jeudi 26 février 2015

Islam, antinomie de la raison

Jeudi 26 février 2015, Aqveyli N-Jerjer, Kabyles.net

Islam, antinomie de la raison. Tant il est vrai que le discours rationaliste est intrinsèquement opposé aux principes de l’islam, qui n’admet pas d’opinion divergente et n’admet pas qu’on se pose des questions, surtout à son sujet. 
Pourtant, la civilisation occidentale (ou plutôt devrait-on dire ce qu’il en reste) continue à faire les yeux doux à ce dogme rétrograde et à être complaisante envers lui, jusqu’à la compromission. Sans remarquer (ou en faisant semblant de ne pas voir) toutes les contradictions qu’implique cette situation de grand écart permanent entre les principes hérités des Grecs anciens et les compromissions et autres concessions faites "pour ne pas stigmatiser" ces pauvres musulmans, dont tout le monde connait la légendaire hypersensibilité dès lors qu’on égratigne un tant soit peu leur dogme. Dans ces conditions, il paraît presque normal, même si c’est en dehors de toute logique, que l’Occident entonne à son tour le désormais célébrissime couplet sur la "religion d’amour, de tolérance et de paix"... 




Tous les pays musulmans ou presque sont à feu et à sang. Les pays de kuffar [mécréants] où la présence musulmane est significative prennent la même voie. La libanisation des sociétés occidentales est en marche. Les guerres civiles sont l’avenir qui attend les enfants d’Occident, qui auront comme exemple ce qui se passe aujourd’hui au Pakistan, en Iraq, au Yémen, en Libye ou au Nigéria. Face à la violence quotidienne générée par l’islam, quel message nous font passer les beaux parleurs ? Que "l’islam est religion de paix et d’amour" ! 

Ce que ces beaux parleurs appellent "islamistes", "djihadistes", "fous d’Allah", extrémistes", etc. pour justifier cette violence sont en réalité ceux qui appliquent le mieux l’idéologie créée par Mahomet, ceux qui prônent le retour au vrai islam. En cela, ils sont infiniment plus sincères et plus courageux que tous ceux qui nous inondent de leur beaux discours de fraternité, de bonté, de pardon, de tolérance, quand tous les faits apportent les preuves les plus évidentes du contraire. Quand la base de toute l’idéologie musulmane est exactement à l’opposé de ces belles paroles.
Que ces beaux discours soient sincères ou feints et qu’ils soient dits par des musulmans ou par des kuffar , peu importe : ce qui est sûr, c’est qu’ils sont l’œuvre de deux catégories de bonimenteurs. 

D’un côté, ceux qui connaissent vraiment l’islam et qui mentent effrontément, par application d’un principe inventé par les chiites et maintenant adopté par les sunnites : la Taqiya, le mensonge utile. La taquiya est la permission donnée par Allah aux musulmans de dissimuler la vérité quand celle-ci peut desservir l’islam : 

« Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même. Et c’est à Allah le retour (coran, 3:28). » 

De l’autre, les ignares qui se contentent d’aboyer leurs belles formules. Ils répètent comme des perroquets savants des phrases toutes faites, sans prendre le temps d’en vérifier la véracité. 

Tous ceux qui ont étudié les textes fondateurs de l’islam le savent : les termes "islam modéré" ou "amour-paix-tolérance" sont des inventions du politiquement correct. Des concepts qui n’existent pas dans la théologie musulmane [1], ni hier ni aujourd’hui, ni même durant les rares périodes où certains musulmans se sont éloignés du dogme et rapproché de la raison. 

Ce fut par exemple le cas durant cette période où l’Ijtihad avait été mis en avant, sous l’influence de quelques penseurs non-conformistes, au détriment du Taqlid (imitation servile qui interdit toute réflexion). C’est à cette époque que l’islam découvrit la raison, pour finir par la rejeter au XIIe siècle en déclarant les portes de l’ijtihad "définitivement fermées". Une sorte de retour aux sources, à l’islam des origines, celui de l’époque de Mahomet. En quoi les oulémas précurseurs de ce retour en arrière n’avaient pas tort, puisque les quatre écoles du sunnismes s’accordent à dire que tout a été prévu dans les textes fondateurs. Pas seulement dans la sphère religieuse, mais dans tous les domaines, jusque dans la vie la plus intime des individus. Comme argument principal, ces oulémas disent que tout de l’islam a été commenté et détaillé, tout a été expliqué et analysé, que l’interprétation ou le jugement personnel n’est plus de mise, que désormais, il ne reste plus rien à interpréter. Place à l’imitation servile de la jurisprudence ainsi créée. Par exemple : pour tout ce qui concerne le coran, les musulmans disposent des exégèses officielles, les Tafsir

L’islam retomba ainsi dans le taqlid, qui est l’acceptation inconditionnelle et sans possibilité de remise en cause du contenu d’un enseignement ou des préceptes d’une jurisprudence. 

