mardi 25 août 2015

L'islam a fait des musulmans des obsédés sexuels et les violeurs musulmans ne font qu'imiter leur modèle Mahomet.

La femme musulmane

L'islam a fait des musulmans de véritables détraqués sexuels. 
Les deux piliers centraux du coran sont d'une part la haine envers tous les non-musulmans et en particuliers envers les juifs, comparés dans plusieurs versets du coran à des singes, et d'autres part, tout ce qui a trait au sexe et aux rapports entre les hommes et les femmes.
Le coran impose des règles très strictes, des interdits et des obligations inviolables sous peine de mort (la sunna prévoit la lapidation à mort des deux "fornicateurs - c'est ainsi que sont dénommés tous les couples qui se livrent à des actes sexuels hors mariage. Car l'interdiction la plus absolue en matière de sexe (le coran ne parle jamais d'amour) concerne les rapports quels qu'ils soient en dehors du mariage. 

Tout au long du coran, il n'est question pour les femmes musulmanes que d'inégalités dans tous les domaines, d'interdits innombrables, d'obligations et de punitions démesurées, de soumission et d'obéissance aveugle aux hommes. Et de séparation des sexes: Mahomet avait une véritable obsession concernant "la pureté" des femmes musulmanes, même si dans un verset du coran ils les compare à des "champs de labour" et dans d'autres versets, il les qualifie d'êtres impurs. Un complexe qui s'est incrusté dans les esprits musulmans, à tel point que, encore de nos jours, il suffit q'une femme pose un oeil sur un homme pour qu'elle soit considérée comme impure. Et qu'elle soit châtiée en conséquence, ce que beaucoup de femmes ont payé au prix fort, victimes de "crimes d'honneur".
Autre aspect lié à cette obsession: les relation sexuelles entre musulmans et non-musulmans. Le musulman qui fornique avec une non-musulmane qui n'est pas une "esclave qu'il possède en toute propriété (autre expression coranique) risque au plus d'être fouetté en public. Mais si un non-musulman le fait avec une musulmane, la sentence sera la mort. Car "salir" une musulmane est comparé à un sacrilège qui ne touche pas seulement la femme, mais l'ensemble de la Oumma, la Communauté des croyants.

Cette obsession de la femme musulmane "pure" est la raison pour laquelle le monde musulman est bipolaire et qu'il a interdit toute possibilité de mixité: il y a le monde des hommes, à l'extérieur. Et il y a le monde des femmes, à l'intérieur. Dans l'idéal musulman, la femme doit rester cloîtrée à la maison; elle n'est autorisée à sortir que lorsqu'elle accompagne son mari ou lorsque, en l'absence du mari, elle est accompagnée de son "mahram". Le mahram est, en plus du maître-époux, tout autre homme qui lui est interdit en mariage "en raison de leurs liens de consanguinité, d'alliance ou d'allaitement". En outre, elle doit s'envelopper dans ce sortes de sacs appelés niqab, hidjab, tchador, abaya ou autre, suivant les pays. Encore et toujours l'obsession de pureté: la femme ne peut ni être touchée, ni même vue par aucun autre homme en dehors des mâles de sa famille qui constituent ses mahrams. 
Les deux mondes, celui des hommes et celui des femmes, ne se rejoignent jamais, sauf dans la maison et ... dans le lit, quand on est mari et femme. Tout le reste est haram ... y compris prendre la parole devant un étranger à la famille ou lui serrer la main. [1]

Femme musulmane, femme objet. Seule responsable si elle est convoitée par un autre que son mari, seule responsable si elle se fait violer, car c'est parce qu'elle n'a pas su "préserver ce qui doit être préservé", terme coranique qui englobe bien des interdits et obligations.

