nationalité coïncident.
Cette citoyenneté passe par l’adoption de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, socle des valeurs fondamentales de la République.
 
En France, depuis la Révolution de 1789, la citoyenneté passe par la mise en œuvre et la reconnaissance par chacun, de cet universel « abstrait » que sont les « droits de l’homme ».
Nul ne peut se prévaloir de sa qualité particulière (Breton, Auvergnat…) pour obtenir des droits dérogatoires.
La France n’est pas une somme de « nations », de communautés, une fédération de Provinces comme le sont certains Etats, mais une somme d’individus libres et égaux.
 
La République française s’est construite en imposant à toute les populations occupant le territoire national, « pays », « régions », les mêmes règles, la même langue, les mêmes normes et ce dans tous les domaines.
Après la rude mise au pas des Provinces et des Régions, pour achever la construction de cet édifice, il fallait contraindre les religions et leurs appareils à faire allégeance à la République.
C’est ce que fera Napoléon avec les Juifs notamment.
Il convoque le Grand Sanhédrin et pose aux soixante dix sages la question :
A quelles conditions accepteriez vous d’entrer dans la nation française ?
La condition, c’est Napoléon qui l’a pose : à condition de quitter la nation Juive.
Les sages juifs ont accepté, ont répondu positivement. Les juifs ont accompli une véritable révolution. Ils se sont intégrés, assimilés à la nation française. Part delà les particularismes « privés » de chacun, la République s’affirmait comme Une et Indivisible.
Une discrimination aux effets pervers.
Cette question clé, il fallait la poser  aux représentants de l’Islam. Il fallait leur demander explicitement : accepteriez-vous d’entrer dans la nation française ? A une condition : quitter la nation musulmane, la Oumma ?
Pour poser une telle question, il fallait au préalable mettre en place un organisme représentant l’ensemble des musulmans de France.
Initié par Jean-Pierre Chevènement, poursuivi par Daniel VAILLANT, tous deux Ministres socialistes, c’est finalement   Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l’Intérieur,  qui créa le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM).
Le vide institutionnel étant comblé, l’Islam devait être traité comme les autres religions.
Or, il n’en fut rien.
La question fondamentale  que Napoléon avait posée aux représentants des Juifs de France ne fut tout simplement pas  posée aux musulmans.
La République tétanisée demeura et demeure muette sur la question fondamentale du renoncement des musulmans à leur nation, à l’Oumma.
Ce silence, signe d’un échec ou d’un refus d’affronter la réalité,  inaugure officiellement l’ère d’un conflit larvé qui pourrait devenir irréductible entre la France et l’Islam. Deux Nations particulières se font face, deux rapports à l’universel s’affrontent : celui des droits de l’homme et celui de la loi islamique.
Au cœur de ce conflit : le statut de la femme.   
Un silence lourd de conséquences.
En raison de cette dérobade de l’Etat, la citoyenneté qui  a été octroyée aux musulmans est une citoyenneté fragilisée, partagée entre une « citoyenneté d’état », et une citoyenneté communautaire.
Les musulmans ayant conservé leur statut de « nation » demeurent ainsi en réalité partiellement  en dehors de la République.
 
Deux volontés se heurtent pour l’instant de manière plus ou moins feutrée : celle de l’Etat qui veut réaliser, malgré les institutions officielles (le CFCM et par delà les frontières la puissante Organisation de la Conférence Islamique, l’OCI) un Islam de France, et celle de l’Islam mondial qui vise l’objectif inverse à savoir faire de la France une terre de l’Islam.
 
Entre les mâchoires de cet étau, les populations prises en otages ne sachant à quel saint se vouer : ceux qui font allégeance à l’Oumma et à ses valeurs, sont désignés par les autorités non comme de « mauvais » citoyens mais comme des fanatiques musulmans, comme mauvais musulmans ; ceux qui à l’inverse font allégeance à la République et ses valeurs sont désignés par cette dernière non comme de « bons citoyens » mais comme de bons musulmans.
On le voit, dans les deux cas de figure, la citoyenneté est fragilisée par  la relation à l’Islam qui reste fondamentale et première.
 
Conséquences : chaque musulman est tenu en permanence de faire la preuve de son  attachement à la République et à ses valeurs.
C’est ainsi que tout crime commis par les islamistes jette une ombre sur l’ensemble et  donne lieu à ces étranges et rituelles professions de foi des représentants des « bons musulmans » appelés à donner des gages de leur attachement à la nation.

 La dérobade des autorités de la nation sonne comme l’expression de l’échec définitif de l’intégration de l’Islam dans l’espace de la République française.
« L’Islam de France »(1) demeure une formule incantatoire destinée à combler un vide, à masquer un double refus, celui de la République et celui des autorités religieuses (CFCM et OCI) qui se font face dans une relation qui les pose comme radicalement étrangère l’une à l’autre.
 