Depuis la fermeture des portes de l’ijtihad, il ne reste aux musulmans sunnites que la possibilité de se soumettre à la jabariyya, qui est le refus de toute liberté humaine et de tout libre-arbitre. Une contrainte imposée par le coran, donc non révisable. Des principes qui exonèrent les musulmans de toute responsabilité individuelle concernant leurs actes et qui introduisent également le fameux mektoub [c'est ecrit], la prédestination : tout ce qui arrive et tout ce qui peut arriver ne dépend que d’une chose et d’une seule, la volonté d’Allah. Des événements passés, présents et futurs, rien ne s’est passé et rien ne se passera qui ne soit inscrit dans le Grand livre d’Allah. Un déterminisme à l’origine de l’expression la plus répandue dans le monde, puisqu’elle ponctue systématiquement toute phrase prononcée par un musulman: "inch Allah" (si Allah le veut). 

Le taqlid scelle aussi la fin du motazilisme dès le XIe siècle, donc un siècle avant la fin officielle de l’ijtihad. Le motazilisme était cette doctrine rationaliste inspirée par la philosophie grecque. Le motazilisme est remarquable par le fait qu’il était (et, à ma connaissance, est encore aujourd’hui) le seul courant de pensée islamique à s’opposer à la prédestination. Il affirme que le coran n’est pas incréé et n’est pas éternel, affirmation contraire à l’orthodoxie sunnite qui prétend qu’il existe un coran céleste et que la version terrestre n’en serait qu’une copie. Il affirme aussi que le coran pouvait ainsi être approché avec une démarche rationnelle. Pour le motazilisme, l’affirmation d’un coran incréé est contraire au principe du Tawhid, donc une hérésie. Même si le sunnisme lui a emprunté quelques notions, il ne reste presque rien du mutazilisme : sa doctrine fut bien évidemment interdite par les quatre écoles sunnites. Et ses livres furent brûlés, tout comme furent brûlés les livres d’Averroès [2], dont le crime fut d’avoir essayé d’introduire un peu de cohérence dans le discours islamique. Au moment où l’islam découvre la raison, il s’est empressé de la rejeter! 

Un des plus virulents adversaire du motazilisme fut ibn Hanbal, fondateur d’un des quatre courants du sunnisme. Son enseignement est encore en vigueur de nos jours, simplement agrémenté de cette notion nouvelle imposée par les rois du pétrole: le wahhabisme.
Aujourd’hui, c’est cet islam expurgé de toute possibilité de réflexion qui est de mise, c’est cet islam qui est enseigné dans toutes les madrassa et mosquées du monde sunnite, y compris donc dans les 2.000 et quelques mosquées de France. Au moment où, dans ce pays, le discours politique dit qu’il faut "rendre l’islam soluble dans la République" (sic) et pour cela former les imams et les aumôniers des prisons pour un islam français, sous-entendu laïc et républicain, excusez le mélange de genres, pour enfin "réconcilier les Français" (re-sic !). Rien que ça: les imams français seront tenus de psalmodier la Déclaration Universelle des Droits Humains en lieu et place de la sourate al-Baqara dont je rappelle ici deux versets significatifs: 
« Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre [...] » (verset 2:191) 

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes » (verset 2:193) 

En rappelant que la formule "s’ils cessent" a été expliquée par ibn Kathir dans son tafsir: "s’ils s’acquittent de la Zakat et accomplissent la Salat". Autrement dit: pour éviter l’égorgement, ils devront se convertir. 

Dans ces conditions, qu’on ne feigne surtout pas de s'étonner de ce regain d’antisémitisme et de violence envers tout les kouffar, ils sont l’essence-même du coran et de la sunna : c’est bien le coran et la sunna qui apprennent aux petits musulmans, dès leur plus jeune âge, que les kuffar, absolument tous les kuffar, sont impurs et que jamais ils ne devront se lier d’amitié avec eux. Sous peine de griller éternellement dans jahannama (l’Enfer). 

Malheureusement, les maîtres-à-penser qui gouvernent aujourd’hui le monde ont inventé toute une panoplie d’euphémismes pour noyer la vraie nature de l’islam. Cacher à tout prix son intolérance envers les autres, sa misogynie, sa haine des juifs et des chrétiens (que le coran décrit dans plusieurs sourates comme étant des singes et des porcs), son homophobie, sa pédophilie légalisée, etc. 

