samedi 6 septembre 2014

Irak : l’islam réinvente les razzias, les viols et les massacres

Je répare un oubli: j'avais omis de reprendre mon article mis en ligne sur Kabyles.net le 18 août 2014 (oui, Aqveyli N-Jerjer, c'est moi). 


Les chrétiens d'Irak: "Nos hommes sont tués et nos femmes sont emmenées comme esclaves et vendues sur des marchés". 
C’est ce que rapportent ces jours-ci les médias. Mais ce qu’ils s’empressent de taire, c’est que ces actes barbares, indignes mêmes des plus arriérés troglodytes de la Préhistoire sont faits en imitation de Mahomet, le "beau modèle" de tous les musulmans, celui qu’ils considèrent comme "l’être le plus parfait de la Création".
Car Mahomet et ses brigands ont systématiquement tués leurs prisonniers mâles et violés les femmes et filles captives, sauf celles dont ils espéraient tirer plus de bénéfice en les vendant vierges.
Comme toujours, la première des "justifications" des horreurs musulmanes se trouve dans le Coran.
- Toute une sourate du Coran est dédiée à ces hauts faits d’armes, d’une très haute moralité selon les standards musulmans : la sourate 8, al-Anfal (le Butin).
- D’autres versets parlent du butin, un des moteurs du recrutement islamique et donc de l’expansion de l’islam. En voici un :
Allah vous a promis un abondant butin que vous prendrez, et Il a hâté pour vous Celle-ci et repoussé de vous les mains des gens, afin que tout cela soit un signe pour les croyants et qu’Il vous guide dans un droit chemin (Coran 48:20).
- Des dizaines de versets parlent de la manière de faire la guerre contre les non-musulmans, en les enjoignant de ne jamais avoir un quelconque sentiment de pitié. C’est notamment le sens de ce verset :
Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d’avoir prévalu [mis les mécréants hors de combat] sur la terre (Coran 8:67)
Quant au verset 69 de la sourate 8 "Mangez donc de ce qui vous est échu en butin, tant qu’il est licite et pur" non seulement il encourage le vol et la constitution de butin, mais en plus il donne à ces actes une sorte de sanctification, puisqu’il se termine par cette injonction : "craignez allah". En d’autres termes : musulmans, semez la mort, la destruction et la terreur si vous ne voulez pas rôtir en enfer !
Il est donc bien normal que la grande œuvre humanitaire de celui qui est le "katam ar-rassoul" (celui qui scelle toutes les prophéties) trouve aujourd’hui des continuateurs. Ces musulmans ne sont pas extrémistes, ce sont les vrais musulmans orthodoxes. Tous ceux qui se réclament d’un autre islam ne sont que des kouffars.
Si l’islam avait une once d’humanité ou d’humanisme, on le saurait. Il est donc normal de retrouver cette constante à travers toute l’histoire des musulmans et de leur dogme : partout où il a réussi à s’imposer, il ne l’a fait que par la razzia, la guerre, le sang et la terreur.
En matière de guerre et de razzias (de l’arabe ghezwas, pour ceux qui ne le sauraient pas), les musulmans orthodoxes qui sévissent en Irak ne font que perpétuer les traditions léguées par Mahomet. Ses faits de guerre sont innombrables, mais une petite sélection permet de se rendre compte que les horreurs commises aujourd’hui au nom de l’islam, au nom d’Allah le faux-dieu et au nom de Mahomet son vrai-prophète, ne sont que les pâles copies de ce que leur modèle a réalisé.
Ce que disent les oulémas sur les razzias :
"Puis on les fit descendre. L’envoyé d’Allah les a enfermés dans le quartier de Bint al-Hârith à al-Madînah [où ils restèrent ainsi durant 3 jours]. Bint al-Harith est une femme de Banû al-Najjar. Puis l’Envoyé d’Allâh alla au marché d’al-Madina qui est encore aujourd’hui son marché, et a fait creuser des fossés. Il les fit venir, les fit décapiter et jeter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes […] Ils étaient au nombre de 600, ou de 700. Celui qui multiplie leur nombre dit qu’ils étaient entre 800 et 900" (récit de la razzia contre les Banu Qurayza, ibn Ishaq, sirat Rasulallah, Tome II).
"Ils restèrent les mains liées pendant trois jours, jusqu’à ce que tous leurs biens fussent transportés à Médine. C’est ensuite seulement que le Prophète fit creuser un fossé sur la place du marché (récit de la razzia contre les banu Qurayza, Tabari, Histoire des Prophètes et des Rois).
" […] le prophète avait brusquement attaqué les Banu Mustaliq sans avertissement alors qu’ils étaient sans crainte et que leur bétail s’abreuvait aux points d’eau. Les hommes combattants ont été tués et les femmes et enfants pris comme captifs […]" (récit de la razzia contre les Banu Mustaliq,sahih Bukhari 46/ 717).
"[...] Le butin, les bénéfices sur la revente et les objets, ont été distribués, il s’agissait de 2.000 chameaux, 5.000 moutons et 200 femmes (récit de la razzia contre les Banu Mustaliq, Waqidi, Livre des expéditions).
"Cette année, une expédition conduite par Zayd ibn Harithah fut mise sur pied contre Umm Qirfah, au mois de ramadan. Pendant cette attaque, Umm Qirfah (de son vrai nom Fatimah bint Rabiah ibn Badr) subit une mort cruelle. Il attacha ses jambes avec deux cordes, et ensuite à deux chameaux, et ils la déchirèrent en deux morceaux. C’était une très vieille femme" (récit de la razzia contre les banu Fazara, Tabari, Histoire des Prophètes et des Rois).
"[...] Il [Mahomet] envoya aussitôt vingt cavaliers à leur poursuite et nomma à leur tête Kurz ibn al-Fihri. Ils les atteignirent et les entourèrent, les capturèrent pour les emmener à Médine. L’apôtre d’Allah était à al-Ghabah. Ils se mirent en route vers lui et il les rencontra à al-Zaghabah, là où les cours d’eaux se rejoignent. Il donna des ordres pour que leurs pieds et leurs mains soient tranchées, et leurs yeux enlevés. Ils furent ensuite crucifiés. Puis le verset suivant fut révélé à l’apôtre d’Allah : La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées (Coran 5:33). Après cela, il n’arracha plus les yeux de personne" (récit de la razzia contre les Banu Urayna, ibn Saad, Tabaqat Livre 2/114-5).