Pour Qaradawi, exégète reconnu du monde sunnite, "une jeune fille qui se promène sans voile correspond à la définition "vêtue-dévêtue, c'est-à-dire qu'elle est une femme nue" (rapporté par Martine Gozlan, de l'hebdomadaire"Marianne". Et donc, si elle est nue, elle est l'objet de la convoitise des hommes et en cas de viol, c'est à elle seule qu'en incombe la faute et c'est elle seule qui sera condamnée.
Pour un autre crétin de l'islam, le cheikh Taj el-Din Hilaly, grand mufti d'Australie et de Nouvelle-Zélande, "la femme n'est qu'un morceau de barbaque".

Comme je l'ai mentionné plus haut, la question de la sexualité a toujours occupé une place centrale dans la structure mentale islamique. Les musulmans, à cause de leur "beau modèle Mahomet", ont développé une obsession sexuelle quasi-maladive. 

Même au paradis d'Allah, le sexe prédomine. L'activité principale n'aura absolument rien de spirituel mais sera consacrée exclusivement à la bouffe et au sexe. La principale promesse d'Allah aux pieux musulmans, celle qui les motive le plus, ce sont bien sûr les 72 houries "éternellement vierges". 

Et si l'homosexualité est interdite sur Terre, ce ne sera pas le cas dans le vaste lupanar d'Allah, puisque les élus auront aussi à leur disposition des éphèbes "éternellement jeunes, enfilés comme des perles" [sic, ça ne s'invente pas!]. Voilà qui éclaire la motivation de certains "suicid-bomber" qui, avant d'aller se faire éclater la panse, protègent soigneusement non pas leur cerveau, ou une autre partie importante de leur corps, mais leurs pénis! 

Quant aux musulmanes, on ne sait pas trop ce qu'Allah a préparé à celles qui ont su "préserver leurs vertus", puisque les quatre ou cinq versets coraniques qui sont consacrés aux récompenses auxquelles elles auront droit restent dans le flou le plus total. 

Je termine ce chapitre sur les femmes musulmanes en essayant de tordre le cou au conte des "Mille et Une Nuits", l'oeuvre littéraire la plus célèbre qu'ait produit le monde musulman en dehors du coran (si on peut qualifier ce bouquin d'oeuvre). Ce conte symbolise dans l'imaginaire occidental "toute la volupté, toute la sensualité et tout le romantisme de l'Orient". Il n'est pourtant que le récit d'un sultan machiste et jaloux qui, parce qu'il avait été trompé par son épouse, la condamne à mort puis décide chaque matin de faire exécuter la femme qu'il avait épousé la vieille. Jusqu'à ce que l'héroïne Shéhérazade accepte de l'épouser et lui raconte une histoire captivante par nuit, pour éviter d'être assassinée au petit jour. Pour ce qui est du romantisme, de la volupté etc..., faudra repasser: un sultan jaloux, possessif, injuste, violent et sanguinaire, voilà une image qui colle beaucoup mieux à la réalité islamique. D'autant que l'histoire ne le dit pas car c'est beaucoup moins sentimental et romanesque, mais il devait avoir à son service des centaines d'esclaves hommes et femmes, d'éphèbes et d'eunuques, comme tout sultan qui se respecte (Haroun ar-Rachid en avait plus de 8000). 

La femme non-musulmane

Si la femme musulmane est ainsi asservie à l'homme au point d'en être sa possession exclusive et qu'elle soit réduite à un simple objet de plaisir sexuel et de reproduction, on imagine facilement en quelle estime l'islam tient les non-musulmanes. 

Bien évidemment, la "pureté" évoquée plus haut ne concerne que les musulmanes. Il est donc normal que toutes les autres femmes soient des proies potentielles pour ces éternels frustrés sexuels, normal qu'ils profitent de la moindre occasion qui se présente à eux pour satisfaire leur libido refoulée sur ces mécréantes. Là encore, la "tradition" remonte à Mahomet: lui et ses troupes profitaient de toute cette "chair fraîche" qu'étaient ces filles parfois très jeunes et ces femmes, prisonnières de guerre qui finissaient au marché aux esclaves. Elles faisaient partie du butin au même titre que le bétail ou les objets plus ou moins précieux saisi sur l'ennemi. 
C'est le coran et Mahomet qui ont laissé aux musulmans cet héritage d'esclavage, de viol systématique sur les femmes et fillettes mécréantes considérées comme butins de guerre. Lors des razzias victorieuses que Mahomet avait mené durant sa vie, le même processus s'est répété à chaque fois: on partage le butin (une sourate est intitulée al-Anfal, "le Butin"), on tue les hommes, on prend les petits garçons pour les convertir et grossir les troupes et on viole les femmes et les gamines, avant de les vendre au marché. C'est ce que l'État islamique perpétue aujourd'hui. 