Que ceux qui n’en sont pas convaincus aillent chercher par eux-mêmes où se situe la vérité plutôt que de continuer à faire aveuglément confiance aux dirigeants politiques et aux journalistes et à leur blabla servi à longueur de journée par les médias. Une vérité qui se trouve dans le coran et le tafsir (son exégèse), dans les sirat (biographies de Mahomet) et dans les hadith (recueils des paroles et actes de Mahomet). En n’oubliant jamais ce principe : pour tous les musulmans, Mahomet est "l’être le plus parfait de la création" et ses paroles, gestes et actes, même les plus insignifiants, doivent être imités en toutes circonstances. Sans jamais se poser la moindre question, puisque d’une part, tout a été pensé par les oulémas, une fois pour toutes et que d’autre part, bien évidemment, "la parole d’Allah ne peut en aucun cas être soumise à un quelconque jugement humain".

[1] Lire mes posts:

[2] La relation qu’ont les musulmans avec les livres en général peut se résumer par les mots rapportés en 1286 par Abul Faradj, évêque d’Alep:
"Lorsque les Arabes s’emparèrent d’Alexandrie en 642, la bibliothèque fut livrée aux flammes par l’ordre de leur chef Amrou ibn al-Asi. Celui-ci ayant consulté le calife Omar 1er eut cette réponse : "S’ils sont conformes au coran, ils sont inutiles, s’ils sont contraires au coran, ils sont pernicieux. Donc il faut les détruire". En conséquence, conclut Abul Faradj, Amrou ibn al-Asi fit distribuer les manuscrits dans les bains d’Alexandrie et ils servirent de combustibles durant 6 mois. 

mardi 24 février 2015

Il n’est pas permis d’enterrer les musulmans dans les cimetières des mécréants

Le texte ci-dessous est tiré de deux sites musulmans et constitue une partie de la jurisprudence concernant les relations entre musulmans et kuffar. Il est comme une suite logique de mon article Profanation des tombes de non-musulmans: par imitation de Mahomet!.



Sur le fait d’enterrer les musulmans dans les cimetières des mécréants par nécessité 
Question : Est-il permis d’enterrer les musulmans dans les cimetières des non musulmans si les musulmans vivent dans un pays éloigné des cimetières des musulmans et que leur enterrement dans un cimetière des musulmans les obligerait à voyager plus d’une semaine avec le décédé? Ceci en sachant que c’est la Sunnah de hâter l’enterrement du mort.Réponse: Il n’est pas permis d’enterrer les musulmans dans les cimetières des mécréants. Ceci à cause de actes des gens de l’islam à l’époque du prophète, des califes bien guidés et de ceux qui sont venus après eux et qui séparaient le cimetières des musulmans de ceux des mécréants. Ils n’enterraient pas le musulman avec le mushrik (polythéiste, idolâtre, païen). C’était un consensus (ijma') dans l’action qu’il distinguaient les cimetières des musulmans de ceux des mécréants. Ceci est aussi dû à ce qu’a rapporté An-Nassa'i de Bashir bin Al-Khasasiyyah qui a dit : "Je marchais avec le messager d’Allah quand il est passé près des tombes des musulmans. Alors il a dit: “En vérité ces gens ont laissé derrière eux beaucoup de mal (c'est-à-dire le mal de ce monde).”Ensuite, il est passé près des tombes des mushrikun (polythéistes, idolâtres, païens) et il a dit: 'En vérité ces gens ont laissé derrière eux beaucoup de bien (c'est-à-dire qu’il n’ont pas fait de bonnes actions en ce monde)” (An-Nassa'i no. 2050).Donc, cela prouve la séparation entre les tombes des musulmans et les tombes des Mushrikun.Il est obligatoire pour tout musulmans d’éviter de prendre une terre non islamique pour y vivre et il ne doit pas vivre parmi les mécréants. Au contraire, il doit partir pour une terre islamique, fuir avec sa religion des mauvaises épreuves des pays non islamiques. Ceci aussi afin qu’il puisse établir les caractéristiques symboliques de sa religion (Islam), aider ses frères musulmans dans la piété et augmenter la population musulmane. L’exception c’est celui qui vit parmi eux (c'est-à-dire les non musulmans) afin de répandre l’islam, et qu’il convienne à ce travail et soit capable de le faire. Ceci concerne la personne dont le savoir aura un effet sur les autres et qui ne sera pas submergé (par les maux et les tentations des mécréants). C’est permis pour une telle personne. De même, quiconque est forcé de vivre parmi les mécréants (alors il est permis pour lui de le faire). Ces gens doivent travailler ensemble et s’entre aider. Ils doivent établir des cimetières spécifiques pour eux afin de pouvoir y enterrer leurs décédés.
Le comité permanent 
Question : Est-il permis d’enterrer un enfant mécréant dans le cimetière des musulmans si des musulmans l’ont adopté puis qu’il est mort avant d‘avoir atteint l’âge de la puberté?
Réponse : Il n’est pas permis d’enterrer un mécréant dans les cimetières des musulmans, qu’il ait été adopté ou non par des musulmans, et qu’il ait atteint l’âge de la puberté ou non. Cependant, si on trouve sur lui quelque chose prouvant son islam, alors il doit être enterré dans le cimetière des musulmans. On doit aussi savoir que l’adoption est interdite en Islam, d’après les paroles d’Allah: " Appelez-les du nom de leurs pères: c'est plus équitable devant Allah " (Al-Ahzab 33: 5). 
(Note du traducteur en français : Cette fatwa nous parait manquer de précision et comme nous n’avons pas la version arabe non n’avons pas pu vérifier si le sens traduit est bien celui de la fatwa originale. Nous pensons que cette fatwa mérite d’être révisée et approfondie) 
Assister à la cérémonie des funérailles d'un non-musulman