 L’échec de l’intégration est imputable à un déficit républicain.
On aurait envie de rappeler à nos plus hauts responsables  la phrase prononcée par Sade : « Français, encore un effort pour devenir républicain ! »
Il n’est peut être pas trop tard pour poser au CFCM la question clé, celle que posa jadis Napoléon aux représentants des juifs de France,  sans laquelle l’intégration de l’islam dans l’espace de la République demeurera problématique et source de tensions.  
                                                                                                                                            

(1) En réalité, cette expression n’a pas de sens. Est-ce que l’on parle d’un « christianisme de France » ou d’un « judaïsme de France » ? Qu’est-ce donc que cet Islam de France ? Une nouvelle branche de l’Islam qui viendrait s’ajouter aux douze courants existant déjà ? Un nouvel Islam ? Un islam « réformé » ?  

 

Mahomet, le beau modèle ?

Mahomet, le beau modèle ?

ou
Le Coran,
Selon l’ordre chronologique de la descente, annoté par un chrétien.


Par Michel Roumila.

Le Coran tel qu’il nous est présenté par la tradition musulmane, classé de 1 à 114 sourates, n’est pas l’ordre chronologique de la « révélation » au Prophète de l’Islam. Ce classement traditionnel, adopté des années après la mort de Mûhammad, ne peut donc nous présenter le cheminement d’Allah et de son prophète.L’ordre qui suit est celui enseigné dans la plupart des écoles coraniques.
Le musulman francophone y trouvera un Coran avec les mêmes sourates que son propre Coran.
Le lecteur juif ou chrétien connaissant ses Ecritures (la Bible) y trouvera de nombreuses références, analogies ou similitudes avec la Bible, le plus souvent sous une autre formulation avec des traits du polythéisme pré-islamique .

Des musulmans soutiennent que pour comprendre le Coran, il faut au moins connaître la langue arabe : c’est une aberration intellectuelle ou une ligne de ‘défense’, voir discriminatoire.
L’expansion de l’Islam hors des frontières de l’Arabie poussa le clergé de l’islam à envisager la nécessité de traductions pour accompagner l’expansion de leur religion. Mais ils pensèrent qu’une « traduction » ne saurait prendre la place d’un original ‘inimitable’ et par surcroît ‘miraculeux’ (introuvable sauf celui rédigé par les compagnons du prophète de l’Islam et trois autres mais jamais antérieurs à 50 ans après Mûhammad et d’origines « bédouines » donc polythéistes), étant d’essence divine. Toute traduction, tardjama, ne pourrait jamais constituer autre chose qu’un commentaire, tafsîr.
Ce point de vue facilita au sein de l’islam la rédaction de multiples « commentaires » du Coran. En Turquie, vers 1920, en conséquence de la révolution, et en Égypte, en 1932, à la suite des décisions d’un maître d’Al-Azhar, le hanifite Muhammed Mustapha al-Maraghi, il fut admis qu’un musulman ignorant de l’arabe, pouvait lire le Coran dans une traduction convenable qu’il était autorisé à utiliser légitimement même pour réciter ses prières.

Ce qui est admis pour un musulman, le fut d’autant plus pour un non musulman. Maraghi s’appuyait sur un argument de fait: hors de l’Arabie, il n’était pas expédient d’exiger des Musulmans qu’ils apprennent tous l’arabe. Mais il soutenait que toute traduction, même si elle n’était pas Parole d’Allah, n’en transmettait pas moins le sens de cette Parole.
C’est ainsi que le Coran fut traduit dès les origines de l’Islam dans la plupart des langues du monde (bien moins que la Bible qui demeure le best- seller toutes catégories). Cela commença à l’époque des Califes orthodoxes, avec une traduction en persan, puis en berbère et en sindi. Ainsi, depuis les premiers siècles de l’Islam de nombreuses versions en turc, en persan, dans les langues du Pakistan, de l’Inde, de l’Asie du Sud-est virent le jour, le plus souvent accompagnées de commentaires inspirés du tafsîr (commentaires) d’Al-Tabari (923), d’Al-Razi, (1209), d’Al-Baïdawi (1291) et d’Al-Nasafi, (1310). Ceux-ci demeurent de nos jours encore les meilleurs introducteurs à une compréhension traditionnelle du Coran. Au XIXe et au XXe siècle le Coran est encore traduit dans plusieurs langues africaines et même en chinois et en Japonais.
L’Occident ne découvre l’« Alcoran » que cinq siècles après sa parution. Pierre le Vénérable né en Auvergne en 1092, fut l’Abbé de Cluny de 1122 à sa mort en 1156. Esprit curieux et énergique, ami des papes et des rois, il visite Tolède dans le deuxième quart du 12e siècle. Il est fasciné par les splendeurs qu’il découvre en même temps que terrifié par la puissance de ce rival géant de la chrétienté, l’Islam. La civilisation musulmane est alors à son apogée, notamment en Andalousie. Il décide de s’y initier en ses sources et demande à un anglais, archiprêtre de Pampelunes, Robert de Ketton (alias Robertus Retenensis ou Robert de Rétines), de traduire le Coran en latin.
L’Islam est alors en conflit contre la chrétienté qu’il menace, depuis 711, à l’ouest de la Péninsule Ibérique, et, dès 718, à l’Est de Constantinople. Plus tard, l’expansion de l’Empire ottoman exacerbe en chrétienté la polémique anti-islamique.
Ces conflits religieux et politiques ne sont pas sans laisser leurs empreintes dans l’histoire des traductions du Coran.
Mais ceci ne change pas la valeur du formidable travail des traducteurs du Coran. Des mots peuvent être traduits différemment mais ne changent en rien ‘l’esprit’ du Coran tout comme les diverses traductions de la Bible ne changent, en rien l’Esprit de Dieu.

