vendredi 6 juin 2014

Une vision plurielle et pacifiée? Demandez aux musulmans de France...

Réaction (épidermique, je l'avoue!), à un article de Libé "Français juifs et musulmans : sommes-nous irréductiblement voués à nous détester?

Continuons de croire au père Noël. 

Le coran (je ne parle que du coran) qui contient une centaine de versets antisémites, plus de 250 versets guerriers dénommés Ayat as-Sseif - versets du sabre - , des dizaines versets qui appellent à la haine des chrétiens, des centaines d'autres versets misogynes, homophobes, pédophiles, onze versets esclavagistes, etc, et seulement 2 versets dits "de paix", versets qui sont d'ailleurs abrogés mais conservés dans le coran pour mieux duper, d'un seul coup d'un seul, ce même coran peut devenir respectable et acceptable. 

Tiens donc !!!

Pour moi, il n'y a qu'une solution pour sortir de l'hypocrisie et de la taquiyya: que le monde qui se dit libre criminalise l'islam comme il a criminalisé le nazisme, sinon l'humanité ne connaîtra jamais la paix, il y aura partout des centaines de sheikh Yassine, d'Anjem Choudary, de cheikh Tantawi, de Khaled Mechaal qui vont continuer à endoctriner des milliers ou des centaines de milliers de petites merdes comme Merah, les frères Tsarnaev et autres Nemouche. 

Les musulmans ont tous ce point commun qu'il fréquentent tous les mêmes mosquées, lisent les mêmes livres et n'ont même pas la possibilité d'une quelconque interprétation personnelle, puisque des "savants" les ont faites à leur place et que, de cette manière, chaque verset de chaque sourate du coran possède son interprétation immuable qui s'appelle "tafsir". Le coran et ses interprétations officielles sont ainsi lus de la même manière par les amis de ben Laden, par les frères Tareq et Hani Ramadan, les rois de la taquiyya, par leur grand-père Hassan al-Banna, par l'imam pro-Hamas et copain de Juppé Tarek Obrou, par le toujours souriant Malek Chebel ou par le "chantre" du dialogue Hassan Chelghoumi.
Le reste n'est que littérature, comme on dit.

Continuons donc à pratiquer la langue de bois, à parler le politiquement-correct, à nous conduire comme des Chamberlain et des Daladier, à tout faire pour ne pas "froisser" la sensibilité (sic) des musulmans, ne pas les "choquer", ne pas les "stigmatiser". Quand la plupart d'entre eux déclarent qu'ils sont plus attachés à leur communauté qu'à toute autre forme de groupe humain quel qu'il soit. On se prépare de cette manière un bel avenir à faire semblant de croire à un islam pacifique et à parler au pire de "détestation" quand en face on parle de domination. D'ici peu, au rythme où évoluent ces belles conceptions de "bien-pensance" et de tolérance applicables à sens unique, on risque d'avoir un réveil douloureux. 

Pour voir quel est cet avenir qu'on se prépare à copier la politique des trois singes face à l'islam de conquête (l'islam du djihad), il suffit de se tourner vers le monde musulman et ouvrir les yeux. Pour voir les constantes intangible qui les gouvernent: injustice, jugements expéditifs, exécutions sommaires, crimes d'honneur, circoncisions, maltraitance des femmes, enlèvements et viols d'enfants, crimes sexuels, etc. Quand ces belles valeurs seront devenues des éléments habituels de la vie quotidienne, il ne restera plus alors qu'à franchir l'ultime étape: celle des égorgements et décapitations, des crucifixions et des pendaisons, comme cela se pratique dans ces beaux modèles que sont l'Arabie Saoudite, le Yémen ou les Maldives. C'est ce avant-goût de paradis mahométan qui pend au nez de l'Occident, tombé dans un coma profond depuis 4 décennies et qui va bien finir par crever. On aura ce qu'on mérite.

Mais peut-être que l'auteur de l'article de Libé, Samia Haathroubi, en tant que professeur d'histoire et directrice et coordinatrice d'un machin européen, aura certainement une autre explication, à propos de la violence du coran, à propos de l'abrogation, à propos du mensonge utile et surtout à propos des tafsir du coran et qu'elle pourra nous expliquer que le coran, la sira et les hadiths, tels qu'on les enseigne dans les mosquées de France et d'Europe, sont différents de ceux qu'on enseigne dans la grande université islamique de Medine, dans d'autres prestigieux endroits comme l'Université al-Azhar du Caire, la Grande Mosquée de Kairouan ou encore dans les nombreuses "Universitas Islam" d'Indonésie, autant de fabriques de djihadistes.

Et qu'elle nous expliquera également, elle qu'on sent vraiment, à la lecture de son article, nationaliste dans le bon sens du terme et pétrie de valeurs républicaines, quelle recette magique elle a à proposer pour conjuguer le "vivre-ensemble" qu'elle préconise, comment le faire admettre et le faire adopter par des racailles qui ne se reconnaissent pas dans la République, qui crachent dessus (pour rester poli) et qui le disent ouvertement, comme la "star" du ballon rond Benzema.

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