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Sur le fait d’enterrer les mécréants dans les cimetières des musulmans 

Le comité permanent
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Assister à des fêtes religieuses non-Musulmanes
Il n’est pas permis à un Musulman de participer aux fêtes et cérémonies religieuses des non-musulmans, car cela impliquerait l'approbation de leur foi. En prenant part à leurs fêtes religieuses, on approuve indirectement leur mécréance ( kufr ) et leur religion [ C’est-à-dire, participer de manière active à un acte religieux non-islamique lors d’une fête religieuse non-musulmane. ] . Le messager d'Allâh a même interdit aux musulmans la salat à l'heure du lever du soleil, lors du zénith et au coucher du soleil, car cela ressemblait extérieurement aux adorateurs du soleil. 
Rendre visite et offrir ses condoléances lors d’un décès
Il est autorisé de rendre visite à un non-Musulman pour présenter ses condoléances lors d’un deuil familial.
Il est dit dans al-Fatawa al-Hindiyya :
« Si un non-musulman décède, on peut dire au père du défunt ou à quelque autre de ses parents : Qu'Allah vous récompense par quelqu'un de meilleur et vous honore par l'islam, et qu'il vous accorde un enfant musulman ... ».
Ainsi, il est autorisé de rendre visite à un non-musulman dans le cas d'un deuil familial, mais il convient, lors des condoléances, de lui souhaiter qu’Allâh lui accorde quelqu'un de meilleur que le défunt non-musulman.
Il est permis d'assister aux obsèques d'un parent non-musulman, issu de la famille, d’un voisin ou d’un proche. Il est dit dans al-Bahr al-Ra'iq :
« Et l'on peut suivre les funérailles d’un non-musulman, de loin ...» [ Dans al-Bahr al-Ra'iq, 2/205 ]
Il n’est toutefois pas autorisé d’assister à une cérémonie d'obsèques religieuses, surtout quand cela implique qu’il faille prier pour un non-musulman après son décès. Faire des invocations et prier en faveur d’un défunt non-Musulman, en lui dédiant les récompenses ( isal al-Thawab ) etc. est illégal. Le messager d'Allâh a demandé à ce qu’on ne prie pas pour son oncle Abu Talib. Il en a été de même avec Sayyidina Ibrahim.
« Il ne sied ni au prophète ni aux croyants d'implorer le pardon d’Allâh en faveur des polythéistes, fussent-ils leurs proches, une fois bien établi que ceux-là sont destinés à être les hôtes de l'Enfer. » [ Sourate al-Tawbah, 9/113: Il n'appartient pas au prophète et aux croyants d'implorer le pardon en faveur des associateurs, fussent-ils des parents alors qu'il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l'Enfer.]
Cependant, il sera autorisé d’invoquer Allâh afin qu’un(e) non-musulman(e) vivant(e) soit guidé(e), dans l’espoir que cette personne accepte l'islam. Il sera également autorisé d’invoquer pour la santé et le bien-être d’un non-musulman.

(*) fiqh: Savoir et, en particulier, science du droit religieux de l'islam, qui recouvre tous les aspects de la vie, religieux, politiques ou privés (Larousse).  
Pour Wikipédia, le fiqh est traduit par la jurisprudence islamique relative aux avis juridiques pris par les juristes de l'islam sur les limites à ne pas dépasser par les musulmans. Il s'agit donc d'une compréhension du message de l'islam sur le plan juridique. 
                