Sans conteste, Mûhammad est l’initiateur de la religion de l’Islam dans une région superstitieuse enclin à croire n’importe quoi, c’est plus à la crédulité qu’au génie de Mûhammad, que l’Islam s’imposa.. Sans conteste, aussi, Allah était déjà vénéré dans la région depuis, au moins 1000 ans avant Jésus-Christ. Le nom d’Allah est formé de al et Ilâh, ou de l’araméen Alaha (Alilath, dieu suprême) dans le paganisme ambiant et surtout babylonien.
Allah figurait dans l’ancienne Kaaba avec plus de 300 autres idoles dont 3 déesses Allat (Al-lat), Al-Uzza et Manat dans le panthéon du nord-ouest sémitique. Certains considéraient ces 3 déesses comme les 3 filles d’Allah : c’est ce qui a amené Mûhammad à réviser la sourate 53.
Quoiqu’il en soit Allah est un nom et Dieu un titre ! ?

Le Coran ne permets pas, à lui seul, de cerner la personnalité du prophète de l’Islam : il faut mettre en parallèle sa biographie, les hadiths et la Sunna.
Il existe de nombreuses biographies de Mûhammad, notamment la biographie officielle musulmane (Sirat).
Voici un extrait du livre « l’Islam des interdits » (de Anne Marie Delcambre, conférencière-islamologue et professeur d’arabe au lycée Louis-le-Grand à Paris)

« Mahomet, le beau modèle ?

Il est surprenant de constater la différence qui existe entre l'image négative du prophète Mahomet chez les non-musulmans et l'image plus que positive du même prophète chez les fidèles de l'Islam. Saint Jean Damascène, célèbre théologien syrien du VIIIe siècle, considère Mahomet comme un faux prophète : « II alla disant qu'une Ecriture lui était tombée du ciel. »

Si Mahomet, en Occident chrétien, est qualifié de fourbe, barbare, démoniaque, pillard, sanguinaire, stupide, bestial, arrogant, c'est certes à cause de ses très nombreux mariages (et concubinages) mais aussi en raison de ses expéditions militaires où il a été amené à verser le sang, à s'attribuer des captives de guerre, à partager le butin.

Martine Gozian, dans son livre sur l'islamisme (Martine Gozian, Pour comprendre l'intégrisme islamiste, Albin Michel, « Espaces libres », 1995.), ne craint pas de dire qu'il y a deux Mahomet.
Un Mahomet fasciné par l'exemple de Jésus, attiré par la prière, sensible à la tendresse et à la douceur, et un Mahomet, celui de Médine, qui va se montrer parfois rancunier, cruel, conquérant : « Aucune grille d'explication de l'Islam ne peut passer sous silence cette dualité. » Le prophète aux deux visages. Or les musulmans honorent particulièrement le Mahomet de Médine. D'après un hadîth : « L'Islam est attaché à Médine comme le serpent à son trou. » II est vrai aussi que c'est bien à Médine que le culte musulman s'organise. C'est là surtout que Mahomet apparaît comme une figure politique et militaire triomphante.
Toute la construction de l'Islam politique, avec le califat, toute l'organisation juridique et pratique de la communauté dans les différents aspects de la vie quotidienne, prennent comme modèle la période de Médine entre 622 et 632. Si certains musulmans s'autorisent à « liquider » les impies, c'est que non seulement le Coran a des versets extrêmement durs pour les ennemis d'Allah, mais le Prophète lui-même a montré l'exemple en incitant parfois ses partisans à commettre des assassinats pour le bien de la communauté.

La biographie de Mahomet d'Ibn Ishâq relate nombre d'épisodes où l'on constate, que la sensiblerie n'était pas de mise quand il s'agissait de lutter contre les ennemis de l'Islam. Le meurtre politique est considéré comme une campagne militaire. Ces premières biographies du Prophète, celle d'Ibn Ishâq ou d'Ibn Hicham, ne se sentaient nullement gênées de rapporter les épisodes où le Prophète avait fait couler le sang. Mais les biographies « islamiques » modernes, ceci depuis 1950 avec des Egyptiens comme Haykai, 'Aqqad, sont conscientes du regard occidental, les biographes étant eux-mêmes des intellectuels musulmans occidentalisés.Alors ces derniers cherchent à justifier le comportement politique du Prophète, reprenant à chaque fois le jugement de Lamartine qui place Mahomet au-dessus des grands hommes de l'humanité. Même des biographes musulmans qui écrivent au XXIe siècle, comme le Libanais Salah Stétié, se sentent encore obligés de présenter une biographie acceptable pour un regard occidental, en gommant ou en atténuant les assassinats politiques ordonnés ou du moins encouragés par leur prophète !

