lundi 10 février 2014

Analyse d'un acte pédophile commis par un musulman d'Australie.



Australie: Le musulman qui a épousé une fille de 13 ans inculpé pour pédophilie a eu sa demande de libération sous caution refusée

Lire l'article de The Guardian du 7 février 2014


1° Les faits



Ahmad Chamma, 26, aurait rencontré une jeune fille de 12 ans dans la région de Hunter en Australie en 2012 et a eu des relations sexuelles avec elle.

Le "couple" a déménagé ensuite dans une maison au sud-ouest de Sydney, où ils ont continué leur relation.

Selon la police, l'homme et l'enfant ont été mariés lors d'une cérémonie religieuse dans la Nouvelle Galle du Sud alors que la gamine n'avait que 12 ans.

La justice a retenu 25 charges contre lui, dont les relations sexuelles avec un enfant entre 10 et 14 ans.

L'homme a fait une brève apparition au tribunal local de Burwood vendredi et a parlé via un interprète arabe.

Il fera une nouvelle demande de libération sous caution lors de sa prochaine comparution au tribunal le 14 Février.

L'enfant a été pris en charge.

2° L'interprétation islamique de cet acte



2 - 1 Approbation de l'acte:

L'article dit que le mariage a été célébré, probablement dans une mosquée, mais au moins devant un imam, seule personne habilitée à établir un acte de mariage religieux. On en déduit donc que les Autorités religieuses musulmanes, non seulement n'interdisent pas le mariage d'un homme avec une (ou des) enfant(s), mais le cautionnent, 
voire l'encouragent. 

C'est donc bien un acte inscrit dans le dogme, un acte qui ne cause aucune désapprobation morale de la part du clergé et des dignitaires  musulmans. Bien au contraire, pour l'islam l'acte de célébrer officiellement un mariage entre un adulte et une gamine impubère apparaît comme tout ce qu'il y a d'ordinaire et ne peut en aucun cas être ni condamnable ni condamné.
On peut ajouter que lorsqu'on fait remarquer aux musulmans que du point de vue de la morale, les musulmans sont les seuls à avoir cette attitude, ils répondent par un argument irrecevable, citant en exemple la pédophilie des prêtres catholiques, ou plutôt de quelques-uns d'entre eux, généralisant cette pratique à l'ensemble de l'église chrétienne. Les raisons de cette irrecevabilité sont simples à déduire: 
- D'un côté, la pédophile de quelques prêtres est considérée en Occident comme un crime, punissable et puni légalement.
De l'autre côté, cette pédophilie a été pratiquée par le plus haut personnage de l'islam après Allah, elle a été inscrite dans le livre qui constitue la base du dogme et elle est pratiquée et encouragée comme étant une vertu morale, puisque le personnage qui sert de "modèle" aux musulmans l'a lui-même pratiquée. Sur une petite fille de 9 ans que les musulmans appellent depuis "la Mère des Croyants".

Il faut donc comparer ce qui est comparable: ce qui est encouragé chez les uns est considéré comme crime chez les autres et l'argument musulman tombe de lui-même.


2 - 2 Interprétation

Pas besoin de rappeler que dans le monde musulman, ces pratiques sont "naturelles". Mahomet est un modèle à suivre pour tous les musulmans, et les versets du coran et de très nombreux hadiths, ainsi que les exégèses,  non seulement n'interdisent pas la pédophilie, mais l'encouragent.

Le coran ne fixe pas de limite d'âge, ni pour les garçon ni pour les filles, mais on sait que le "modèle" Mahomet s'est marié avec Aïcha alors qu'elle avait 6 ans et a eu des vrais rapports sexuels avec elle  quand elle a atteint l'âge de 9 ans. Entre 6 ans et 9 ans, il a pratiqué sur elle ce que les musulmans ont appelé la "mufa'khathat" (lire "Islam, secte de pédophilie").  


- Coran 65: verset 4 Et quant à celles de vos femmes qui n'espèrent plus de règles: si vous avez du doute, leur délai [idda] est alors de trois lunes. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, elles ont pour terme celui où elles déposeront leur fardeau. Quiconque craint Dieu, cependant, Il lui assigne une facilité dans son entreprise.

Le texte est clair. "Celles qui n'ont pas encore de règles" est la traduction de Hamidullah pour "Wallèi lam yahidhna", la phrase exacte du coran. Le tafsir (exégèse) de ce verset parle de "celles dont les menstrues n'ont pas encore eu lieu”. Il s'agit donc bien des filles pré-pubères, des filles qui n'ont pas encore eu leurs premières règles. Il est important de le préciser car les musulmans tentent par tous les moyens de réfuter ce qui est pourtant bien inscrit dans le coran: la pédophilie de leur prophète. Car ce verset, comme d'autres, est descendu au bon moment pour expliquer les actes (pas toujours nobles) de "l'être le plus parfait de la création" (sic).

