dimanche 17 août 2014

Un bébé "palestinien" bénéficie d'un traitement médical des Israéliens; sa mère déclare qu'elle désire qu'il devienne un "suicide-bomber"


Adapté depuis l'article d' ATLAS SHRUGS “Palestinian” baby receives life-saving treatment from Israeli; mother says she wants him to be a suicide bomber

"Nous pensons que la vie n'est rien. La vie ne vaut rien. C'est pourquoi nous avons des auteurs d'attentats-suicide". 

Une Maman palestinienne espère que son bébé deviendra martyr" CNS News, le 15 Août 2014 (grâce à la religion de la paix): 

Un bébé palestinien reçoit un coûteux traitement de la moelle osseuse par un pédiatre israélien - mais ce que la mère de ce bébé est dit dans cette vidéo va vous choquer. 

En attendant le traitement de son fils à l'hôpital israélien, Raida dit qu'elle serait heureuse de voir son fils devenir un "chahid" - un martyr islamique, pour [la "libération"] d'al-Qods (Jérusalem). 

"Comme Arafat avait dit? Un million de chahids (martyrs) pour Jérusalem?", demande le journaliste (Shlomi Eldar, auteur du film Precious Life)

"Plus d'un million. Nous sommes tous pour Jérusalem. Tous nos gens", répond-elle. "Tant que nous sommes, et pas seulement un million, nous sommes tous pour al-Qods [Jérusalem]. Comprenez vous?" 

"La mort est une chose naturelle pour nous. Nous n'avons pas peur de la mort" continue Raida. "Du plus petit enfant, même plus jeune que Muhammad [son bébé,] jusqu'à la personne la plus âgée, nous sommes tous prêts à nous sacrifier pour Jérusalem. Nous pensons que nous avons le droit. C'est une hérésie de dire que Jérusalem n'est pas nôtre". 

"La mort est une chose normale pour vous?" Demande le journaliste. "Alors, comment se fait que vous vous battez pour sauver de Mahomet, si vous dites que la mort est chose normale pour vous?" 

Raida: "C'est normal, s'il meurt, que puis-je faire? C'est une chose normale. Mes deux filles sont mortes dans mes bras pendant que je les portais. Et alors? Dois-je mourir de cela? C'est une chose normale". 

Elle admet qu'elle a pleuré quand ses filles sont mortes, mais ajoute: 

"Mais que puis-je faire? Merci allah, gloire à allah. Allah me les a donné et allah les a reprises, emmenées loin de moi. Je ne peux pas m'opposer à la mort. Chaque âme est destinée à mourir, je pourrais mourir à l'instant alors que nous parlons. Vous ne croyez pas en la mort?" 

Le journaliste: "Non, pour nous, la vie est précieuse." 

Dans un élan plus révélateur, Raida dit: 

"La vie est précieuse, mais pas pour nous. Nous pensons que la vie n'est rien. La vie ne vaut rien. C'est pourquoi nous avons des auteurs d'attentat-suicide. Ils n'ont pas peur de mourir. C'est naturel. Aucun d'entre nous n'a peur de la mort. Même nos enfants. C'est naturel pour nous". 

"Je vous avais demandé, quand vous allez récupérer Muhammad, le laisseriez-vous devenir un chahid?" demande le journaliste. 

"Absolument", répond Raida. "Pour quoi non? Si c'est pour l'amour de Jérusalem, ce n'est rien pour moi", répond-elle. 

Des enfants qui n'ont pas des vies d'enfants:

C'est l'attitude endémique des martyrs musulmans auteurs d'attentats-suicides, et aussi des djihadistes. 
Mais cette histoire a une fin heureuse - parce que, grâce au journaliste israélien et à la générosité du médecin, le fils de Raida s'est vite remis et "elle a changé d'avis sur le sens de la vie" ... Allant de la croyance que "la vie ne signifie rien" pour finalement estimer que la vie est quelque chose de "précieux", comme l'a déclaré le journaliste de FOX News:

"Raida "m'a dit 'pourquoi ne pouvons-nous pas rester ensemble pour résoudre nos problèmes? Pour trouver la paix?' Elle m'a fait comprendre que les Palestiniens et les Israéliens peuvent changer d'idée à propos de l'avenir". 

La vidéo présentée dans l'article d'ATLAS SHRUGS est tirée du documentaire "Precious Life", de Shlomi Eldar, diffusé en 2010 - il contient une précieuse leçon pour le Moyen-Orient violent et tumultueux d'aujourd'hui: pour résoudre le problème des idées radicales et mortelles, il faut quelque chose de bon et de vrai pour les remplacer: le respect de la vie. 

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