Nota : il convient de relever à quel point ce dogme est le symbole-même de la plus haute des moralités et une référence en matière de valeurs universelles : ses plus grands "penseurs" ont trouvé le moyen de légitimer le vol et les ghezwas. Ces agissements de soudards sont donc devenus des pratiques très honorables et des principes de grande éthique, jugez-en :
1. Le vol consiste à s’emparer en secret d’un bien gardé de façon appropriée et sur lequel on n’a aucun droit [...].
2. Le vol ne s’applique qu’aux biens inviolables. Or ceux des mécréants en guerre contre les musulmans ne sont pas inviolables.
3. Le moins qu’on puisse dire est qu’il s’agit ici d’appliquer la règle de la réciprocité, car les biens des musulmans ont été saisis, leurs droits bafoués et leurs maisons occupées. [...].

Les captives, butin de guerre :
Inutile de revenir sur le statut peu enviable de la femme en islam, presque tout le monde sait qu’elle a à peu près autant de valeur qu’une chèvre ou qu’un âne. Mais lorsqu’il s’agit des femmes non-musulmanes, leur seule valeur est marchande, celle qui se négocie sur les marchés aux esclaves. Le "beau modèle" s’était tout naturellement octroyé le droit de faire des captives ce que bon lui semblait, notamment d’en faire des esclaves sexuelles avant de les vendre et il a intimé aux musulmans de suivre son exemple :
" Ô prophète ! Nous t’avons rendue licites tes épouses [...] ce que tu as possédé légalement parmi les captives qu’Allah t’a destinées [...] (Coran 33:50).
Il a donné aux musulmans non seulement l’autorisation, mais l’ordre de violer les captives de guerre ou de ghezwas.