Mahomet se heurte, dans l'inconscient collectif non musulman, à Jésus, chaste et non violent. L'imaginaire occidental est dans l'impossibilité d'associer la spiritualité à des images de violence, de vengeance, de sensualité. Un prophète qui avoue aimer par-dessus tout les femmes , les parfums et les chevaux qui laisse opérer des massacres - même s'il aime aussi beaucoup la prière - a peu de chance d'emporter l'adhésion d'une mentalité façonnée par des siècles de tradition évangélique. L'exemple d'un Mahatma Gandhi ou celui d'un Dalaï Lama sont valorisés par l'Occident parce qu'ils incarnent une spiritualité universelle qui privilégie la non-violence et la compassion. Mahomet aura toujours beaucoup de mal à être considéré par les non-musulmans comme un authentique homme de Dieu. »


Une édition égyptienne du Coran publiée en 1923 propose l’ordre chronologique que voici (les versets entre parenthèses sont censés appartenir à une époque différente):
96, 68 (17-33, 48-50, Médine) 73 (10-1, 20, Médine), 74, 1, 111, 81, 87, 92, 89, 93, 94, 103, 100, 108, 102,107, 109, 105, 113, 114, 112, 53, 80, 97, 91, 85, 106, 101, 75, 104, 77 (48, Médine), 50 (38, Médine), 90, 86, 54 (54-6, Médine), 38, 7 (163-70, Médine), 72, 36 (45, Médine), 25 (68-70, Médine), 35, 19 (58, 71, Médine), 20 (130-1, Médine), 56 (71-2, Médine), 26 (197, 224-7, Médine), 27, 28 (52-5, Médine; 85, pendant l’Hégire), 17 (26, 32-3, 57, 73-80, Médine), 10 (40, 94-6, Médine), 11 (12, 17, 114, Médine), 12 (1-3, 7, Médine) 15, 6 (20, 23, 91, 114, 141, 151-3, Médine), 37, 31 (27-9, Médine), 34 (6, Médine), 39 (52-4 Médine), 40 (56-7, Médine), 41, 42 (23-5, 27, Médine), 43 (54, Médine), 44, 45 (14, Médine), 46 (10, 15, 35, Médine), 51, 88, 18 (28, 83-101, Médine), 16 (126-8, Médine), 71, 14 (28-9, Médine), 21, 23, 32 (16-20, Médine), 52, 67, 70, 78, 79, 82, 84, 30 (17, Médine) 29 (1-11 Médine), 83 - Hégire - 2 (281, plus tard), 8 (30-6, la Mecque), 3, 33, 60, 4, 99, 57, 47 (13, pendant l’Hégire), 13, 55, 76, 65, 98, 59, 24, 22, 63, 58, 49, 66, 64, 61, 62, 48, 5, 9 (128-9, la Mecque), 110.

R. Blachère, reprenant les recherches de G. Weil, de Th. Nöldeke, de F. Schwally ainsi que des savants du Caire a publié dès 1949, avec des révisions ultérieures, un Coran où les Sourates sont classées dans l’ordre suivant . C’est cet ordre qui est suivi par de nombreuses écoles coraniques :
Premier groupe de Sourates révélées à la Mecque:
96, (versets 1-5) - 74, (versets 1-7) - 106 - 93 - 94 - 103 - 91 - 107 - 86 - 95 - 99 - 101 - 100 - 92 - 82 - 87 - 80 - 81 - 84 - 79 - 88 - 52 - 56 - 69 - 77 - 78 - 75 - 55 -
97 - 53 - 102 - 96, (versets 6-19) - 70 - 73 - 76 - 83 - 74 (versets 8-55) - 111 - 108 - 104 - 90 - 105 - 89 - 85 - 112 - 109 - 1 - 113 - 114.

La deuxième et la troisième période de l’apostolat de Muhammad comprendraient les Sourates suivantes:
51 - 54 - 68 - 37 - 71 - 44 - 50 - 20 - 26 - 15 - 19 - 38 - 36 - 43 - 73 - 67 - 23 - 21 - 25 - 27 - 18 - 32 - 41 - 45 - 17 - 16 - 30 - 11 - 14 - 12 - 40 - 28 - 39 - 29 - 31 - 42 - 10 - 34 - 35 - 7 - 46 - 6 –
Ces trois premiers groupes auraient été révélés à la Mecque de 610 à 622.