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Ni les juifs, ni les chrétiens ne seront jamais satisfaits de toi, jusqu'à ce que tu suives leur religion. - Dis : "Certes, c'est la direction d'Allah qui est la vraie direction". Mais si tu suis leurs passions après ce que tu as reçu de science, tu n'auras contre Allah ni protecteur ni secoureur (coran 2:120).



dimanche 22 février 2015

Profanation des tombes de non-musulmans: par imitation de Mahomet!

Je réagis un peu tard à propos des profanations des 250 tombes juives de Sarre-Union ainsi que d'autres tombes dans d'autres cimetières chrétiens. Mais comme on dit communément, mieux vaut tard que jamais! 

L'irrespect des morts et les profanations des tombes de non-musulmans sont une tradition héritée de Mahomet. 
Par ses actes, il a légué aux musulmans ce rituel qui va à l'encontre du comportement humain normal et qui a fait tomber la barrière morale qui impose qu'on respecte les morts.

Yathrib / Médine 

Nota: Les habitants de cette riche oasis juive avait recueilli, soigné et nourri Mahomet mourant, quand il dut fuir en catastrophe la Mecque avec ses compagnons. En récompense, quand les musulmans se sont retrouvés en situation de force, ils exploitèrent un prétexte fallacieux pour s'en prendre à leurs bienfaiteurs: la plupart d'entre eux furent tués, les rescapés n'ont eu qu'une seule possibilité, celle de fuir en abandonnant tout aux musulmans. Yathrib la juive devint ainsi Médine la musulmane.
Il y avait [à Médine] des tombes datant de la Jahiliyya. Le prophète ordonna qu’elles soient fouillées et que les ossements soient éparpillés" (ibn Saad, Kitab tabaqat al-kubra tome I page 282 et Muslim, Sahih 58 n° 269). 

Mon commentaire: Plus de deux siècles après Mahomet, l'imam Tabari a osé émettre une critique à peine voilée contre son cher prophète: 

Il fit arracher les arbres et retirer les cadavres de leurs tombeaux, ensuite il y fit bâtir [une mosquée]. Mais cela ne peut pas être, c'est un fait inouï et il ne faut pas croire une telle chose du prophète. Quoique ces morts fussent des infidèles, un lieu d'adoration n'a cependant pas assez d'importance pour qu'on arrache des morts de leurs tombeaux et pour qu'on détruise un champ cultivé. Les hommes intelligents rejettent un tel fait (Tabari, Histoire des prophètes et des rois, III/112 ). 

Pourtant, ce fait peu glorieux et surtout peu moral est confirmé par d'autres grands imams, comme Bukhari dans ces deux hadith qu'il a rapporté:
Or , ajoute Anas, je vais vous dire ce qu’il avait dans cet enclos ; il y avait des sépultures de polythéistes, des ruines et des palmiers. Le prophète ordonna de fouiller les tombes, de raser les ruines et de couper les palmiers. Cela fait, on aligna les troncs de palmiers comme qibla de la mosquée, et on les encastra dans deux chambranles en pierres. Puis on commença à apporter des pierres en chantant, le prophète se joignant aux autres et disant :
-Ô Allah, il n’y a d’autre bien que celui de l’autre monde. Pardonne aux ansar et aux muhajirun (Bukhari, Sahih 7/48). 
L’apôtre d’Allah ordonna que les tombes des païens soient exhumées , que la terre soit nivelée et les palmiers coupés. Les troncs des arbres furent placés pour indiquer la qibla (Bukhari, Sahih 58/269). 

Les cadavres jetés dans le puits. 

A la tombée de la nuit, les musulmans revinrent au camp, cessant la poursuite. Le prophète ordonna de traîner les cadavres au bord d’un certain puits sans eau et de les y jeter, sauf Omayya ibn Khalaf, dont le cadavre était entré immédiatement en décomposition, et que l’on ne pouvait pas déplacer; on l’enfouit dans la poussière ( Tabari, Histoire des prophètes et des rois III 162). 

L’insulte aux cadavres. 