Mais ces comportements bestiaux, qu'en théorie le musulman ne doit faire subir qu'à un non-musulman, ne sont pas le monopole des seuls dégénérés de l'État islamique: dans beaucoup de pays musulmans, les auteurs de crimes sexuels (et/ou de "crimes d'honneur") ne sont pas punis comme ils devraient l'être. C'est le cas notamment en Indonésie, au Bangladesh, au Pakistan, en Afghanistan, en Jordanie, en Égypte, au Maroc, etc. Et chez les modèles de vertus que sont les Émirats, Saoudiens en tête.  
"Un matin, Zayd et ses compagnons firent leur takbir, les cernèrent [les banu Badr] et capturèrent Umm Qirfah, dont le nom était Fatima bint Rabia ibn Badr, et sa fille al Jariya bint Malik ibn Hudahyada ibn Badr. Celui qui a capturé al Jariyah était Maslama ibn al Akwa. Il l’offrit à l’apôtre d'Allah. Ensuite, l’apôtre d'Allah l’offrit à Hazn ibn Abu Wahb" (ibn Saad al-Baghdadi, dans Kitab Tabaqat al-Kubra). 

"Femmes blanches" 

Aujourd'hui, l'Occident n'est plus à l'abri de ces pratiques datant d'un autre âge. A cause du laxisme de ses dirigeants qui ont laissé s'installer cette maladie. Et à mesure que la population musulmane augmente, l'épidémie se répand. L'Occident ne fait rien devant cet autre défi de l'islam d'imposer sa "culture", tout en sachant que plus il attend à prendre les mesures qui s'imposent, plus il sera dur d'enrayer le mal. L'Occident est déjà face à deux des plus gros scandales liés à l'immigration musulmane: la pédophilie planifiée à grande échelle autour de la ville de Rotherham en Grande-Bretagne et l'explosion du nombre de viols dans les pays scandinaves.

Les Occidentaux continuent de pratiquer la politique des trois singes - ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire - tout en serinant de manière cynique que ces abominations "n'ont rien à voir avec l’islam" et cela préfigure d'autres monstruosités et bien pire encore. Peut-être des gamines divorcées (ou plutôt répudiées, car le divorce n'existe pas en islam) dès l'âge de 12 ans, qui sait? 

Dans l'imaginaire musulman, la femme blanche a toujours été un "objet" de fantasmes. Au Moyen-âge, ce sont les femmes et filles de Byzance, alors ennemi principal de l'islam, qui ont symbolisé cet idéal féminin. Les femmes aux cheveux clairs et au yeux bleus ou verts, appelées "Banu al-Asfar" -filles de jaunes, en référence à la couleur de cheveux - représentaient l'idéal féminin des Arabo-musulmans et se vendaient jusqu'à deux fois le prix d'une esclave arabe ou juive. 