Dans un quatrième groupe révélé de 622 à 632 à Médine, les Sourates sont les suivantes:
2 - 98 - 64 - 62 - 8 - 47 - 3 - 61 - 57 - 4 - 65 - 59 - 33 - 63 - 24 - 58 - 22 - 48 - 66 - 60 - 110 - 49 - 9 - 5.
Ce texte coranique est issu de la traduction française du Coran par feu le Professeur Mouhammad Hamidullah. ( décédé en 2000 en Floride (USA) à l’âge de 95 ans et le premier musulman à avoir traduit le Coran en Français ).
Ce que, personnellement, j’apprécie, c’est que le Professeur Mouhammad Hamidullah (comme quelques autres) ne remplace jamais Allah par Dieu : certainement par souci d’honnêteté intellectuelle.
Suivant, la tradition juive, le NOM ne devait pas être pris en vain. Quelques soient les explications des exégètes le NOM IHVH est intraduisible et imprononçable : Adonaï Elohim (dans son sens, qui est pluriel, est identique à la Tri-Unité dés les premiers versets de la Bible).
Le titre de Dieu (que les juifs d’aujourd’hui écrivent D.), est issu du panthéon gréco-romain : Zeus.
Bien évidemment, juifs et chrétiens et même musulmans ne pensent pas à Zeus lorsqu’il prient Dieu ou Allah. ( des chrétiens orientaux prononcent Allah car ils n’ont pas de correspondance vocable).

Il ne faut rien retrancher ni ajouter à la Bible : à l’évidence l’Islam est passé outre !
Le Coran est un « appel ». En fait c’est un rappel, terme qui revient souvent dans le Coran. Un rappel de ce qui existait avant l’Islam : la Thora et l’Evangile, mais formulé tout autrement avec une ‘pointe’ du polythéisme ambiant.
Beaucoup est emprunté à la Thora avec de nombreuses redites concernant des portions de récits sur Noé, Moïse, Abraham, Joseph, Jonas …
Ce qui est beaucoup plus grave c’est que le Coran ne reconnaît pas la Divinité de Jésus (bien que le Coran reconnaît sa naissance divine) et le rabaisse à un simple prophète inférieur à Muhammad : le Coran ne cite aucune parole de Jésus. C’est une des nombreuses contradictions avec l’Injil si l’on considère que le Coran aurait été transmit, de la part d’Allah, par l’Ange Gabriel (que le Coran considère comme l’Esprit de Dieu) : c’est pourquoi le Coran semble ignorer le plan du Salut de Dieu alors qu’il parle de péchés véniels et péché Capital (sourate 18.49 et suivants) ?
Voici donc le Coran selon l’ordre de la « descente » : à cette lecture vous ne manquerez pas de discerner qu’au début, Muhammad est peu volubile et ne fait que répéter ce que tout chrétien sait déjà.
Au début, Muhammad cherchant à s’allier juifs et chrétiens à sa prédication, est conciliant à leur égard. Par la suite, par dépit d’avoir leurs consentements, sa violence se révèle, allant, à sa mort dans les bras d’Aïcha jusqu’à maudire les juifs (propos rapporté dans le Hadith).

La suite pour ceux qui veulent s'instruire sur le coran:
http://v.i.v.free.fr/pvkto/coran-vu-par-un-chretien.pdf

vendredi 5 octobre 2012

Place de la femme dans l'islam



Après "Statut (peu enviable) de la femme en islam ( http://apostat-kabyle.blogspot.fr/2012/09/statut-peu-enviable-de-la-femme-en-islam.html ), je récidive et je propose "Place de la femme dans l'islam":



1 ) Le coran (traduction de Hamidullah)

L'homme est un directeur pour la femme, il lui est intellectuellement supérieur, par volonté d'allah:
- 2.228: "[...] Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles. Et Allah est Puissant et Sage".
- 4.34: "Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand!"

Le femmes ne sont rien d'autre qu'un réceptacle qui doit être maintenu à la disposition du mari, mari qui peut en disposer comme il l'entend. Le mari maintient sa (ses) femme(s) sous sa domination comme on possède un champ:
- 2.223: "Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et oeuvrez pour vous-mêmes à l'avance. Craignez Allah et sachez que vous le rencontrerez. Et fais gracieuses annonces aux croyants"!

Pour le témoignage, celui d'un homme vaut celui de 2 femmes:
- 2.282: "[...] Faites-en témoigner par deux témoins d'entre vos hommes; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d'entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l'une d'elles s'égare, l'autre puisse lui rappeler [...]".

Le coran a légalisé la polygamie, il a limité le nombre d'épouses à 4. Il a aussi légalisé l'esclavage, sans fixer de limites. :
4.3: "Et si vous craignez de n'être pas justes envers les orphelins... Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d'injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille)".

On vient de le voir, si l'homme ne veut pas s'encombrer avec des épouses, il peut prendre autant d'esclave qu'il souhaite. Dans ce cas, il n'est pas tenu au mariage, il suffit de leur verser leur mahr (salaire):
- 4.24: "Et parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété . Prescription d'Allah sur vous! A part cela, il vous est permis de les rechercher, en vous servant de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. Puis, de même que vous jouissez d'elles, donnez-leur leur mahr, comme une chose due. Il n'y a aucun péché contre vous à ce que vous concluez un accord quelconque entre vous après la fixation du mahr. Car Allah est, certes, Omniscient et Sage".
- 33.52: "Il ne t'est plus permis désormais de prendre [d'autres] femmes. ni de changer d'épouses, même si leur beauté te plaît; - à l'exception des esclaves que tu possèdes. Et Allah observe toute chose".

