samedi 25 mai 2013

L’islam laïque rempart contre l’islam intégriste ? LOL !

Publié le 8 mai 2013 par Cristophe dans Décryptage. Mots-clés islam. 



On l'a dit et répété, si l'islam de France (le modéré, le laïque, celui de France, celui des Mosquées de Manuel Gaz, celui de Pujadas et de l'imam Chalghoumi, celui du CFCM, celui de Boubakeur) existe et se dresse comme un rempart contre l'islam intégriste sur notre sol, cela se ne se voit pas…
L'islam de France, de son vrai nom « l'islam des lâches » attend de savoir qui sera vainqueur pour basculer d'un côté ou de l'autre. On peut déjà leur dire qu'ils devront basculer vers l'intégrisme et l'islam de la charia puisque c'est celui qui s'imposera. Comment pourrait-il en être autrement ? Les défenseurs de la charia sont tellement plus virulents, galvanisés, convaincus ! Leur textes leur donnent en plus toutes les libertés pour parvenir à leur but et l'utilisation de tout moyens quel qu'ils soient, meurtres compris, pour y parvenir. Dans l'autre camp, la victimisation est abusivement utilisée là où il faudrait de la détermination et une férocité adapté…

Islam modéré = Taqiya

Les soit disant défenseurs de l'islam modéré dit de France sont convaincus de leur défaite sinon pourquoi sont-ils si tolérants avec l'autre. Pourquoi ne sont-ils pas aussi virulents pour défendre leur islam de France contre celui d'on on ne sait où ? C'est parce qu'ils savent qu'une fois la bataille perdue ils ne seront pas simplement tondus mais égorgés. Alors nos fameux musulmans modérés n'ont jamais aussi bien porté leur nom ! Ils se montrent très très modérés dans leur opposition à l'islam intégriste. Cette modération pourra être le moment venu interprété comme de la Taqiya pour sauver sa tête. Et si par miracle les intégristes ne gagnaient pas, nos modérés pourront toujours revendiquer leur engagement des premiers jours qui a permit la victoire et leur passé de résistant. Pujadas et Chalghoumi pourront rejoindre Jean Moulin au Panthéon et ce dernier sera à nouveau la victime du nazisme, celui de l'islam, le nazislamisme.
Nous voyons donc que le terme islam modéré ne peut être toléré, trop de passerelles avec la Taqiya étant possibles…

L'islam de France n'existe pas

Lorsque je déclare que l'islam de France n'existe c'est pour dire que notre terre porte des racines chrétiennes où l'islam n'est qu'un élément rapporté (un intrus nuisible).
L'islam de France est géographiquement présent. Idéologiquement aussi. Le problème est que l'autre islam, l'intégriste, il est aussi de France. La meilleure preuve récente étant les propos de l'imam de Toulouse Mirail : Mamadou Daffé.
Les deux islams (s'il y en a deux) sont de France puisque présents sur notre sol. Un article de Pierre Cassen sur Boulevard Voltaire illustre cela parfaitement. Il revient sur l’incroyable prêche de Mamadou Daffé, le 23 avril dernier. L’imam de la mosquée du Mirail avait alors dit à ses fidèles : quand vous tuez, tuez de la meilleure façon. Quand vous égorgez, égorgez de la meilleure façon. Aucun journaliste n’a enquêté, aucune plainte, à ce jour, n’a été déposé contre cet imam, par ailleurs salarié au CNRS.

« Mamadou Daffé ou la meilleure façon d’égorger » Par Pierre Cassen sur Boulevard Voltaire