Le jour de Badr, le prophète ordonna que les corps de vingt quatre chez des Quraysh soient jetés dans un des puits secs de Badr. C’était une habitude du prophète, quand il faisait la conquête d’un peuple, de rester sur le champ de bataille pour trois nuits. Donc, la troisième nuit de Badr, il ordonna que sa chamelle soit sellée, puis il sortit suivi de ses compagnons, qui se disaient entre eux:
- A coup sûr, il est en train de faire quelque chose d’important.
Il s’arrêta au bord du puit, et il appela les corps des infidèles Quraysh par leurs noms et patronymes:
-Toi, untel fils d’untel et untel fils d’untel! Cela vous aurait plu davantage d’obéir à Allah et à son prophète? Vous avez réalisé ce que notre seigneur vous a promis? Avez-vous compris ce que votre seigneur vous a promis?
Omar dit:
-Ô envoyé d’Allah! Tu parles à des corps qui n’ont plus d’âmes!
L’envoyé d’Allah répondit:
-Par celui qui tient dans ses mains l’âme de Muhammad, tu n’entends pas mieux que ce qu’ils entendent
(Bukhari, Sahih 59/314). 
Après avoir considéré un instant les cadavres jetés au fond du puits, le prophète leur adressa les paroles suivantes:
-Vous avez trouvé maintenant la réalisation des promesses de votre seigneur.
Puis comme on lui faisait remarquer qu’il interpellait des morts, il répondit:
-Vous n’entendez pas mieux qu’eux, mais ils ne peuvent répondre
(Bukhari, Sahih 23/ 452). 

La dépouille d'un ennemi appartient à celui qui l'a tué: 

Abu Qutada racontait : lors de la bataille de Hunayn, je vis un musulman et un païen se battre. Un autre païen vint aider son compagnon contre le musulman. Je l’interceptai et, d’un coup, je lui coupai le bras. Il serra l’autre bras autour de mon cou et allait m’étrangler si son hémorragie ne l’avait obligé à lâcher prise. Il s’écroula et je l’achevai, mais j’en étais épuisé. Un Mecquois passa près de lui et pris ses dépouilles. A la fin de la bataille, après que les Hawazins eurent été neutralisés, le prophète déclara : "Les dépouilles d’un ennemi tué reviennent à son tueur". Je dis alors au prophète :
- Envoyé d'Allah, j’ai tué de ma main un homme qui avait de belles dépouilles. Je ne sais pas qui les a enlevées
- Cet homme dit vrai, déclara un Mecquois. Les dépouilles de l’homme tué sont chez moi. Envoyé d'Allah, donne-lui quelque butin en compensation.
- Non, non , protesta abu Bakr. Le prophète n’en fera rien. Tu t’approches d’un lion d'Allah qui combat pour la religion d'Allah et tu prétends lui enlever son butin ! Non, rends-lui les dépouilles de l’homme qu’il a tué.
- Abu Bakr a raison, ajouta le prophète. Rends les dépouilles à abu Qutada.
Abu Qutada poursuivit : je pris les dépouilles de l’homme que j’avais tué, je les vendis et, pour le prix, j’achetai quelques palmiers. C’était mon premier bien durable. Pendant cette même bataille de Hunayn, abu Talha bénéficia, à lui seul, des dépouilles de vingt hommes.
Après leur défaite, les Hawazin furent taillés en pièces. Othman ibn Abdallah releva leur bannière et combattit jusqu’à la mort. Ayant appris sa mort, le prophète dit : "Bon débarras ! Il haïssait les Quraïche". Son jeune esclave fut tué en même temps que lui. En prenant ses dépouilles, l’un des Ansar découvrit qu’il n’était pas circoncis et cria très haut : "O Arabes, sachez que les banu Thaqif ne sont pas circoncis!
( ibn Hicham, Biographie du messager d'Allah Muhammad ben abd Allah, II 448/452). 
Mon commentaire: la bataille de Hunyan et sa conséquence (la poursuite des fuyards de la tribu des banu Thaqif) fut pour les conquérants musulmans la justification "morale" des exactions qu'ils avaient fait subir aux cadavres de leurs ennemis. Une justification confirmée par ce hadith sahih de Muslim:
Les dépouilles d’un ennemi tué reviennent à son meurtrier. 
A d'autres égards, cette bataille et celle de Badr, bien plus que les razzias pourtant riches en butin, leurs servirent de base "légale" pour la répartition du butin (biens matériels, terres, maisons, bétail, femmes, jeunes esclaves, etc).
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Et ne fais jamais la salat [la prière] sur l'un d'entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe, parce qu'ils n'ont pas cru en Allah et en son messager, et ils sont morts tout en étant pervers (coran, 9:84). 