L'homme a le devoir de donner son mahr (salaire) à ses épouses, de la même manière qu'il le donne à ses esclaves (à remarquer que le coran permet le mariage d'un homme avec ses cousines):
- 33.50. "Ô prophète! Nous t'avons rendue licites tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu'Allah t'a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, - celles qui avaient émigré en ta compagnie, - ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au prophète, pourvu que le prophète consente à se marier avec elle : c'est là un privilège pour toi, à l'exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu'ils possèdent, afin qu'il n'eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux"

Pour l'héritage, la part de l'homme est double de celle dela femme:
- 4.11: "Voici ce qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S'il n'y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s'il n'y en a qu'une, à elle alors la moitié".
- 4.176: "[...] Mais s'il a deux soeurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu'il laisse; et s'il a des frères et des soeurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux soeurs [...]".

Il est permis à l'homme d'épouser sa bru après l'avoir fait divorcer de son fils adoptif:
- 33.37. "Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé : "Garde pou toi ton épouse et crains Allah", et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté".

La femme doit se soustraire au regard des hommes pour ne pas éveiller en eux des envies inconsidérées, elle se doit de garder sa chasteté et se faire discrète:
- 24.31: "Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs soeurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu'elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l'on sache ce qu'elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, Ô croyants, afin que vous récoltiez le succès".
- 33. 59: "Ô Prophète! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux".


Musulmane Ordinaire: "Le voile n'est pas contagieux". 


2) Les hadiths sur les femmes (une sélection, il y en a des centaines):

- D'après Sahl ibn Sad Saidi, le prophète a dit: "s’il y a un signe maléfique quelque part, c’est dans la femme, le cheval ou la maD'aprèsison." (al-Bukhari LII 111).

- D'après Abdallah ibn Zamra, le prophète a dit: "aucun d’entre vous ne devra fouetter sa femme comme il fouette un esclave et ensuite avoir des rapports sexuels avec elle dans le reste de la journée." (al-Bukhari LXII 132) [double peine!!!].

- D'après Imran ibn Husein, le prophète a dit: "j’ai regardé le paradis et j’ai trouvé que les pauvres gens formaient la majorité des habitants; j’ai regardé en enfer et j’ai vu que la majorité des habitants étaient des femmes." (al-Bukhari LIV 464).

- D'après Imran ibn Husein, le prophète a dit: "parmi les habitants du paradis, les femmes formeront une minorité." (Muslim, n° 6600).

- D'après Abu Musa, le prophète a dit: nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Assia, femme de Pharaon, et Marie, fille d’Imran. Et sans aucun doute, la supériorité de Aïcha sur les autres femmes est comparable à celle du tharid (un plat composé de viande et de pain) sur les autres plats cuisinés." (al-Bukhari LV 623).

- D'après d’Abu Bakr, le prophète a dit: "une nation qui se donne comme chef une femme ne connaîtra jamais la réussite." (al-Bukhari LXXXVIII 219).

Conséquence, les Arabes laissent à l'humanité ce beau proverbe: le paradis d'une femme se trouve en dessous des pieds de son mari. Repris en choeur et adopté par les musulmans.

La lapidation tant décriée n'est pas inscrite dans le coran mais de nombreux hadiths incitent à la pratiquer. Même si les hadiths insistent plus sur la lapidation des femmes adultères, elles ne sont pas les seules victimes puisque les hommes sont aussi soumis à la même peine. Selon ibn Abbas, "la femme qui apparaît perverse par sa tenue, son comportement ou son état ne doit pas être lapidée qu'en présence des preuves évidentes: soit le témoignage de quatre hommes qui ont vu l'acte soit l'aveu et le témoignage contre soi-même quatre fois. Il n'est pas permis de lapider en se basant sur des doutes ou des indications indirectes. Ainsi, la juste accusation de l'homme contre sa femme même s'il témoigne quatre fois qu'il l'a vue avec un homme, et la mise au monde d'un garçon qui ne ressemble pas au mari, ne constituent pas une preuve valable pour rendre un jugement de lapidation."  Restons sérieux SVP.
De nos jours, ces pratiques subsistent en Arabie Saoudite et dans les Emirats (avis à cette nouvelle vague de touristes à la recherche d'exotisme), au Yémen, en Afghanistan, au Pakistan, en Iran, au Soudan et au Nigéria.