Mamadou Daffé est un éminent micro-biologiste, chercheur au CNRS, d’origine malienne.
Les mauvaises langues disent que, pour le moment, il n’a pas trouvé grand chose…
Selon lui, la science n’est qu’un moyen, et non une finalité, car, c’est bien connu, il n’y a qu’une seule finalité, celle d’Allah. Il est en effet également imam, bien sûr modéré, à la Mosquée du Mirail, à Toulouse.
Ce 19 avril, il tenait un prêche où il expliquait, à la deuxième minute : « Quand vous tuez, tuez de la meilleure façon, quand vous égorgez, égorgez de la meilleure façon. »
Comme il n’a pas donné de détails aux fidèles, on s’interroge : parlait-il des moutons, des femmes adultères, des juifs, des homosexuels, des chrétiens, des apostats ou des infidèles?
Le 23 décembre 2011, il expliquait — et en quels termes — à ses disciples que les fêtes de Noël sont une insulte au Dieu de l’islam, et interdisait aux musulmans d’y participer.
Bref, Mamadou Daffé annonce clairement le programme de l’islam, sans tourner autour du pot : la charia.
Cela n’empêche nullement, à chaque assassinat d’un Merah (tiens, il habitait Toulouse, lui aussi), d’un Fofana, d’un Kelkal, ou de ceux qu’on qualifie rapidement de « déséquilibrés », d’assister au même scenario.
Manuel Valls nous raconte, la bouche en cul de poule, que l’islam de France, bien évidemment laïque, avec des imams formés, parlant français, fera rempart à l’islam des caves et ses extrémistes incultes. Le ministre nous explique donc qu’il faut construire davantage de mosquées, et ne pas hésiter à remettre en cause la loi de 1905 pour financer français.
« Surtout pas d’amalgames », glapissent ceux qui, justement, parlaient de la piste d’extrême droite rue des Rosiers, à Carpentras, Toulouse ou Boston.
« Ce n’est pas cela l’islam », reprennent, à l’unisson, les Boubakeur, Ramadan, Moussaoui, Chebel, Bechikh, Bouzar et tous les enfumeurs, invités immédiatement sur les plateaux de télévision pour rassurer le bon peuple.
« Ne confondez pas islam et islamisme » reprennent, dans une partition complémentaire, les Fourest, Blondel, Pena Ruiz et tous ceux qui sont chargés d’apporter leur caution laïque à la progression de l’islam en France.
Pourtant, le président du gouvernement provisoire de la Kabylie, en exil, Ferhat Mehenni, a cette merveilleuse formule : « L’islam, c’est l’islamisme au repos, l’islamisme, c’est l’islam en action. »
Pourtant, de plus en plus, en France, de sordides faits divers sont ainsi commentés, dans les médias : « La victime a reçu un coup de couteau mortel au niveau de la carotide. »
Pourtant, de plus en plus d’églises sont vandalisées.
Pourtant, selon des démographes, en 2050, si rien ne change, la moitié des naissances sur le territoire français sera d’origine musulmane. Mamadou Daffé et ses coreligionnaires auront alors parfaitement rempli leur mission de musulman. Pourtant, un ancien candidat à la présidentielle 2012, qui se dit laïque, et qui, ce dimanche voulait reprendre la Bastille, expliquait, en 2011, lors d’un célèbre débat télévisé, à sa rivale: « Chère madame, il n’y a dans ce pays aucun problème avec l’islam. »

L'islam Laïque n'existe pas

Pourquoi ? Parce que les fondements de la religion musulmane ne le permettent pas. Si l'église permet à un laïque de célébrer un office religieux, il n'en est pas de même pour l'islam. Dans cette religion on est musulman autant au sens religieux, qu'idéologique, que philosophique, que politique, que constitutionnellement etc… Il ne s'agit pas de la pratique d'un culte mais d'un mode de vie. 



N'en déplaise à Philippot et à Marine Le Pen, aucun islam n'est compatible avec La France. Si vous voulez rendre soluble l'islam avec la France il vous faudra changer la France et en faire une république islamique. La France ne serai plus la France et c'est à cette seule condition que l'expérience d'une solubilité de l'islam pourrai être tenté…
En décembre 2012 à l'occasion du voyage de Normal 1er en Algérie. Je vous ai déjà présenté une série d'articles ayant pour thème « Normal 1er au bled ». Parmi eux, figurait un article sur l'islamisme en Kabylie écrit par Samia Ait Tahar. Cette Kabyle a remarquablement démontré l'insolubilité politique de l'islamisme en Kabylie. Cet exemple, s'avère on ne peut plus adaptable à la France… Vous pouvez relire l'article « Islamisme en Kabylie ou l’expérience d’une insolubilité politique » sur notre blog ou sur le site de Kabyle.com.