Ahmad M.H. Sbhoul, auteur de "Byzantium and the Arabs: The Image of the Byzantines as Mirrored in Arabic Literature”, a écrit
Les Byzantins en tant que peuple étaient considérés comme des exemples de beauté physique et les esclaves et les jeunes filles esclaves d'origine byzantine étaient fortement estimées ... L'attirance qu'avaient les Arabes pour la femme byzantine a en effet une longue histoire. Pour la période islamique, la référence littéraire la plus ancienne que nous avons sont les hadith (paroles du prophète). Il a été rapporté que Mahomet s'est adressé ainsi à un arabe nouvellement converti [à l'islam]: "Aimeriez-vous les filles de Banu al-Asfar? [2] Non seulement les filles esclaves byzantines étaient recherchées pour les institutions califales et autres palais (où certaines sont devenus des mères de futures califes) , mais elles sont également devenues les symboles de la beauté physique, les gestionnaires de la maison, et les créatrices de réalisations raffinés. La jeune fille byzantine typique qui capte l'imagination des littérateurs et des poètes, avait les cheveux blonds, les yeux bleus ou verts, un visage pur et sain, de beaux seins, une taille délicate, et un corps qui est comme le camphre ou un flot de lumière éblouissante". 
L'auteur est musulman, on le comprend à sa manière d'embellir le récit et de broder un ton romantique sur un fond de vérité. Au point d'insinuer que le sort des esclaves sexuelles était après tout un bien qui faisait gravir ces femmes dans la hiérarchie sociale et que les esclavagistes musulmans se contentaient d'admirer béatement et platoniquement ces belles créatures. Alors qu'elles n'étaient considérées que comme des trophées de chasse, des esclaves sexuelles traitées comme telles, comme elles ont de tout temps été traitées et comme sont traitées aujourd'hui les esclaves sexuelles de l'État islamique. Elles sont traitées comme le suggère cette tradition musulmane, qui n'a disparu qu'au contact de l'islam avec l'Occident colonisateur et qui consistait à "prêter" une de ses esclaves pour une nuit ou plus, soit en signe de reconnaissance, soit pour service rendu ou encore en signe d'amitié. 

Une militante [sic] koweïtienne a demandé une légalisation sur l'esclavage sexuel pour calmer la libido débordante des musulmans de son pays.  Elle a même envisagé les solutions qui se présentent: soit déclarer la guerre à un État chrétien ou non-musulman, soit aller en Tchétchénie, pays musulman, chercher des femmes russes: des blondes aux yeux bleus. Car depuis le temps que dure la guerre entre Tchétchènes et Russes, il doit bien y avoir assez de captives russes. 

Les viols commis en Occident par les musulmans sont pour eux des actes ordinaires. En Grande-Bretagne, l'énorme scandale de la pédophilie islamique de Rotherham finira par éclabousser tous les politiques. En Norvège il a été établi que 100 % des viols commis à Oslo le sont par des immigrés. La Suède est en proie à une épidémie de viols sans pareil. Les femmes scandinaves en sont arrivées à imaginer toutes sortes de stratagèmes pour échapper aux prédateurs musulmans. Certaines en mettant des ceintures de chastetés, d'autre en se teignant les cheveux  en noir pour essayer de passer inaperçues. 

Tout cela à cause d'un seul homme et de son "oeuvre": Mahomet. Quand des femmes ou des gamines se font violer, que ce soit au Mirail, à Fontenay-sous-Bois, à Tower Hamlets, à Kaboul ou à Sanâa, la faute en revient à Mahomet. 

Mahomet le "beau modèle" 

Pour la plupart d'entre nous, le viol, la pédophilie et l'esclavage sont des abjections. Pas pour les disciples de Mahomet. Car en matière de dépravation sexuelle, on peut dire que Mahomet a été un modèle parfait. Jugez-en: 

Mahomet avait 18 épouses officielles, dont je donne les noms, pour éviter aux musulmans de venir poster leurs mensonges sur les 11 ou 13 "mères des croyants", terme qui les sacralise: 1 Khadidja bint Khouwaylid, 2 Sawda bint Zema'a el Amawiya, 3 Aïcha bint Abu Bakr, 4 Hafsa bint Omar ibn al-Khattab, 5 Zaynab bint Khouzayma, 6 Umm Salama Hend bint Abu Ummayah , 7 Zaynab bint Jahch, 8 Jouwayriya bint al-Harith , 9 Rumleh bint Abu-Sufyan, 10 Oumm Habiba bint Abu Sofyan, 11 Safiyya bint Houyayy, 12 Maymouna bint al-Harith, 13 Moulayka bint Ka’b al-Laythi, 14 Fatima bint ad-Dahak, 15 Fatima bint Chourayh [renvoyée chez elle car elle avait la lèpre], 16 Asma bint an-Nou’man, 17 Al-Aliya bint ZabyAn [répudiée à cause de sa curiosité], 18 Oumayma bint Charâhîl [renvoyée après la nuit de noce, selon al-Bukhari]. Sans citer celles avec qui il n'a pas eu le temps de consommer le mariage.