3) Les femmes victimes des razzias


Les pillards musulmans ne s'embarassent pas de morale quant à considérer les femmes comme des butins de guerre tout aussi monnayables que moutons et chameaux. Mahomet avait l'habitude de pratiquer toutes les formes de crimes sexuels connus, c'est donc naturellement qu'il s'est absout et a absous ses compagnons de ces crimes. Le principe du viol étant d'office acquis pour les musulmans, il fallait s’interroger sur ses conséquences: la valeur marchande de ces femmes au marché aux esclaves s'en trouve diminuée en cas de grossesse. Les mahométans en sont ainsi arrivés à se poser la question du coït interrompu pour éviter de les engrosser:
"J’entrai dans la mosquée et y vis Abu Sayd. Je m’assis à côté de lui et je l’interrogeai au sujet du retrait de la verge avant l’éjaculation. Il me répondit en ce termes: "Nous étions partis avec l’envoyé d'Allah pour l’expédition des Banu Mustaliq et avions pris des captives arabes. Nous désirions jouir des femmes, car le célibat nous pesait beaucoup. Mais nous voulions nous retirer avant l'éjaculation. Toutefois l'envoyé d'Allah étant avec nous, nous nous dîmes qu'il fallait le consulter avant d'agir ainsi. Nous le consultâmes donc et il nous répondit: Il n'y a aucun mal pour vous à agir ainsi, car, jusqu'au jour de la Résurrection, aucun être n'existera sans que Allah ait décidé son existence." (al-Bukhari, 64/32, 1/2, mentionné aussi par Muslim et Abu Dawoud).

Lors d'une autre razzia, contre le peuple de Mina, Mahomet se montre pour une fois un peu "humain" en décidant de ne pas séparer les enfants de leurs mères:
"Zayd était accompagné par Doumayra, un client d’Ali, et un de ses frères. Ils firent plusieurs prisonniers dans le peuple de Mina, qui est sur le rivage. Ils furent vendus comme esclaves et les familles furent séparées. Le prophète arriva en entendant les pleurs et demanda leur cause. Quand on lui dit, il ordonna: «Vendez-les seulement par lots!» Cela voulait dire: les mères avec les enfants. (récit d'ibn Hisham, " Conduite de l'envoyé d'Allah" n° 914 - p. 791).

Mais les habitudes reprennent vite le dessus. Lors d'une autre razzia, contre les Banu Fazara , dirigés par une vieille femme nommée Oum Qirfa (voir aussi ci-dessous), une femme passe de mains en mains, ce qui était une pratique très courante avec les prisonnières: (*)
- D'après Salama bin al-Akwa: "Nous combattions contre les Fazara et Abu Bakr était notre chef. Il avait été choisi par le prophète. Abu Bakr nous ordonna d’attaquer et nous avons attaqué leur point d’eau [...]. J’ai vu un groupe de personnes composé de femmes et d’enfants, je les ai emmenés. Parmi eux, il y avait une vieille femme et sa fille, qui était une des plus belles d’Arabie. Je les ai conduits jusqu’à Abu Bakr qui me donna la fille comme récompense. C’est alors que nous sommes rentrés à Médine. Je ne l’avais pas encore deshabillée quand le messager d’Allah me rencontra dans la rue et dit:
Ô Salama, donne-moi cette fille! Elle me plait.
Je dis: Messager d’Allah, elle me plait aussi. Je ne l’ai pas encore deshabillée!
Le lendemain, le messager d’Allah me vit dans la rue: -Ô Salama, donne moi cette fillle! Allah bénisse ton père.
J’ai dit: Elle est pour toi, je ne l’ai pas encore deshabillée." (Muslim n° 4345).





4) Le récit de l'assassinat de Oum Qirfa, par Muhammad ibn Sa'd ibn Mani' al-Baghdadi.

La version de cet assassinat est contestée par les musulmans, il est donc important de se fier à leurs sources et réfuter tout écrit des "islamophobes". Les récits de cet historien, écrivain et biographe sont considérés comme fiables et précis. Dans son célèbre ouvrage "Kitab Tabaqat al-Kubra", il nous donne sa version de la razzia contre les Banu Fazara et la manière dont a été mise à mort la chef de cette tribu. Récit dans lequel on retrouve les pratiques d'échangismes habituelles chez les musulmans, sortes de "tournantes" avant l'invention des caves de HLM:
"Zayd ibn Haritha partit pour faire du commerce avec la Syrie. Il avait avec lui des biens appartenant aux compagnons du prophète. Alors qu’il était près de Wadi al Qura, des hommes des Fazara, un groupe des Banu Badr, les affronta, les maltraita et leur vola leurs biens. Zayd se remit de ses blessures, puis revint auprès de l’apôtre d'Allah et l’informa à ce propos. L’apôtre d'Allah le renvoya contre eux. Ils se cachaient le jour et se déplaçaient la nuit. Les Banu Badr se sont rendus compte de leurs mouvements. Un matin, Zayd et ses compagnons firent leur takbir, les cernèrent et capturèrent Umm Qirfah, dont le nom était Fatima bint Rabia ibn Badr, et sa fille al Jariya bint Malik ibn Hudahyada ibn Badr. Celui qui a capturé al Jariyah était Maslama ibn al Akwa. Il l’offrit à l’apôtre d'Allah. Ensuite, l’apôtre d'Allah l’offrit à Hazn ibn Abu Wahb. Qays ibn al Muhassir s’occupa alors d’Umm Qirfa. Il l’exécuta sans pitié. Il lui attacha les jambes avec une corde et les attacha à deux chameaux. Il les fit avancer et ainsi, ils la tuèrent. Il tua aussi al Numan et Ubaydallah les fils de Masadah ibn Hakama. Zayd ibn Haritha rentra auprès du prophète et frappa à sa porte. Il se précipita vers lui, le tenant par ses vêtements ; il le serra et l’embrassa, lui demandant de l’informer . Zayd l’informa de la victoire qu’Allah lui avait offert". (Tabaqat II 111-2).