L'Arabe laïque n'est pas musulman

Avez vous remarqué que lorsque des populations de l'ethnie arabe se rendent coupables de crimes, de violences, d'esclavagisme, de privations de liberté et de toutes autres exactions ces arabes sont musulmans ?
Qui assassine et persécute les chrétiens du Moyen Orient ? Toujours des musulmans.
Tout cela démontre que l’islamisme et l’arabisme sont liés et indissociables. La culture arabo islamique n'étant que guerre et violence et paix et amour comme l'oumma et les islamos collabos de la bien-pensance française voudraient nous le faire croire.
Si vous rencontrez un arabe tolérant, sympa, un gars qui aime la France et ses valeurs comme vous, il y a de fortes possibilités qu'il soit laïque. Le musulman convaincu aura beau pratiquer la Taqiya, tôt ou tard vous finirez par le démasquer. En effet il ne peut pas rester passif et sa foi en l'islam l'obligera à tenter de vous convaincre que sa religion est la meilleure, donc tout bonnement de sortir du bois…
J'espère que vous avez relu excellent article de Samia et qu'il vous a donné envie de lire un autre article écrit celui là par un physicien Kabyle : Aumer U Lamara. Il est titré : « Il n'y a pas d'islamisme, il n'y a que l'arabo-islamisme » et analyse très bien comment les mouvements violents liés à l’islam s’inscrivent totalement dans la matrice culturelle arabo-islamique…

"Il n'y a pas d'islamisme, il n'y a que l'arabo-islamisme"


Cette contribution pourrait s’arrêter là. Tout est dit ou presque dans ce titre. Cependant, il est nécessaire d’expliciter l’ambiguïté et l’insuffisance des dénominations utilisées jusque-là par ignorance, par simplification ou bien, plus grave, par calcul.
Depuis trois décennies, dès que survient une nouvelle manifestation violente de l’extrémisme politico-religieux liée à l’Islamisme, la liste des qualificatifs pour nommer les acteurs s’allonge inexorablement : islamistes, intégristes, fondamentalistes, salafistes, wahhabistes, terroristes, narco-terroristes, islamo-terroristes et plus récemment djihadistes, depuis les évènements du Mali et de l’Azawad.
Par ignorance, par tactique ou par peur de nommer de manière plus précise pour situer correctement les responsabilités, les auteurs de ces dénominations tronquées occultent sa composante idéologique, sa stratégie et son objectif.
L’actuel ministre des affaires étrangères de la République française, Laurent Fabius, avait récemment cité Albert Camus, à juste titre, dans une émission télévisée : « «mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ».
Il nous parait utile de contribuer au débat afin d’éclairer le lecteur  et ainsi de ne pas « ajouter au malheur du monde » !

Tous ces mouvements violents liés à l’islam s’inscrivent totalement dans la matrice culturelle arabo-islamique
L’objectif annoncé par les mouvements, organisations et acteurs qui revendiquent ces violences vise, officiellement, l’instauration ou l’extension de la communauté des croyants musulmans, la nation musulmane (« la oumma… » en arabe ), régie par la charia.
Mais la suite n’est jamais assumée publiquement, c’est-à-dire « la oumma arabo-islamique », un monde régi selon les canons de la société arabe du Moyen Âge, c’est-à-dire selon les lois actuelles de l’Arabie Seoudite, du Koweit, du Qatar, des Emirats et des autres royautés pétrolières.
L’expérience malheureuse des habitants de Tombouctou, de Gao et d’autres villes maliennes, pendant ces mois de leur mise au pas par les groupes arabo-islamistes, est là pour nous convaincre que ce n’est pas de la spéculation. Le drapeau noir des « salafistes » n’est autre qu’une annonce publique pour l’instauration de la dictature/chariaâ arabo-islamiste. La création puis la mise en exploitation de la « Place de sharia’a » à Gao pour les châtiments et exécutions publiques lèvent tout doute sur le type de société programmée. (sur le fronton de la place citée est écrit en plus, en arabe : « notre charia’a est notre vie », photo déjà publiée par le journal Libération)