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Conséquences aujourd'hui: 



- Vidéo: Cimetière d'Algérie en 2009:

3 "Exhumez les morts non-musulmans!" 
En Europe, les musulmans font pression sur les Autorités pour que soient délimités des espaces destinés à leurs morts ("carrés musulmans"), bien souvent en contradiction avec la loi. Ces Autorités cèdent peu à peu aux exigences musulmanes dans un "esprit d'apaisement" mais ces gestes de lâcheté finiront par coûter très cher. En attendant, en Grande-Bretagne, les musulmans exigent que soient exhumés les corps des kuffar enterrés à côté des musulmans. Car pour l'islam, les non-musulmans sont impurs et le simple fait que leurs tombes côtoient celles des musulmans empêche ces derniers d'accéder au paradis d'Allah. 
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mercredi 18 février 2015

Charlie Hebdo, Copenhague, antisémitisme et islam

Presque un mois et demi après l'attentat contre Charlie Hebdo, les dirigeants politiques et les médias continuent leur entreprise de propagande pour essayer de disculper l'islam de toutes ses violences et de tous ses crimes. Selon eux, l'islam est religion de paix et, seuls quelques "brebis galeuses" salissent ce beau dogme plein d'amour et de fraternité. 

Si je suis en colère, cette colère est particulièrement dirigée vers les journalistes, plus que vers les politicards, car ces derniers ont peut-être des intérêts à défendre l'indéfendable, alors que la simple déontologie journalistique aurait dû inciter les journalistes à leur devoir de recherche, de vérification et de recoupement qui est la base de leur métier. Que ce soit sur l'islam ou sur n'importe quel autre sujet, les journalistes devraient s'interdire d'écrire ou de dire tout ce qu'ils n'ont pas personnellement vérifié. 

Concernant l'islam, le fait de nous répéter en boucle et à longueur de commentaires "éclairés"  que "l'islam, ce n'est pas ça" devient intolérable, surtout après chaque nouvelle mort, après chaque nouvel attentat et à mesure que la liste des victimes s'allonge.

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Messieurs les journalistes, avant de nous asséner vos vérités, cherchez dans les textes fondamentaux de l'islam les raisons de ce qui se passe aujourd'hui, en Occident comme en Orient. Des raisons qui rappellent étrangement d'autres faits datant d'une époque qu'on croyait à jamais révolue: l'époque où une certaine Europe rêvait de devenir terre judenrein

Voici, à titre d'exemple parmi les 114 sourates du coran, parmi leur exégèse officielle (tafsir) et  parmi les non moins officiels hadiths ("traditions relatives aux actes et aux paroles de Mahomet"), de quoi orienter un tant soit peu vos recherches.

1 "Musulmans, tuez les kuffar!"


* 1-1 Sourate 47, verset 35 Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'il ne vous frustrera jamais [du mérite] de vos oeuvres. 
* 1-2 Sourate 9, verset 111 Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du paradis. Ils combattent dans le sentier d'Allah : ils tuent, et ils se font tuer. C'est une promesse authentique qu'il a prise sur lui-même dans la thora, l'évangile et le coran. Et qui est plus fidèle qu'Allah à son engagement? Réjouissez-vous donc de l'échange que vous avez fait et c'est là le très grand succès .
* 1-3 Sourate 2, verset 190 Combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n'aime pas les transgresseurs!
* 1-4 Sourate 2, verset 191 Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
* 1-5 Sourate 2,  verset 193 Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes.
* 1-6 Sourate 2, verset 216 Le combat vous a été prescrit alors qu'il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas.
 
 
* 1-7 Exégèse du verset 2:193 (tafsir ibn Khatir, page 233) [...] S’ils cessent, pardonnez-leur: c’est dire: s’ils s’arrêtent sans faire  
aucune hostilité, reviennent à Allah et embrassent l’islam, Allah leur 
 pardonne leurs péchés même s’ils avaient tué les fidèles dans l’en 
ceinte sacrée, car le pardon d'Allah est tellement ample de sorte 
 qu’aucun péché ne reste sans être absous.
* 1-8 Exégèse du verset 47:35 (tafsir ibn Khatir, page 643) [...] Il les exhorte ensuite à ne plus faiblir ni à proposer la paix alors qu’ils sont les plus forts et les plus hauts. Mais selon les dires des ulémas, quand les musulmans sont moins nombreux, faibles par rapport à leur ennemi, il n’y a aucun inconvénient à conclure une trêve ou même une paix avec eux à l’instar du messager d'Allah - qu’Allah le bénisse et le salue - quand les incrédules l’avaient repoussé et empêché d’entrer à La Mecque [...].
Cette très officielle exégèse, oeuvre du plus grand des exégètes de l'islam sunnite et reconnue comme telle par les quatre écoles du sunnisme, indique clairement que, d'une part, la seule manière pour les kouffar d'échapper à la mort est la conversion à l'islam. Et d'autre part, que la paix n'est possible avec les kouffar que tant que les musulmans sont en position d'infériorité. 
 