4) Assassinat de Asma bint Marwan:

http://islamator.skynetblogs.be/archive/2010/08/30/asma-bint-marwan.html


(*) Les crimes commis en 1944 par les goumiers marocains ("marocchinate") en Italie sont peut-être la conséquence de ces pratiques de Mahomet et de ses compagnons: http://fr.wikipedia.org/wiki/Crimes_de_1944_en_Ciociarie#Les_crimes

Ein reich, ein volk, ein Führer. Une oumma, un peuple d’islam, un Prophète.

Ein reich, ein volk, ein Führer.

Une oumma, un peuple d’islam, un Prophète.


Par Pierre Mylestin

https://www.facebook.com/#!/pierre.mylestin?fref=ts


L’histoire se répète et les hommes n’apprennent donc jamais. L’esprit munichois des collabos qui a imprégné toutes les castes de la classe politique, médiatique, culturelle sans distinction idéologique est toujours le même, imperméable aux leçons tragiques données par l’histoire ancienne et contemporaine.
Nos dirigeants islamophiles sont devenus bêtes et méchants, imperturbables devant la gravissime réalité flagrante de la réalisation inexorable de l’oumma, tellement qu’ils sont aliénés par l’idéologie totalitaire de l’antiracisme qu’il vénèrent, le tiers-mondisme conquérant qu’ils adulent au nom de principes contenus dans des lois liberticides imposant la lubie du vivre ensemble dans une société multiculturelle prônée par les officines subsidiées du « racisme anti-blanc ».

Tellement stupides qu’ils ne savent pas que l’islam est une idéologie encore plus mortifère que le nazisme qui s’en est d’ailleurs inspiré, et que toutes deux prônent irrévocablement le culte de la haine de l’autre et le recours systématique à la force.


Tellement aveugles qu’ils sont devenus incapables de discerner les dangers réels qui nous menacent, ce sabre islamique qui nous effleure la gorge, et la vocation de l’idéologie islamique à vouloir dominer le monde.
Tellement coupables et responsables vis à vis de la vie des futures générations de leur abjuration volontaire et de leur soumission devant une idéologie avec laquelle il est impossible de coexister pacifiquement.
Tellement niais qu’ils s’émerveillent lors de la construction de mosquées, synonymes de futurs fours crématoires pour notre culture, nos traditions et notre morale judéo-chrétienne.
Tellement lamentables traîtres à ne pas oser affirmer leur propre identité face à la montée de l’ »islamisme », cette invention du politiquement correct qui souhaite dédouaner l’islam de toutes ses horreurs et de l’exonérer des innombrables crimes commis en son nom.
Tellement menteurs qu’ils n’osent pas dire que le Coran, qu’ils ont certainement lu, est encore plus destructeur que ne l’était Mein Kampf.
Tellement politiciens qu’ils aident directement l’islam à arriver au pouvoir absolu par des voies démocratiques et qu’il y restera au nom d’Allah, et oeuvrera ainsi par la suite à détruire cette même démocratie en retournant provisoirement contre nous nos droits de l’homme dont il exige actuellement de bénéficier, mais qu’il nous refusera en instaurant la charia.
Tellement serviles qu’il n’osent pas traiter avec l’islam comme il aurait fallu le faire avec le nazisme, avec franche pugnacité, sans aucun état d’âme et aucune empathie, car l’islam n’en a aucune à notre égard.
Tellement fossoyeurs de notre civilisation qu’ils nient qu’il n’y a qu’un seul et unique islam, comme il n’y a qu’un seul nazisme, tous deux expansionnistes, intolérants et déterminés.
Tellement perfides qu’ils considèrent que les vrais ennemis sont ceux de l’intérieur, les patriotes résistants qui veulent défendre leur nation.

Nous n’oublierons jamais nos bourreaux qui ont été élus et réélus, qui, au nom d’une tolérance partiale ont admis et imposé l’intolérant et l’intolérable.
Il n’y a plus de droite. Il n’y a plus de gauche. Il ne subsiste que deux camps : celui des résistants mécréants et celui des collabos islamophiles.
Et ces derniers, nous ne les oublierons pas lorsque l’heure des comptes aura sonné, lorsque le peuple reprendra en main son destin en voie d’islamisation.