Les Arabes de la Jahiliya (l’Ignorance, selon l’ignare Mahomet !) trouvaient ce comportement immoral, il s’est cru obligé de le justifier par cette phrase rapportée dans un hadith :
"J’ai reçu cinq faveurs que personne n’avait reçues avant moi. Chaque prophète antérieur a été envoyé à un peuple spécifique, alors que moi, j’ai été envoyé à l’humanité entière. Les butins m’ont été rendus licites tandis qu’ils ne l’étaient pas pour les autres [...]". ( Muslim, hadith sahih n°810)
Le butin était constitué de bétail, de femmes et de fillettes, de biens matériels, mais aussi de terrains et de maisons : une fois les occupants morts ou en fuite, tout revenait aux musulmans, et Mahomet s’octroyait la part du prince : le cinquième. 
Mahomet et ses sbires ont systématiquement violé les femmes et les très jeunes filles captives, sauf quelques vierges qu’ils préservaient dans l’unique but de leur fournir des gains plus importants. Quant aux garçons, ils étaient circoncis et islamisés, dans le but de grossir les troupes de Mahomet.
Voici quelques récits des pratiques de ce désaxé, cet autoproclamé prophète, que le milliard et demi d’adeptes se doit d’imiter dans les moindres détails :
"Alors l’apôtre d’allah a partagé les propriétés, les épouses et les enfants des banu Qurayza entre les musulmans, il a fait connaître à ce jour les parts concernant le bétail et en a pris le quint. Puis l’apôtre d’Allah envoya Saad avec certaines des femmes captives des Banu Qurayza à Najd pour qu’il les vende contre des chevaux et des armes" (récit de la razzia contre les Banu Qurayza, sirat Rasulallah page 461).
"L’apôtre d’Allah distribua les captives des Banu al Mustaliq, et il a pris le quint, puis a divisé le reste parmi ses hommes. Il a donné à un cavalier deux parts, et une part à un fantassin" (récit de la razzia contre les Banu Mustaliq, ibn Saad, Tabaqat).
"L’Apôtre d’Allah envoya une expédition militaire vers Awtas à l’occasion de la bataille de Hunaïn. Elle y rencontra l’ennemi et le combattit. Après l’avoir maîtrisé et fait des prisonniers, les compagnons du messager d’Allah étaient réticents à avoir des relations sexuelles avec les captives, parce que leurs époux étaient polythéistes. Alors Allah envoya cette révélation : Et toutes les femmes mariées [sont illicites], sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété (Coran 4.24). Cela signifie que ces dernières sont licites, après avoir terminé leur période de idda [délai légal qui détermine si la femme est enceinte ou non]" (Abu Dawud, hadith sahih Livre 2 n°2150).
" Nous sommes allés avec l’apôtre d’Allah et nous avons pris des captives parmi les Arabes, nous avons désiré ces femmes parce que l’abstinence devenait insupportable et nous voulions pratiquer le coït interrompu. Nous disions : Comment pratiquer le coït interrompu sans le demander à l’apôtre d’Allah qui était parmi nous ? 
Nous lui avons donc demandé, et il a dit : c’est mieux de ne pas faire ainsi, parce que chaque âme qui est destinée à exister doit exister" (récit de la razzia contre les Banu Mustaliq, Muslim, hadith sahih Livre 8 - n° 3371).
" [...] Je les ai conduit [les prisonniers] jusqu’à Abu Bakr qui me donna la fille comme récompense. C’est alors que nous sommes rentrés à Médine. Je ne l’avais pas encore déshabillée quand le messager d’Allah me rencontra dans la rue et dit : - Ô Salama, donne-moi cette fille ! Elle me plaît. Je dis : Messager d’allah, elle me plaît aussi. Je ne l’ai pas encore déshabillée ! Le lendemain, le messager d’Allah me vit dans la rue : Ô Salama, donne-moi cette fille ! Allah bénisse ton père. J’ai dit : Elle est pour toi, je ne l’ai pas encore déshabillée (Muslim, hadith sahih 19 - n°4345).
Safiya bint Huyay, princesse devenue esclave :
Pour terminer, le récit fait par plusieurs oulémas de la capture de la princesse juive Safiya bint Huyay. Je la résume brièvement :
Princesse juive, son père est des banu Nadir de Yathrib (riche oasis juive qui allait devenir Médine après que ses habitants furent tués ou chassés, en récompense d’avoir recueilli et soigné Mahomet mourant et ses compagnons, lors de sa fuite de la Mecque). Sa mère est des banu Qurayza, une autre tribu juive. 
Safiya fut capturée après la bataille de Khaybar, qui sert encore aujourd’hui de cri de ralliement aux musulmans orthodoxes. 
Son père fut massacré à Médine, son mari Kinana fut tué lors de la bataille de Khaybar, sa tête fut tranchée et présentée à Mahomet. Ce qui rappelle les images qu’on voit aujourd’hui. 
Une fois sa famille exterminée, elle fut violée par "l’être le plus parfait" le soir-même de la mort de son mari et elle devint une de ses 11 épouses officielles.
"La ville ayant été prise de force, on rassembla les captifs. Dihya se présenta alors et dit : Ô prophète d’Allah, donne-moi une des captives. Va prendre une femme, lui répondit Mahomet. Et Dihya prit Safiya bint Hoyay. Alors un homme vint trouver l’apôtre d’Allah et lui dit : Tu viens de donner Safiya bint Hoyay à Dihya, or cette femme ne convient qu’à toi seul. Qu’on les amène tous deux, répliqua Mahomet. Quand on les eut fait venir et que le prophète eut vu Safiyya, il dit à Dihya : Reprends une autre femme parmi les captives. Le prophète d’allah, ayant alors affranchi Safiya, la prit pour femme" (Bukhari, hadith sahih, 7 -12, 1).
Aqveyli N-Jerjer

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