Pour les exégètes, ce verset est la continuité du verset 33: 49 


Ô vous qui croyez! Quand vous vous mariez avec des croyantes et qu'ensuite vous divorcez d'avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai d'attente[...]): 
Il en font le tafsir (l'exégèse) suivant: 


"Si une femme dont le corps n'a pas été utilisé pour des relations sexuelles [re-sic] ne doit pas respecter de période d'attente requise [pour être répudiée], quelle serait la raison pour laquelle ce délai s'impose aux femmes [encore sic] qui n'ont pas encore eu leurs règles? C'est une claire indication qui prouve que se marier avec des filles pré-adolescentes et avoir des relations sexuelles avec elles est reconnu par le Coran". 

Ce sont paroles d'exégètes. C'est également l'avis d'innombrables théologiens, et ils sont tous d'accord sur "la période d'attente des filles impubères" mentionnée dans le verset 65:4.




Sans chercher à encombrer le texte, il faut en citer quelques-uns parmi les indiscutables et plus célèbres d'entre eux.

At-Tabari 


L'interprétation du verset "Et quant à celles de vos femmes qui n'espèrent plus de règles: si vous avez du doute (à propos de leurs périodes), leur délai est alors de trois mois. Et pour celles qui n'ont pas leur cours régulier (c'est-à-dire qu'elles sont encore immatures) leur 'idda (période prescrite) est de trois mois tout autant". Il dit: La même chose s'applique à la 'idda des filles qui n'ont pas leurs menstrues car elles sont trop jeunes, si leur mari divorce d'elles après avoir consommé le mariage avec elles.

Al-Bukhari:


Donner son enfant en mariage (est permis) par la vertu de la Déclaration d'Allah: "Et pour celles qui n'ont pas leurs cours régulier" (c'est-à-dire qu'elles sont encore immatures. Et la ‘iddat de la fille avant sa puberté est de trois mois.

Ibn Abbas


A propos du verset [65:4] un autre homme demanda: "Ô Messager d'Allah! "Qu'en est-il de la période d'attente de celles qui n'ont pas eu leurs menstruations car elles sont trop jeunes?” Rentrant dans la catégorie de celles qui n'en ont pas) à cause de leur jeune âge, leur période d'attente est de trois mois. [...]" 

Ibn Khatir


Allah l'Exalté indique la période d'attente de la femme qui a passé la ménopause. Et c'est celle dont les menstruations se sont arrêtées à cause de son âge. Sa `idda est de trois mois au lieu de trois cycles mensuels pour celles chez qui les règles ont cours, ce qui est basé sur Ayah dans (la sourate) Al-Baqara. [voir 2:228] Il en va de même pour les jeunes, qui n'ont pas atteint les années des premières menstrues. Leur `idda est de trois mois, comme pour celles qui sont en ménopause. C'est le sens de Son dire.


Un dernier point à clarifier:

Quand les théologiens musulmans modernes ont perçu que la pédophilie de leur prophète était loin d'être perçue de manière positive par les Occidentaux, ils ont commencé à échafauder des théories plus ou moins farfelues pour essayer de disculper leur prophète (lire "Mahomet, tentative de réfutation de ses actes pédophiles") et à rejeter les tafsir (exégèses) et hadiths (tradition mahomédienne) . Ce fut le cas de Mohammed Hamidullah et de Mohammed Talbi entre autres. Mais ne pouvant pas gommer ou dénaturer ce qui est inscrit noir sur blanc dans le coran, leurs entreprises furent plutôt pitoyables, malgré le respect qu'on doit à ces oulémaspour leur travail d'interprétation.. 


Conclusion

La pédophilie n'est donc pas du tout immorale ou interdite en islam. On peut même affirmer sans se tromper qu'elle est recommandée. Bien ancrée dans la tradition musulmane, elles est presque une obligation car il est préconisé de suivre en tous points la conduite de Mahomet, de copier ses faits et gestes. Condition sans laquelle on risque de ne pas mériter le paradis d'allah.


Puisque ces situations qu'avant on appelait crime de pédophilie se banalisent partout en Occident, il conviendra peut-être de former les juges à intégrer la charia dans les réquisitoires. Cela simplifiera peut-être la relaxe de ces braves gens, pour qui il n'y a rien de plus naturel que de coucher avec une gamine de 10 ans ou moins quand eux en ont 54.




Le "docteur" Bilal Phillips explique le mariage à la musulmane:
"Mahomet s'est marié avec une fille pré-pubère,
ce n'était pas de l'abus ou de l'exploitation, c'était un mariage.

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