En outre, il avait au moins 4 concubines (Maria la copte, Rayhana bint Zayd, [juive qui refusa de se convertir et donc de devenir épouse de Mahomet, il la garda comme concubine], Zoulikha al-Qoraziyya et l'esclave qui lui avait été offerte par sa épouse Zaynab bint Jahch et dont on ignore le nom, ainsi que plus de 40 esclaves, hommes et femmes, dont ils disposait comme on dispose de ses objets personnels. 
Ce qui ne l'empêchait nullement d'être "l'être le plus misogyne qui soit", pour parodier la formule islamique. Plusieurs dizaines de versets coraniques en attestent, ainsi que des centaines de hadiths comme celui-ci:
"Je n'ai pas laissé derrière moi une calamité plus nuisible aux hommes que les femmes." (récit d'Ousama ibn Zaid, Bukhari LXII 33).

Mahomet est pour l'ensemble des musulmans l'exemple unique à suivre, ils le désignent comme "l'être le plus parfait de la création", celui dont le moindre fait et geste, rapporté dans ses moindres détails par les savants de l'islam, doit être reproduit. Chaque musulman doit essayer de copier tous ses actes, c'est cette imitation qui, pensent-ils, leur fera gagner des Hassanates, ces sortes de bon-points à accumuler durant toute sa vie et qui permettent l'ouverture les portes de paradis.
Puisque Mahomet a laissé ces traditions de polygamie, de viol sur les non-musulmanes et sur les esclaves et de pédophilie, il est tout-à-fait naturel pour les musulmans de reproduire ces gestes, qui ne sont donc pour eux aucunement répréhensibles, encore moins condamnables, bien au contraire. 


[1] A propos de séparation des sexes: avez-vous remarqué que quasiment tous ces bateaux de "réfugiés" qui accostent en Europe sont remplis presque exclusivement d'hommes? Où sont leurs femmes? Ils prétendent fuir la guerre et la misère, mais ils laissent leurs femmes derrière, à protéger la maison? Ou plutôt, si la femme reste au pays (pays musulman), c'est une manière de la "protéger", elle? S'ils ont peur pour leurs femmes en accostant un pays chrétien-kafir, pourquoi ne pas faire cap vers les très riches pays des Émirats, qui sont en outre des "pays-frères" qui devraient donc les accueillir bras ouverts?

[2] "Aimeriez-vous les filles de Banu al-Asfar?": c'était pour Mahomet un moyen d'inciter le nouveau converti à le rejoindre, et donc, comme Mahomet et tous ses compagnons, à s'enrichir matériellement par les razzias et surtout se procurer de nombreuses esclaves sexuelles byzantines. 


2 commentaires:

  1. Excellente analyse ! Il n'est que normal que face aux pathologiquement misogynes et répressifs monothéismes Abrahamaniques https://plus.google.com/102276742765635428651/posts/Aik6Nd3t9Wi des femmes soient en pointe du combat pour la *laïcité* spécialement face au plus *gynophobe* : l'Islam 'mainstream'
    http://blogs.afp.com/makingof/public/derriere-image/.000_Par7521104_m.jpg
    http://referentiel.nouvelobs.com/file/5602296.jpg
    https://lh3.googleusercontent.com/-cmBNXRL4prM/VcUKxUimwNI/AAAAAAAAFlE/bre3PNuOzpA/w382-h378/2015%2B-%2B1

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  2. Souha, une très grande combattante, de la trempe de Wafa Sultan et d'Ayyan Hirsi Ali, toujours à la pointe du combat. Malheureusement, des femmes comme elle, apostates de l'islam qui ont eu à subir les musulmans et leur islam, il n'y en a pas beaucoup!

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