2 Antisémitisme


Nota: les citations ci-dessous sont bien sûr loin d'être exhaustives et ne sont qu'un tout petit échantillon du contenu des textes islamiques: coran, sirat (biographies de Mahomet) et hadiths. Des textes cultivant de manière très claire la haine des juifs, haine qu'on retrouve dans les relations très problématiques (plus souvent absence de relations) que les musulmans entretiennent avec les juifs en général et l'Etat d'Israël en particulier. Haine qui est également une des raisons principales qui font que la paix au Moyen-Orient n'est toujours pas à l'ordre du jour, plus d'un demi-siècle après la création de l'Etat moderne d'Israël. Haine que les dirigeants et les médias occidentaux transforment en simple conflit d'intérêts, alors que la religion en est le principal moteur. A ce propos, lire entre autres la Charte des Frères Musulmans et la Charte du Hamas, dans lesquels il est clairement écrit que le conflit israélo-palestinien est religieux et ne cessera qu'avec l'éradication d'Israël et l'anéantissement des juifs, et la Charte de l’OCI, dont le but clairement défini est, entre autres, de faire de Jérusalem la "capitale du Califat Mondial", alors que si ce Califat devait exister, sa capitale "naturelle" ne devrait même pas être la Mecque, mais Médine.

* 2-1 Sourate 2, verset 65 Vous avez certainement connu ceux des vôtres qui transgressèrent le Sabbat. Et bien Nous leur dîmes : "Soyez des singes abjects!"
* 2-2 Sourate 2, verset 159 Certes ceux qui cachent ce que Nous avons fait descendre en fait de preuves et de guide après l'exposé que Nous en avons fait aux gens, dans le Livre, voilà ceux qu'Allah maudit et que les maudisseurs maudissent
* 2-3 Sourate 4, verset 46 Il en est parmi les Juifs qui détournent les mots de leur sens, et disent : "Nous avions entendu, mais nous avons désobéi", "Écoute sans qu'il te soit donné d'entendre", et favorise nous "Raina", tordant la langue et attaquant la religion. Si au contraire ils disaient : "Nous avons entendu et nous avons obéi", "Écoute", et "Regarde-nous", ce serait meilleur pour eux, et plus droit. Mais Allah les a maudits à cause de leur mécréance; leur foi est donc bien médiocre .
* 2-4 Sourate 4, verset 155 (Nous les avons maudits) à cause de leur rupture de l'engagement, leur mécréance aux révélations d'Allah, leur meurtre injustifié des prophètes, et leur parole : "Nos coeurs sont (enveloppés) et imperméables". Et réalité, c'est Allah qui a scellé leurs coeurs à cause de leur mécréance, car ils ne croyaient que très peu.
* 2-5 Sourate 5, verset 51 Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.
* 2-6 Sourate 5, verset 57 Ô les croyants! N'adoptez pas pour alliés ceux qui prennent en raillerie et jeu votre religion, parmi ceux à qui le Livre fut donné avant vous et parmi les mécréants. Et craignez Allah si vous êtes croyants. 
* Sourate 5, verset 60 Dis : "Puis-je vous informer de ce qu'il y a de pire, en fait de rétribution auprès d'Allah? Celui qu'Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le Tagut, ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit" 
* 2-7 Sourate 5, verset 82 Tu trouveras certainement que les Juifs et les associateurs sont les ennemis les plus acharnés des croyants [...].
* 2-8 Sourate 7, verset 166 Puis, lorsqu'ils refusèrent (par orgueil) d'abandonner ce qui leur avait été interdit, Nous leur dîmes : "Soyez des singes abjects".


* 2-9 Hadith sahih rapporté par les plus grands oulémas (savants de l'islam): Les Juifs vous combattront et vous aurez le dessus sur eux au point que la pierre dira : ô musulman ! viens tuer ce juif qui se cache derrière moi.


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Voilà donc, messieurs les journalistes. Ce que j'ai rapporté ci-dessus est une partie de ce qui est enseigné dans les 2368 mosquées officielles de France. Et vous voudriez, avec ce type d'enseignement, continuer à nous servir la tirade consensuelle sur "l'islam de France, tolérant et républicain", ainsi que le discours creux sur les bienfaits de l'intégration (un certain Sarkozy a même évoqué l'assimilation!)? S'il vous plaît, avant de dire et d'écrire n'importe quoi, renseignez-vous au plus près, et pas seulement chez ceux qui ne connaissent de l'islam que l'apparence externe qu'il veut bien nous montrer.
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