L’islamisme et l’arabisme sont dialectiquement liés, indissociables
Dans tout délit ou crime, il est d’usage de s’interroger « à qui profite le crime ? ». Dans le cas de l’arabo-islamisme expansionniste et violent, tous les regards s’orientent vers les monarchies arabes (Arabie Seoudite, Koweit, Qatar, Emirats, …). Dans leur stratégie expansionniste, indépendamment de la compétition qui existe entre elles, on peut avancer, sans se tromper, que l’islam n’est qu’une « couverture » pour leur politique arabiste.
Les tentatives de camoufflage de leur stratégie, par ces monarchies arabes, par des actions parfois efficaces de communication (achat du club de foot ball « Paris SG », l’organisation de la coupe du Monde de foot ball, l’organisation de rencontres internationales sur l’écologie, la propagande des chaînes Al Jazeera et El Arabia, etc…) ne trompent personne. Les plus gros chèques financent, en plus des actions de corruption, les relais locaux et les armes destructrices.
Cette stratégie arabo-islamiste, enfourchant l’islam comme vecteur apparent, constitue réellement une simple alternative au « nationalisme arabe » du vingtième siècle conduit par le nassérisme pendant plusieurs décennies. L’échec du « nationalisme arabe », après la fin du nassérisme et l’effondrement de l’Irak et du Baâthisme a remis en mouvement cette dimension islamique. Changement de sponsors et d’acteurs, mais l’objectif demeure inchangé.
Certains mouvements arabo-islamistes et leurs idéologues citent souvent le mouvement politique turc, l’Akapi, comme exemple à suivre pour l’accession au pouvoir et la gestion des affaires publiques. Ils oublient, cependant, que la Turquie a déjà fait sa révolution kémaliste en 1923 avec Ataturk et rompu avec la « nation arabe ». Il ne reste à la Turquie que la moitié du problème : gérer à sa façon le fondamentalisme musulman.

L’Afrique est actuellement la zone la plus ciblée pour l’expansion arabo-islamiste
En Europe, les communautés d’origine musulmane sont particulièrements visées et la récente tentative du Qatar d’investir dans les banlieues parisiennes pour le bénéfice de la « communauté maghrébine » a rencontré une vive opposition de l’opinion publique et de la classe politique en France.
Deux stratégies distinctes sont déployées en direction del’Afrique : « parachever » la colonisation arabe de l’Afrique du Nord , initiée par Oqba Ibn Nafaâ , par la prise du pouvoir par ses relais arabo-islamistes (En Nahda en Tunisie, Libye, …) et pénétrer l’Afrique noir par l’apport massif de financements destinés aussi bien aux dictateurs au pouvoir qu’aux groupes terroristes. La liste des relais est déjà longue (AQMI et sa feuille de route pour occuper l’Azawad, MUJAO, Ansar Dine, Bouko Haram, …) et risque de s’allonger dans le futur si les peuples ciblés et la communauté internationale laissaient faire.
La mise en échec de cet expansionnisme culturel ne peut provenir des dirigeants des Etats africains majoritairement corrompus par les capitaux orientaux. Dans le cas de l’Afrique du Nord, le seul rempart qui peut s’opposer à l’expansion arabo-islamiste est le mouvement amazigh émergeant, qui défend l’authencité des peuples d’Afrique du Nord, Tamazgha, qui est un mouvement populaire d’essence démocratique et laïc, profondément ancré dans le terroir et ouvert sur le monde et l’universalité.
Dans cette perspective, le retournement de situation au Mali, par la reconnaissance de la légitimité de la lutte du Mouvement Nationale de Libération de l’Azawad (MNLA) pour la reconnaissance des droits des peuples de l’Azawad et sa contribution active à la lutte contre les arabo-islamistes aux côté de la communauté internationale, avec les armées française et africaines, permet aujourd’hui de croire au sursaut de l’Afrique. Il permet de prouver aussi que les dollars du pétrole ne peuvent tout acheter. Le succès de cette résistance est très attendu. Il permettra d’affirmer demain que « les peuples ne sont pas à vendre ».
Nota : Lemouvement Bouko Haram, qui a enlevé les 7 otages d’une même famille française au Cameroun puis transférés au Nigéria, a exprimé le 25/02/2013, depuis le Nigéria, ses revendications en langue arabe. Dont acte !


NDLR
L'Islam et la République ne peuvent pas faire bons ménages. Sauf si vous avez des ambitions électorales et que vous êtes soumis au politiquement correct, vous ne pouvez pas tenir un autre discours. La tolérance et le développement d'un « islam de France » sont dores et déjà voués à l'échec. Tendez la main à l'Islam et il vous mangera le bras. L'avenir se chargera de vous le démontrercrying

chris

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